Voulant retourner en Égypte, où, lors de précédents séjours, j'avais vécu d'inoubliables moments, il me fallait, à mon grand regret, trouver une nouvelle destination. Car, à la suite des événements et des troubles récents, il n'était plus question de séjourner au Caire, ni à Louxor, ni encore à Assouan, superbe ville du Sud égyptien, où (d'y penser j'en tremble encore...), j'avais passé des nuits torrides dans les bras d'un amant Nubien... Cherchant donc un lieu sûr mais réputé touristique, mon choix s'est finalement porté sur Sharm-el Sheik, grande station sur la Mer Rouge, au bout du Sinaï.
Ne pouvant y passer qu'une semaine, j'ai opté pour le grand confort et décidé de réserver une chambre dans un hôtel de prestige. Les images des établissements hoteliers de la ville, sur internet, m'ont fait préférer le "R. B.", un 5 étoiles, très côté. À moins d'une demi-heure de l'aéroport, le R. B. est en effet un établissement vraiment luxueux, avec grande et petites piscines, jardins fleuris, bien entretenus, sillonnés de petits ruisseaux. Sa plage, également bien équipée, est un autre des attraits des lieux. Ma chambre, très grande, donne sur la mer. Superbe ! Vraiment ma première impression a été très positive. Le seul bémol : la clientèle était à 80% russe, du coup le personnel ne s'adressait à moi que dans la langue de Poutine... Très peu de Français, quelques Polonais, des Italiens. Mais je ne venais pas pour rencontrer des Européens; mes précédents séjours en Égypte m'ayant convaincu que les mâles locaux avaient des talents bien supérieurs à ceux de notre continent...
Le personnel est entièrement masculin : de beaux garçons, jeunes, souriants, attentionnés. Mais pas facile de converser longuement avec eux et donc d'aborder des sujets intéressants... Parmi les clients, seuls deux garçons arabes (de quel pays ?), bien que tous deux très virils, pouvaient être gays. Ils se sont contentés de répondre par des sourires à mes tentatives d'entrer en communication avec eux. Ils ont cependant accepté que je les prenne en photo. L'un était très poilu, son compagnon, plus maniéré, n'avait pas la même toison noire, mais ne manquait pas de charme.
La seule personne qui, ce premier jour, a aussi attiré mon attention est un autre client, la quarantaine bien sonnée, qui marchait sur la plage.
On pouvait nettement deviner son sexe en érection, à travers le tissu blanc transparent de son short. Ses passages répétés devant moi, avec un geste prétendument involontaire, pour ranger son "matériel", m'ont vite convaincu qu'il cherchait une aventure. Mais, bien qu'il ne manquait pas d'argument probant, je ne répondis pas à ses avances. Ce n'était après tout que le premier jour, et les garçons du personnel, aperçus dans les jardins, les buvettes, ou à la réception, m'avaient paru posséder des attraits bien plus convaincants...
Le troisième jour, il était 14 h 30, j'étais sur la plage. La chaleur était assez insupportable. Je décide de rentrer dans ma chambre, pour m'allonger au frais. J'entre et je trouve un garçon en train de faire le ménage. Dans un bon anglais, il s'excuse et me dit qu'il a presque fini. "Pas de problème... Ne t'excuse pas... continue ton travail... je vais lire le journal, en attendant."
