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Chapitre 14
Dans les premiers chapitres, je racontais que j’ai hébergé pendant 3 semaines Thomas, mon beau-frère. Il m’avait joui pendant quelques nuits dans la bouche jusqu’à ce que je le surprenne... et c’est là qu’avaient commencé des jours de baise de folie. J’étais sa pute et il me baisait matin, midi et soir avec sa grosse queue de 30 cm. Et depuis ceci, je ne pouvais plus me passer des 30 cm de mon beau-frère ! On a baisé ensemble à Noël...et même lors de leur mariage : c’est moi qui ai consommé le mariage avec Thomas, et non pas ma sœur. Six mois après, Thomas est venu passer la nuit chez moi car il avait un enterrement de vie de garçon d’un de ses potes sur Toulouse. On a passé une nuit ainsi qu’une matinée torride. Ces potes sont arrivés à l’improviste et un d’eux a remarqué que du sperme me coulait le long de la jambe. Ils ont alors eu envie de profiter de moi... ce qui n’a pas vraiment plu à Thomas qui m’a dit, après tous ses potes sont partis, qu’il avait été hyper jaloux. Sur ces mots, il m’a laissé en plan sans qu’on puisse parler de tout ceci. Six mois plus tard, à la naissance de sa fille et de ma nièce, il m’a entrainé dans un coin de la clinique où il m’a baisé avant de m’avouer son amour. Je lui dis que je l’aime aussi.
Cela fait 2 semaines que Thomas m’a avoué son amour. Je ne sais pas comment la situation va évoluer. Je n’ai pas vraiment eu de nouvelles… et bien sûr, je me prends la tête. Je suis tiraillé entre mes sentiments et des pensées plus rationnelles, genre : si on vit notre amour, on ne pourra plus faire des dîners en famille… ça va créer le chaos dans ma famille. Je ne verrai pas non plus mon neveu grandir…
Mais voilà que je reçois un appel de ma sœur durant lequel elle m’annonce que Thomas a un séminaire à Toulouse pendant 1 semaine et elle me demande si je peux l’héberger.
- Pas de soucis, réponds-je immédiatement.
Puis, je me tais…. J’espère qu’elle n’a pas trop remarqué l’excitation dans ma voix… Pour changer de sujet, je lui demande des nouvelles du bébé, etc.
Une semaine plus tard, on sonne à ma porte. J’ai une boule au ventre… J’ouvre : C’est Thomas. Sans réfléchir, je me jette dans ses bras. On s’embrasse longuement et je sens sa grosse queue gonfler dans son pantalon. Je me mets à me frotter contre mais il me dit :
- La journée a été rude. Laisse-moi me doucher avant.
- On a tout notre temps. Je vais faire à manger en attendant.
Je lui montre où poser ses affaires, je lui donne une serviette propre et je ferme la porte. Puis, je me dirige dans la cuisine pour continuer de préparer le repas : un cake aux olives. Quelques minutes plus tard, j’entends derrière moi :
- Salut, vous !
Je me retourne et je vois Thomas à poil, tout souriant… J’ai une vue plongeante sur son python entre les jambes ! J’admire aussi son corps bien poilu avec son petit ventre qui pointe le bout de son nez. Son ventre est à moitié recouvert de poils, son pubis et ses couilles sont très velues. Sa queue pend entre ses jambes... on a l’impression qu’il en avait une 3ème ! Elle fait bien la moitié de la longueur de son avant-bras. Thomas s’avance vers moi et son monstre se balance à sous ses pas. Il a une bite et des couilles très foncées.
Les souvenirs de la première fois qu’il est venu me rendre visite remontent. Il s’approche de moi et il m’embrasse goulument. Je sens sa queue frétiller contre ma main. Elle se redresse et je me précipite dessus.
- Allons d’abord manger tant que c’est chaud, dit-il d’un air coquin.
A contre-cœur, je relâche sa teub et on passe à table. Mais je brûle pour lui. Une fois le dîner avalé, je me rue sur Thomas et on passe dans ma chambre.
