Chapitre-1
« Je vais t’enculer » me hurle le contremaître. « La prochaine fois que tu bousilles une pièce, je vais t’enculer. En attendant tu resteras ce soir pour refaire les pièces ».
Et sur ce, il tourne les talons et s’en va furieux.
Je n’ai même pas le temps de lui répondre que je ne suis qu’un apprenti ici. J’ai à peine 20 ans et je suis apprenti dans un atelier de fabrication de pièces mécaniques. Et c’est vrai, c’est la troisième pièce que je rate depuis le début de la semaine et qu’il faut donc refaire entièrement.
Marco, le contremaître, ne se rend pas compte que je n’ai pas encore son expérience ni son habileté. Il est très bon dans ce qu’il fait. Mais peut-être un peu moins dans les relations humaines. Sinon je suppose qu’il aurait deviné que m’enculer ne me paraît pas être une punition.
Depuis que je travaille dans cet atelier, combien de fois ai-je fantasmé sur lui ? Combien de fois suis-je allé aux toilettes me branler en imaginant ce qu’il pourrait me faire ?
Marco est un grand gaillard d’un mètre quatre-vingt-dix, tout en muscle, pas un poil de graisse. La peau mate voire dorée d’un homme du sud de l’Europe. Quand il fait chaud, il ne s’habille que de sa salopette, exhibant ses pectoraux massif couvert d’un duvet sombre, les deux tétons entourés d’une large aréole sombre. On devine dans l’entrebâillement de la salopette ses abdos saillants, un chemin de poil noir descendant vers le pubis. De là on ne peut qu’imaginer, mais au vu de la bosse toujours proéminente où se rejoignent les cuisses, je m’imagine qu’il est aussi monté comme un dieu.
Bref, combien de fois j’ai imaginé qu’il m’enlaçait de ses deux bras massifs et me soumettait à ses envies.
Je ne suis pas sûr, devant la menace, que je ne vais pas rater encore une pièce ou deux.
J’essaye de me concentrer pour le reste de la journée, mais de savoir que je vais devoir faire des heures supplémentaires seul avec Marco ne m’aide pas. Je fais quand même de mon mieux jusqu’à 17h.
A la fin de journée, alors que tout le monde s’en va, Marco vient me trouver et m’explique que nous allons refaire ensemble la pièce que j’ai bousillé ce matin. Nous allons donc sur son établi et commençons à travailler. Il ne porte que sa salopette et sa peau brille de la sueur de la journée, il sent bon le mâle qui a passé la journée à œuvrer dans la chaleur. Il est là tout près et nous sommes maintenant seul dans l’atelier. J’ai toutes les peines du monde à me concentrer… et à contrôler mon érection !
Et arriva ce qui devait arriver : à vouloir percer trop vite le métal, le foret casse, se coince dans la pièce qui est de nouveau à recommencer.
Le visage du contremaître se ferme et la colère se lit dans ses yeux. Il me saisit la nuque et me plaque le visage sur son établi. Il saisit mes deux mains qu’il plaque sur mon dos et tout en me maintenant à sa merci, il se penche vers mon oreille et murmure : « je t’avais prévenu ».
Il se redresse, tout en me maintenant fermement plaqué sur l’établi, sort de sa poche son cutter et d’un geste habile ouvre mon pantalon et mon sous vêtement sur toute la hauteur de ma raie.
Je bande à m’en faire mal bien que mon pantalon maintenant ouvert sur l’arrière ait libéré un peu la tension du tissu.
Quand je vois Marco ouvrir le tiroir de son établi et sortir une boite de Crisco, je comprends que je ne suis pas le premier à subir cette « punition ». J’ai même peur un instant qu’il veuillent aller jusqu’à me fister. Je ne serai pas contre essayer remarquez, mais mon trou n’est pas encore si habitué. J’ai pris déjà pas mal de bites, mais je n’ai jamais été plus loin.
Toujours m’écrasant sur le plan de travail, il plonge deux doigts dans la boite de lubrifiant et vient me caresser la rondelle. Ses doigts tournent autours de mon trou sur lequel il appuie et qu’il masse. Sans prévenir, il entre tout d’un coup son index dans mon intimité. Entre le Crisco et l’habitude, le doigt entre sans difficulté mais m’arrache tout de même un gémissement de plaisir.
« On dirait que ce n’est pas la première fois qu’il te rentre quelque chose dans le cul à toi ! » s’écrit Marco un peu surpris. Et du coup il commence des va et vient avec son index tout en massant ma rondelle avec ses autres doigts.