Je m'assois dans un fauteuil et déplie le journal, le seul canard en anglais, trouvé à la réception. Le garçon est un beau gosse, 25 ou 26 ans, peau très foncée, une belle gueule virile, des yeux très noirs à tomber à la renverse. Il est bien sûr en tenue de travail de l'hôtel : un tee-shirt avec le nom de l'hôtel brodé sur la poitrine, un pantalon blanc immaculé, très moulant, qui met en évidence ses fesses rebondies, ses cuisses puissantes et un beau paquet. Je n'arrive pas à lire une ligne du journal, tant mes yeux demeurent rivés sur l'anatomie de ce splendide garçon... Il s'en aperçoit et me sourit. Gêné d'avoir été surpris à le mater, je me lève et, pour me donner une contenance, vais vers le frigo-bar. Je l'ouvre et prends une canette de Coca. Je lui demande s'il veut boire quelque chose : il me sourit et accepte. "un Coca, aussi". Il s'assoit sur le bord du lit, face à moi, maintenant vautré dans mon fauteuil. C'est lui qui le premier m'interroge : de quel pays je viens ? si je suis marié, etc. Moi aussi, je le bombarde de questions : il s'appelle Sameh, il a 27 ans, il est marié et père de deux enfants. Mais sa famille vit au Caire; il ne va les voir que tous les 15 jours. Puis, à brûle-pourpoint, il me demande : "Vous devez vous ennuyer ici, non ?" - "M'ennuyer ? Pourquoi ?" - "Parce qu'en ce moment il n'y a pas beaucoup de monde... Les touristes gays viennent plutôt l'été..." J'en reste interloqué pendant quelques secondes, mais puisqu'il avait tout compris, j'enchaîne en lui demandant s'il connait des endroits où je pourrais rencontrer des garçons... des Égyptiens, bien sûr, jeunes... Il me répond qu'il y a des cafés en ville, où on en trouve, attablés aux terrasses; mais Sharm-el Sheik est assez loin, et, sans quelqu'un pour m'accompagner, ce n'était pas très prudent. Il rajoute que, si je voulais, après son service, à 16 h., il pouvait me tenir compagnie... contre un petit pourboire. "OK... je t'attends ici ... dans la chambre." Il a vite fini de ranger la chambre et est sorti, en me faisant un clin d'oeil. Je me suis dit : vu qu'il est marié, il n'y a guère de chances que notre aventure aille bien loin. Mais s'il se laisse sucer, ce sera toujours ça...
À 16 h 30, on frappe à ma porte : c'est bien lui. Il a quitté sa tenue d'employé de l'hôtel : il porte maintenant un jeans noir, très serré aussi, qui lui va à ravir. Il me demande si je vais bien lui donner un "pourboire"... Comme je n'ai aucune idée de la somme qu'il espère, je lui demande combien il veut. "Dix dollars". Dommage, je me suis dit, s'il ne veut pas plus, c'est qu'il a seulement l'intention de me "tenir compagnie", comme il l'a dit tout à l'heure : pour une longue conversation, rien de plus... Je lui tends un billet de 10 $. À peine les a-t-il empochés que Sameh, se fout à poil. Mais vraiment à poil ! Il m'invite même à en faire autant...
Putain ! Quel superbe mec ! Des pectoraux et des abdominaux bien durs, à fleur de peau. Quelques poils frisés entre les pectoraux et une petite toison qui dépasse de son boxer. Son boxer , précisément, contient un paquet impressionnant, même si on devine que son engin est encore au repos... Sameh s'est allongé sur le lit; je me suis couché contre lui et ai commencé à caresser son corps. Le jeune Égyptien me regarde faire. Je n'ose pas l'embrasser et me contente de passer le bout de mes doigts sur ses lèvres, puis j'approche ma bouche de son cou, y dépose quelques baisers, descends en léchant ses tétons, ses abdominaux, son nombril. Je baisse son boxer et fais apparaître son sexe. Il ne bande pas vraiment, mais sa verge est déjà assez grosse. Un bel organe, très lisse, très foncé, circoncis, avec deux testicules, très gros, gonflés de jus sans doute. Je prends dans une main sa verge, la malaxe. Sameh pense sans doute que je suis déçu de voir qu'il ne bande pas. Il s'excuse et me dit : "Pardon, mais tu sais... je ne suis pas gay..." Pour le rassurer, et sans forcer mes compliments, je lui dis qu'au contraire, je trouve son sexe superbe, et que le fait qu'il soit hétéro m'excite encore plus. D'ailleurs, il doit bien voir que, dans mon slip, ma queue est raide telle une trique... Je me jette comme un affamé sur sa bite dont j'avale d'un coup une moitié, la mouillant bien de salive pour la masturber plus facilement... Je lui bouffe les couilles, le gland, lui lèche le bas- ventre. Ma soudaine fougue a dû déclencher chez lui une réaction à laquelle il ne s'attendait pas lui-même, car Sameh s'est mis très vite à bander et à gémir doucement... Sa queue, tout en se raidissant gagnait en volume jusqu'à faire au moins 22 ou 23 centimètres. Sa bite est maintenant dure comme la pierre. Son gland se détache bien sur sa tige très droite. C'est superbe !