On s’embrasse tendrement pendant de longues minutes. Nos baisers sont entrecoupés de « Je t’aime ». Nos mains explorent le corps de l’autre. Puis, il me laisse sur le dos et il commence à me bouffer le cul. Je gémis fort. Il fait ça trop bien. Il se redresse ensuite et je sens son gland entrer en moi. J’ai alors un souvenir qui remonte... la première fois qu’il m’a baisé. Il lui a fallu de longues minutes pour entrer entièrement en moi. Mais depuis, ma bite s’est faite à son anaconda qui aujourd’hui glisse en moi. Quand son sexe est profondément ancré dans mon anus, je le sens palpiter en moi, dans le plus profond de mon ventre. Je sens aussi ses grosses couilles se frotter contre mon cul. Thomas commence de petits va-et-vient, il me baise tendrement. Il se penche sur moi et il m’embrasse tout en donnant des coups de bite lents mais profonds. Très doux, il me lèche l'oreille. Parfois, il se redresse et il me baise sur la longueur de ses 30 cm.
Au bout de 10 minutes, il pousse un soupir et il décharge dans mon cul. Je ressens une quinzaine de jets qui me mitraillent la chatte et qui me tapissent l’intérieur de mon ventre. Il ressort, je sens son sperme liquide et abondant couler le long de ma chatte. Je touche mon trou, il est poisseux et béant.
Après cette tendre baise, on s’endort dans les bras l’un de l’autre. Mais en plein milieu de la nuit, je suis tiré par quelque chose de mon sommeil. Je sens le lit tremblé, bougé... comme si... je lève les yeux et Thomas me regarde en souriant. Il est en train de se branler. Il me dit :
- Ça te rappelle des souvenirs ?
Mais bien sûr ! C’est comme ça que tout a commencé entre nous ! Il s’était branlé au-dessus de ma bouche et il y avait joui jusqu’à ce que je le prenne en flag ! Là, je referme les yeux et je le laisse faire. Je l’entends se branler rapidement. J’ouvre la bouche. De temps en temps, j’entrouvre mes paupières. J’ai une belle vue sur son anaconda de 30 cm, aussi long que son avant-bras et dont le gros gland me fixe. Pendant ce temps, sa main passe sous les draps et il me branle un peu. Ses couilles, aussi grosses que des mangues, ballotent sous son monstre. Parfois, il le fait passer sur mes lèvres.
Au bout de 15 minutes de branle, il m’entrouvre de nouveaux les lèvres et sans un gémissement, il jouit ! Les deux premiers jets sont peu puissants et ils tombent sur ma langue. Mais les suivants sont énormes. Quelques gouttes tombent dans ma bouche et le reste de la giclée disparait de l’autre côté de mon lit, sur le sol. Trois autres suivent, ils vont moins loin et ils tombent dans ma bouche ainsi que sur ma joue. Le reste, bien 6 jets, moins puissant, passe directement dans ma bouche. Je lui montre le résultat en ouvrant ma mâchoire en grand et j’avale tout. J’adore son nectar. Il tape sa queue contre mes lèvres et les dernières gouttes tombent dessus.
Il se recouche et il me prend dans ses bras. On s’endort. Il se lève vers 4h30 pour aller à son boulot... En effet, il n’a pas de séminaire et il va devoir faire de grands allers-retours entre mon domicile et son travail.
Il rentre le soir vers 20h. il a l’air crevé. Je lui ai fait un bon petit plat et il s’assoit. Je lui dis :
- Cette semaine va être dure pour toi !
- Non, elle va être magnifique. Certes, ça va être astreignant... mais je sais que le soir, je me vais retrouver dans les bras de mon amoureux... et il n’y a rien d’autre qui pourrait me rendre plus heureux.
On se pose sur la canapé et Thomas s’endort vite. Je lui mets alors une couverture sur lui et j’éteins la télé. Je vais me coucher. En pleine nuit, je me retrouve de nouveau réveillé par un bruit. Je lève les yeux et je vois Thomas qui se branle au-dessus de moi. Il m’ouvre la bouche d’un doigt et il passe son gland sur mes lèvres. J’ouvre alors la bouche en grand et il sourit :
- Comme la première fois où j’ai compris qu’on allait enfin coucher ensemble !