Quand il considère que je suis suffisamment ouvert pour le suivant, il replonge la main dans le Crisco et insère deux doigts dans mon orifice. Il agite ses doigts toujours massant ma rondelle. Il les écarte pour me dilater encore plus. Enfin, maintenant son index et son majeur fermement enfoncé dans mon anus, je sens son annulaire faire pression sur mon sphincter, le repousser et se frayer un chemin pour rejoindre ses collègues dans mon trou.
Je gémis comme une petite chienne sous ses doigts et agite légèrement mon cul l’encourager à continuer.
Toujours sans cesser de m’écraser sur son établi, il ressort sa main de mes entrailles et j’aperçois qu’il défait sa salopette qui tombe à ses chevilles. Je ne veux rien perdre du spectacle et tourne autant que possible la tête : le spectacle est magnifique. Sa salopette est à ses pieds. Son corps est superbe : que du muscle. Ses pectoraux sont gonflés et durs mais sans excès. Ils sont couverts d’un duvet noir dense. Au-dessus, des épaules arrondies soutiennent des bras aux biceps énormes. Au-dessous, les trois rangées d’abdominaux qui forment six bosses imberbes si ce n’est le chemin de poils noir de geai qui descend du nombril au pubis.
Il ne porte plus qu’un minislip bleu d’où sortent une fine rangée de poils aussi noir que le chemin qui mène le regard de son nombril à cette terre promises. Son slip peine à contenir ce que j’avais jusque là seulement imaginé au travers de sa salopette de travail et une tache de mouille marque le bout de sa bite. De sa seule main libre -il me maintient toujours plaqué sur son établi- il libère sont sexe et fait descendre ce dernier tissu qui m’éloignait du plaisir à venir. Il libère ainsi deux énormes boules qui pendent bas mais, une fois encore sans excès. Juste ce qu’il faut pour qu’elles viennent taper contre mon périnée quand il me prendra. Elles sont couvertes de poil noir que l’on devine taillés tant ils sont juste assez long pour se voir. Ils rejoignent ceux de son pubis, eux aussi taillé avec goût. Et de cet ensemble qui déjà me fait baver d’envie, pend un pénis, déjà bien gonflé, qui est sans doute le plus gros que j’ai vu jusqu’à ce jour. Il fait surement plus de 25 cm de long pour au moins 6 de diamètre. Par ailleurs il est magnifique : droit comme un i, veiné de grosses veines bleutée partant de la hampe et allant se perdre dans un prépuce déjà retroussé à la base d’un gland rouge-violet parfaitement fuselé.
Bon sang comme j’ai envie de parcourir ce corps de mes lèvres et de ma langue, lécher cette perle de precum que j’aperçois, masser ces deux couilles et les embrasser pendant que son chibre se pose sur mon visage. Mais le temps viendra pour cela.
Pour l’instant, sans me libérer ni même un peu, Marco prend du Crisco dans son pot et s’en enduit le braquemard. Il pose sont gland sur mon œillet qui n’attendait que lui et tranquillement, lentement même, pousse sa chair dans la mienne. Je sens d’abord cette chaleur et cette pression sur mon anus, puis celui-ci s’ouvrir et le gland rentrer tout doucement. Centimètre après centimètre, millimètre après millimètre même, Marco fait entrer son chibre dans mon cul. Sans aucun répit, sans aucune pause, il pousse ses 25cm. Je sens mes entrailles se remplir et bientôt sa bite toucher le fond de ma cave à plaisir et écraser ma prostate. Encore un peu et je sens maintenant ses deux grosses couilles contre les miennes et cette chaleur m’excite plus encore. Si c’était possible. Je bande à m’en faire exploser le pénis.
Le contremaitre commence alors ses va et vient. D’abord très lentement. Je sens le reflux, comme un vide dans mon ventre. Puis son gland qui s’approche de mon œillet, par l’intérieur cette fois. Et au moment où il commence à l’ouvrir, il repart dans l’autre sens. Et je sens que je me remplis à nouveau, puis que ma prostate est écrasée. Et je ne peux m’empêcher de gémir du plaisir qu’il me donne.
Peu à peu il prend de la vitesse mais toujours en faisant coulisser l’intégralité de sa longue bite. Toujours proche de la sortir mais s’arrêtant juste avant que mon anus ne se referme sur son gland. Et ainsi je sens mon trou qui se dilate puis se resserre, sa tige qui coulisse et enfin qui masse ma prostate et le fond de mon conduit. Et à ce moment-là, ses couilles qui tapent gentiment contre les miennes.
Alors qu’il me baise comme ça depuis un petit moment son téléphone sonne. Il l’attrape sans me lâcher ni cesser de me limer. Il regarde l’écran et me dit : « C’est ma femme. Ne fait aucun bruit ». Et il répond !