Tout en le suçant je le branle : j'adore cette bite noire, si dure que la peau coulisse bien, ce qui est rare avec les queues circoncises. Sameh apprécie vraiment ce que je lui fais et gémit de plus en plus fort... Une convulsion contracte subitement son corps et je sens tout à coup une giclée de sperme emplir ma bouche. Plusieurs autres jets suivent. J'avale tout ce jus, dont la quantité m'étonne : ce n'est pas une petite éjaculation, c'est sûr ! Je suis surpris qu'il ait jute si vite, puis je pense que, privé de sa femme pendant toute une quinzaine, ce jeune mec n'a pas tellement d'occasions de se vider les couilles. Peut-être aussi que le fait de se faire sucer par un mec (s'agit-il de sa première expérience gay ?) a redoublé son excitation... Sa semence a bon goût. Je quitte sa bite et essuie d'une main le foutre qui a débordé de mes lèvres. Sameh, sans doute déçu d'avoir éjaculé si vite, et comme pour m'encourager, me fait un clin d'oeil et m'explique : "Maintenant que ma bite est dure... elle reste comme ça... tout le temps que tu veux..." Et il va tenir parole... Il m'a demandé de me mettre à plat-ventre... J'ai obéi. Il m'a caressé le cul, écarté les fesses, passé son gland dans la raie. J'ai compris qu'il avait envie de me baiser. Je lui demande quelques secondes et vais chercher une capote dans ma trousse de toilette. Il l'enfile et commence à me dilater le trou avec un doigt, puis deux. Il fait ça avec douceur, contrairement à certains Maghrébins, qui se pressent de te planter leur zeb, sans ménagement, pour te montrer qu'ils sont actifs et que tu n'es qu'une pute !
Sameh m'a enculé pendant une bonne heure et a joui plusieurs fois, chaque fois en poussant un râle de plaisir. J'ai senti la chaleur de son sperme en moi et me suis demandé comment ses couilles pouvaient contenir une telle quantité de sperme. A un moment, il s'est effondré sur moi, sa bite toujours plantée dans mon cul. Il n'en pouvait plus. Moi aussi j'étais crevé et avais juté sur les draps. Pour me remercier de lui avoir permis de se vider, il me retourna et m'embrassa. Je ne m'attendais pas à ça. Nos langues se sont mêlées, et j'ai eu la certitude qu'il aimait me rouler une pelle... Pour un "hétéro", il semblait prendre beaucoup de plaisir... J'étais plutôt fier d'avoir réussi l'exploit de lui faire apprécier de faire l'amour avec un autre mec. Nous nous sommes douchés ensemble, ce qui m'a permis de lui savonner son beau corps, de faire glisser, entre mes doigts, sa bite et ses couilles couvertes de mousse. Puis je l'ai séché, comme un bébé. Sameh s'est laissé faire. En guise de remerciment, il a déposé un baiser sur mes lèvres. Je lui ai donné un autre billet de 10 $, ce qui m'apparaissait le minimum, après plus de trois heures de sexe intense. Je lui ai dit, que s'il était d'accord on pouvait se revoir le lendemain... Il n'attendait que ça, et en me déposant un autre baiser du bout des lèvres, il me redonna rendez-vous, à 16 h 30...
Le lendemain je suis retourné sur la plage; comme il ne faisait pas très beau, j'ai préféré rentrer dans ma chambre plus tôt, un peu avant midi. Le ménage avait été déjà fait. Mais pas de Sameh. Je suis allé déjeuner, puis ai traversé le jardin pour aller boire un café. J'ai croisé un groupe d'employés de l'hôtel. Sameh était parmi eux : je me suis approché de lui, l'ai salué et lui ai discrètement demandé si notre rendez-vous tenait toujours. Il me le confirme. Sans attendre, je retourne dans ma chambre. Vers quinze heures, on frappe à ma porte. C'est un peu tôt pour que ce soit déjà Sameh. Je crie : "Entrez !" Entre un autre garçon, il s'excuse, me dit qu'il est venu ranger la chambre... Je ne comprends pas : la chambre a été faite; mais je le laisse faire... Il est mignon, un peu plus petit que Sameh, mais plus "costaud", et comme lui d'allure sportive. Tout en faisant semblant de ranger, il me dit qu'il est ami avec Sameh... que ce dernier lui a raconté pour hier... "Ah bon ?" Je souris. Pour le mettre à l'épreuve, je lui demande s'il connaît des endroits, en ville, à Sharm-el Sheik, où on peut s'amuser... Il répond qu'il n'en connaît pas, mais que si je veux, il peut revenir à 16 h 30, en même temps que Sameh, car il aura lui aussi terminé son service. J'accepte bien sûr. Qaund il est sorti, j'ai réfléchi à ce qui était en train de se passer : je n'arrive pas à le croire ! Aujourd'hui, je vais faire l'amour non pas avec un, mais avec deux étalons égyptiens, et dans ma chambre ! Sans avoir besoin d'aller draguer dehors...