- Oui ! C’était magnifique.
Et comme cette première fois, je referme mes lèvres sur son chibre... Je me rappelle très bien la sensation de cette queue énorme qui me déforme la bouche. Thomas se met alors à donner de petits coups de reins, comme autrefois. Son gland s’enfonce dans ma gorge. Mais à la différence de la première fois, j’arrive à engloutir ses 30 cm sans problèmes. Je me retrouve avec ses poils de pubis qui sont coincés contre ma joue. Thomas se met à donner des coups de bite plus forts, il l’enfonce de plus en plus profond, ma bouche est ouverte au maximum pour laisser passer ce monstre. J’encaisse bien ce morceau. Comme cette première fois, je sens une quantité importante de précum couler dans ma gorge. Thomas me défonce le gosier. Et au bout de quelques minutes, je sens sa queue se raidir, son gland gonfler... et là, c’est l’explosion... un gros jet gicle dans ma bouche. Puis un deuxième et un troisième. Sa queue se contracte à chaque fois dans ma gorge pour expulser son sperme. C’est vraiment une énorme quantité qui coule dans mon estomac. Je compte bien 12 jets qui mitraillent le fond de ma gorge. Il se retire quand son orgasme est terminé et une trainée de sperme coule encore de sa teub sur ma langue. Je l’avale avec plaisir aussi.
On s’endort tous les deux. Il se lève de nouveau tôt et il rentre de nouveau vers 20h. Mais peu avant qu’il arrive, il m’envoie un message me disant : « J’arrive dans 5 minutes. Laisse mijoter le repas, je dois d’abord te faire ta fête ! »
Quand il rentre, il me trouve nu sur mon lit. Il sourit et il se débarrasse immédiatement de ses vêtements. J’admire sa queue qui pend entre ses jambes, au repos, impressionnante, tel un python ! Il se pose sur le lit et il m’attire vers lui. Je passe mes mains dans son corps bien poilu tandis qu’on se roule une pelle. Puis, mes lèvres descendent le long de son corps tandis que ma main branle son morceau désormais bien tendu. Puis, je la lâche et j’admire ses 30 cm qui est posée au milieu de ses poils de son ventre. Son gland atteint même son torse poilu. C’est vraiment une sensation géniale de voir ceci. Ses couilles grosses comme des mangues pendent dessous. Je les lèche avec des coups de langue. Lui se branle en prenant sa bite en main… ou plutôt le gland qu’il frotte. N’y tenant plus, je prends sa queue en main et je me mets à lécher son gros gland. Je ferme la bouche autour et je me mets à le sucer. Il m’encourage en poussant des gémissements. Je fais petit à petit descendre son gland dans ma bouche jusqu’à ce qu’il touche ma gorge. Mais, je ne m’arrête pas là ! je continue jusqu’à ce que j’aie le nez dans les poils de son pubis. Sa bite me titille l’œsophage. Je me mets à bien le sucer. Je bave de partout.
Ensuite, je me mets à quatre pattes. Thomas écarte alors mes fesses et il glisse sa langue dans ma fente. Elle me lèche tendrement, elle passe sur ma rosette, ce qui me fait gémir. Puis il mordille mes fesses et ensuite introduit sa langue dans mon anus. Il joue avec mon trou. Je gémis de plaisir. Tout ceci dure plusieurs minutes.
Puis il présente son gland devant mon trou où il s’enfonce lentement. Sous ses coups de bassins, je sens ses 30 cm s’insérer en moi pendant que je pousse de petits cris de plaisir. Ils me pénètrent sans problème. Une fois tout enfoncer en moi, ses grosses couilles au bord de mon cul comme si elle lui appartenait, Thomas commence à faire des va-et-vient. Il sort sa bite à moitié de mon cul et il la réenfonce. Il est assez doux, il me baise ainsi. J’adore cette position. Je ressens sa bite si intensément ! J’ai l’impression qu’elle fait un mètre de long. L’ascension semble à chaque fois interminable. Après quelques minutes, il me saisit mes cuisses et il prend le contrôle de la baise. Il me fait glisser le long de son bâton. Puis, je me retrouve plaqué sur son torse et il me défonce avec de forts coups de reins. Sa queue s’active de plus en plus brutalement dans mon sphincter qui pulse de plus en plus fortement. Sa bite coulisse en moi sur toute sa longueur et son bassin claque bruyamment contre mes fesses. Je crie fort de plaisir.