Tout en lui expliquant qu’il va rentrer un peut tard à cause de travaux à finir, il se plante bien au fond de mon cul et, sans réellement bouger, il donne des petits coups de pression avec son bassin ce qui me maltraite la prostate ! Je me mords les lèvres avec rage pour ne pas crier de ce plaisir nouveau pour moi mais tellement intense. Ce type me baise comme jamais on ne m’avait baisé avant.
Une fois raccroché, il penche son visage sur mon oreille et murmure : « C’est bien petit. Tu n’as pas fait de bruit ». Et comme pour me remercier, toujours couché sur mon dos, il recule son bassin et me donne un violent coup de bite qui, cette fois, m’arrache un cri que je ne retiens pas.
Il entreprends alors de me ravager le cul. Prenant son élan il me pilonne à toute vitesse et de toute la longueur de son chibre. Ses couilles tapent, pour mon plus grand bonheur, sur les miennes à chaque coup de boutoir. Je râle comme une chienne. C’est alors qu’il sort brusquement de mon cul que je n’arrive plus à refermer entièrement. Il saisit sa bite à pleine main et entreprend de me la remettre en s’arrêtant juste à son gland. Il me le rentre et ressort comme ça quelques minutes : ma rondelle s’ouvre et se ferme -un peu- et j’aime sentir ce traitement. Quand soudain, il ne me met pas sa queue entière non, il m’embroche entièrement. Il m’empale. Il enfonce ses 25cm d’un coup, à toute force, venant écraser mon troisième sphincter, éclatant ma prostate et faisant taper ses grosses couilles contre mes fesses.
Il lâche enfin mes mains pour m’attraper les cheveux et me tirer la tête en arrière. Sous cette nouvelle contrainte je me cambre et offre plus encore ma chatte à défoncer. Il me pilonne ainsi et j’ai l’impression que grâce à cette nouvelle posture sa bite va encore plus loin au fond de moi.
Sans prévenir il ressort, me redresse et me tourne face à lui. Il défait la ceinture qui retenait ce qui reste de mon pantalon et jette le tout à terre et me fait enlever les jambes. Il me saisit sous les aisselles et m’assoit sur l’établi. Il ne remarque pas, ou fait tout comme, que je bande comme un taureau. Je n’ai pas une petite bite, même si je suis loin d’être monté comme lui.
Il me bascule sur le dos, et, reflexe de passif je suppose, je remonte mes jambes et m’en saisis sous les genoux pour lui offrir mon trou béant et dégoulinant de mouille et de Crisco.
Sans tarder il entre son pénis dur dans ce réceptacle offert à son plaisir et recommence à me baiser. Cette fois je peux admirer ce corp magnifique, somptueux, qui me pénètre et m’écartèle.
Je vois à son visage que sa jouissance n’est pas loin. Remarquez, la mienne non plus : j’en suis à faire des efforts pour ne pas jouir sans me toucher ! Il me saisit les chevilles, tend et écarte mes jambes en V devant lui ce qui à pour effet de contracter ma chatte et, pour moi, de sentir plus encore ses coups de boutoirs et ses boules taper mes fesses. Pour lui, aussi ce doit être agréable : il me pilonne comme un fou encore quelques minutes puis je vois son visage se contracter, je sens sa bite durcir encore un peu et il décharge dans mon cul son sperme chaud et crémeux. Il le tasse un peu au fond de mon trou et s’immobilise bien planté dans ma chatte.
Il relâche mes jambes, et, sans dire un mot, se saisi de mon membre. Il le décalotte bien comme il faut puis entreprend de me branler, d’abord lentement, mais rapidement prend de la vitesse.
Après le traitement qu’il m’a fait subir, il ne me faut pas 3 minutes pour jouir et éjaculer plus de foutre que sans doute jamais. Et j’ai toujours sa bite bien enfoncée même s’il débande un peu déjà. Il penche son visage alors que j’éjacule et reçoit un jet de sperme sur la langue qu’il avait tirée. Il me regarde en souriant et avale mon liquide.
Quand j’ai fini de jouir, il ressort tranquillement son braquemard de mon cul qui se referme à peu près mais je sens en même temps son sperme couler de mon trou et suivre ma raie vers mon dos.
Il me redresse, me remet debout et me donne une caresse pleine de tendresse sur la fesse et me dit :
- Allez, on va sortir ce foret et finir cette pièce que l’on puisse rentrer à la maison.
- Attends, elle n’est pas foutue, on peut la reprendre ?
- Ben oui…
- Donc en fait t’avais juste envie de me baiser ?
- Ben oui. Et je crois que t’en avais envie aussi ?
Si j’en avais envie !!! Et je compte bien faire en sorte qu’il y ait d’autre fois.
- Juste une chose alors, Marco. On peut finir cette pièce sans se rhabiller ?
Hagahuk
hagdahuk@proton.me