À l'heure dite, on frappe à ma porte. Ce sont eux. Sameh, dès son entrée, s'excuse d'avoir dit à son ami Taslim que j'étais gay... Je le rassure : il n'y a pas de problème. Au contraire, je suis ravi de faire l'amour avec deux beaux jeunes mâles ! Nous nous sommes mis aussitôt en slip, sans dire un mot. Je regarde Taslim : lui aussi est bien fichu. Plus trapu que son copain, mais tout aussi bien fait et... bien membré ! Lui aussi est marié, il a 25 ans et un fils de 4 ans. Sans la moindre gêne, il s'est foutu complètement à poil et s'est assis sur le divan. Son corps est couvert d'un duvet de petits poils frisés. Sans même avoir touché ou frôlé sa queue, il bande déjà ! Une belle queue, bien droite, avec un gland détaché de la verge, comme le chapeau d'un champignon...
Je me jette à genoux devant le divan et prends en bouche la bite de Taslim. J'avale, je suce, je pompe, gobe ses couilles. Il se laisse faire, soulève de temps en temps son cul pour que je prenne mieux sa queue en bouche et qu'elle entre jusqu'au fond de ma gorge. En vérité, je n'arrive pas à l'avaler tout entière : elle est trop longue. Elle doit faire au moins 25 centimètres : de quoi rendre jaloux son pote Sameh... Mais ce dernier peut se consoler : la sienne est plus épaisse et ses couilles plus grosses. Celle de Taslim est très savoureuse elle aussi. Il est très difficile de décrire ce goût particulier des bites arabes, mais moi j'adore ! Sameh regarde la scène sans s'approcher, puis, sans doute n'y résistant plus, il s'assoit sur le divan, à côté de son copain. J'ai alors alterné, avalant une queue, puis l'autre, suçant leurs couilles. Tout en les pompant, je caresse leur ventre, leurs pectoraux. C'est certain : Sameh est plus musclé que Taslim. Mes mains glissent sur la peau lisse et ferme de Sameh; je sens aussi sous mes doigts le duvet frisé du corps de Taslim. Deux sensations différentes, mais tout aussi excitantes pour moi. Les deux garçons se laissent faire avec un plaisir évident. J'essaye de passer ma langue sur leur périnée, cette partie secrète entre les parties génitales et l'anus. Mais leur position assise m'empêche d'aller bien loin. Je leur propose alors de se mettre à genoux, de me tourner le dos et de m'offir leur cul pour que je leur lèche la raie. Ils se marrent tous les deux, tout d'abord, mais se mettent tout de même en position. J'ai devant moi deux culs parfaits. L'un glabre, comme s'il était épilé, l'autre couvert d'un duvet frisé.
Ma langue commence par parcourir la raie de chacun. Pour mieux lécher, j'écarte les deux lobes de leurs fesses... Je sens que les deux garçons apprécient : leurs culs vibrent même de plaisir au passage de ma langue... De temps en temps, ils rigolent... une façon de se donner une contenance, car ils doivent considérer que cette pratique est une fantaisie d'homos, pas très orthodoxe pour des hétéros dans leur genre... Mais ils ne me demandent pas de m'arrêter, même quand la pointe de ma langue titille leur rondelle... Celle-ci reste bien fermée, et ne me paraît pas avoir été visitée antérieurement... Au bout d'un moment, Sameh se retourne et me demande de me mettre à sa place, dans la même position... Taslim se rassoit : il a attend de voir ce que veut faire son copain. Sameh va chercher une capote dans la salle de bains, et en revient, la bite équipée. Il appuie son gland contre mes sphincters et par petits coups de rein commence à me pénétrer... Je sens sa bite entrer en moi, et occuper peu à peu tout l'espace. Il m'a enculé pendant dix bonnes minutes, assez sauvagement, beaucoup plus violemment que la veille, sans doute pour impressionner son pote. Taslim de son côté m'a tendu sa bite pour que je le suce. J'ai maintenant deux queues en moi : une grosse dans le cul, et la longue de Taslim en bouche. Les deux compères ont changé régulièrement de place. Sameh a juté deux fois. J'ai bien senti la chaleur de son sperme dans mon rectum, et même un filet couler de mon cul le long de mes cuisses... Pour ne pas tacher le divan, je suis allé prendre un drap de bain et l'ai étendu sous moi. C'est fou ce que ces deux mecs sont capables de juter !
