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Chapitre 06
Quatre jours s'écoulèrent après ma visite chez le maire. Je devais me rendre chez mon Maître car il voulait me féliciter de mon bon travail de soumis. Et ma récompense prendrait la forme d'une bonne giclée de sperme, j'en salivai d'avance...
A 18h00, je sonnais donc chez mon Maître, vêtu d'un pantalon noir et d'un t-shirt blanc que me mettait bien en valeur. Il me fit rentrer et à peine la porte fermée, me poussa contre le mur tout en me roulant une pelle. Aussitôt, je me plaquai contre lui, mes mains caressèrent son dos puis ses fesses et lorsque sa bouche arriva sur mon cou, je gémis tout en me cambrant, n'hésitant plus à me frotter comme une chienne en chaleur à mon Maître.
" Bonjour la pute, je vois que tu es en manque
- Oh oui Maître, j'ai envie de vous
- Je vois ça dit-il en me caressa le paquet (j'avais commencé à bien durcir) "
Il déboutonna mon pantalon et introduisit une main dans mon boxer pour caresser ma bite qui était raide. Je gémis davantage et il poussa plus loin son exploration, vers mes fesses puis vers mon trou. Il poussa un soupir de contentement en constatant que j'avais suivit ses consignes : mon cul était bien lisse et surtout rempli avec un plug anal.
" Je vois que tu es déjà pleine la pute
- Oui Maître, comme vous l'aviez demandé
- Tu es une pute bien obéissante toi
- Oui Maître
- C'est bien, on passe au salon. "
Il s'asseyait sur le canapé après s'être déshabillé et ma bouche trouva toute seule le chemin du sexe de mon Maître. Ma langue l'explora sur toute sa longueur avant que mon trou buccale l'engloutisse tout entier et se mette à jouer avec. Je suçai mon Maître avec application pendant un certain temps puis il me fit changer de position. Mon ventre était sur ses genoux et il travailla mon cul ou me fessa non sans m'insulter au passage. Il plus il le faisait, plus je gémissais fort de plaisir. Il finit par m'autoriser à lui mettre une capote puis je m'empalai lentement sur sa queue dressé par le désir.
Pendant dix minutes, mon Maître me pilonna avant que je jouisse sur son torse. Il m'autorisa à lécher mon sperme non sans que je le regarde avec mes yeux de biche soumis puis j'eue le droit de le sucer à nouveau à récolter son jus de mâle directement dans ma bouche.
Mon Maître avait d'autres obligations, je ne pus donc pas rester longtemps cette fois-là mais il me promit qu'il aurait bientôt de que satisfaire mes envies. J'acquiesçai car il avait fait de moi son esclave sexuel, son objet, sa pute.
Soumi débutant
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