Vers 20 heures, j'ai demandé une pause. Mon cul me brûle trop et la mâchoire me fait mal. Les deux acceptent de se calmer un instant. Je m'assois entre les deux. Taslim propose d'aller chercher quelque chose à manger. Je reste donc seul avec Sameh. Il approche sa bouche de la mienne, et, comme la veille, me roule une pelle endiablée. On se caresse tous les deux, je le branle, sa queue reprend du volume instantanément. Il bande. Moi aussi. On est super excités tous les deux. Sameh me fait promettre de ne rien dire à son copain Taslim, et à ma grande surprise, en se baissant sur ma queue, la prend en bouche.. Il commence à me sucer. On voit bien que c'est la première fois, car il a du mal à imprimer un rythme régulier à sa pipe. C'est égal : ma queue est dure comme jamais. Ce jeune Égyptien, tout maladroit qu'il est, m'excite come un fou... Soudain il s'arrête, me regarde dans les yeux et me dit : "Encule-moi... vas-y..." Il m'implore presque... Je lui demande s'il est bien sûr... s'il a vraiment envie... "Oui, vas-y doucement... mais baise-moi... j'ai envie de sentir une bite dans mon cul... Demain, je vais au Caire, voir ma famille, et quand je reviendrai ici, toi tu seras déjà parti..." Je n'en crois pas mes oreilles... J'ai commencé par lui lécher la rondelle, puis ai craché dessus. J'ai bien étendu ma salive et en ai fait entrer une bonne qantité dans son trou. Avec un doigt je l'ai dilaté, en allant même assez profondément... Sameh s'est mis à gémir et a répété : "Vas-y, mets-la... je suis prêt... Baise-moi vite... avant que Taslim arrive..." J'ai appuyé mon gland, j'ai poussé, mais ça n'entre pas. Il est trop serré. Je force encore et réussis enfin à passer l'anneau musclé de son sphincter. Sameh crie : "Aïe !..." Puis il gémit... tout en m'encourageant à continuer ; "Ça fait rien... continue... mets-la moi... j'ai envie de la sentir au fond de mon cul..."
Même si je n'ai pas une queue aussi longue qu'eux deux, la mienne fait bien ses18 centimètres, et je n'arrive pas, même en poussant, à entrer plus de la moitié de mon membre. Sameh continue de gémir de douleur... Je lui demande s'il veut vraiment que je continue. Pout toute réponse : "Vas-y... baise-moi... plus vite... je crois que je vais jouir...." Ses encouragements me mettent dans un état de surexcitation rare... Je l'ai enculé une bonne dizaine de minutes, puis il m'a dit d'arrêter, Taslim allait revenir... et de toute façon il avait déjà joui... C'est incroyable : j'ai réussi à faire jouir un mec hétéro, sans qu'il se touche la bite... seulement en sentant une queue lui ramoner le cul. Sameh est allé dans la salle de bains se nettoyer pour qu'aucune trace de sperme n'éveille les soupçons de son copain.
Et, en effet, quelques minutes plus tard, Taslim est entré. Nous avons mangé et bu des bières du frigo-bar. Puis Taslim m'a demandé de le sucer pour que sa queue redevienne dure et raide comme avant. Le salaud n'a pas mis longtemps à retrouver ses dimensions de compétition. C'est lui qui m'a enculé en premier. Mais les deux potes se sont remplacés, aussi bien pour me prendre que pour se faire pomper. Ils m'ont épuisé ! Et quand, vers minuit, Sameh a dit qu'il voulait aller dormir, car le lendemain il devait prendre un car à 6 heures pour Le Caire, j'ai sauté sur l'occasion et promis à Taslim de reprendre tout ça avec lui, le lendemain après-midi.
La promesse de nous revoir moins de 24 heures plus tard a calmé Taslim. J'ai salué Sameh. Profitant que Taslim était allé pisser dans la salle de bains, on s'est roulé une pelle passionnée. J'ai compris que Sameh avait vécu quelque chose d'exceptionnel, qu'il avait découvert un aspect inconnu de sa sexualité. Je lui ai promis de revenir l'année prochaine. J'ai même voulu lui donner un bon pourboire, mais il n'a pas accepté.
J'ai passé les trois derniers jours avec Taslim. Il m'a baisé dans toutes les positions, et m'a assuré que si je revenais l'année suivante, il me ferait connaître un couple d'Égyptiens, deux beaux mecs, jeunes comme je les aime. Ils vivent ensemble en ville et sont à la fois actifs et passifs. Il a déjà baisés avec tous les deux... Ce sont de bons coups ! Parole !
Vous comprenez pourquoi j'ai hâte de revenir en Égypte !
Rafael
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