Ensuite, il me fait descendre et il me place sur le dos. Il me met directement sa teub bien au fond et il me défonce. Ses couilles tapent mon cul. Il devient très sauvage, de plus en plus bourrin. Chacun de ses coups m'arrache un cri de jouissance. Puis, il se penche sur moi et il pilonne tout en m’embrassant sauvagement. Il est tel un animal en rut qui me défonce, qui me ramone avec violence. Je pose mes mains sur ses fesses musclées et poilues et je les sens faire des mouvements de va-et-vient dans mon cul, tout comme je sens ses couilles bien poilues venir claquer contre mes fesses et mes jambes. Son anaconda me pénètre et rentre au plus profond de mon bide et le fouille à l'intérieur... Il me baise maintenant avec une violence inouïe. Sa queue massacre ma prostate... ce qui me fait jouir sans me toucher. Des giclées incontrôlées sortent de ma bite et aspergent mon ventre... et le sien !
Il continue de me défoncer. Finalement, je sens sa queue gonfler. Dans un cri bestial, il jouit dans mon cul qui se retrouve inondé. Je sens son foutre gicler dans mon bide tellement la pression est forte. J'ai vraiment l'impression qu'il est en train de pisser. Il gueule bestialement, les jets ne semblent pas vouloir s’arrêter. Il gicle bien 20 jets en moi. Quand sa queue quitte ma chatte, j’entends un splash. Le jus coule abondamment tel une cascade hors de mon anus sur le sol. Il se couche à côté de moi, il m’embrasse et au bout de quelques minutes, il dit :
- C’était génial, mon amour !
- Oui ! Trop bon !
- On va manger ?
- Oui, allez.
On reste nus et on passe à table. Après le repas, on se matte un film. On est dans les bras l’un de l’autre et on s’embrasse, on se câline tendrement.
Voilà comment se déroule toute la semaine. Un mélange de baise et de temps dans les bras l’un de l’autre. On en oublierait presque le monde extérieur.
Il écrit à ma sœur qu’il reste le week-end avec moi car on aimerait sortir. C’est une excuse bidon qu’elle semble gober. En fait, on passe tout le week-end à baiser. On ne fait que ça. On baise, on mange, on regarde un film qu’on n’arrive jamais à terminer car, soit je saute sur lui, soit lui sur moi et on fait sauvagement l’amour.
Le dimanche après-midi arrivé, il me dit :
- Dis, tu veux pas venir chez nous ? Pareil, pendant une semaine ?
- Mais je bosse...
- Tu veux pas faire comme moi ?
Je réfléchis et je me dis que ça serait sûrement possible... mais j’ai peur :
- Je vais être là tard, à chaque fois. On va pas pouvoir beaucoup baiser. Et surtout... imagine que ma sœur nous surprenne...
- On fera très attention.
- Je ne veux pas qu’elle remarque quoi que ce soit, Thomas ! Je ne veux pas d’embrouilles dans la famille !
- Oui, je capte ce que tu veux dire, dit-il d’un air triste.
Il comprend ce que j’ai voulu dire : je ne veux pas qu’il quitte ma sœur pour moi. Ça ferait exploser ma famille. On reste quelques minutes sans rien dire dans les bras l’un de l’autre. Puis, finalement, il reprend la parole :
- Tiens, je vais te montrer comment on va faire. Imagine, il est tard, elle est fatiguée, elle va se coucher tôt. Et moi, je t’entends sous la douche...
Il m’entraine dans la douche et il me déshabille. Il me met sous l’eau et il me rejoint, nu. Il commence à me frotter le corps. Il insiste beaucoup sur ma raie et mon trou. Il me colle ensuite contre son corps et il m’embrasse dans le cou. Je sens sa queue prendre du volume. Il commence à me doigter tout en me mordillant l’oreille. Puis, il plonge directement sa teub dans mon cul et il se met à donner des coups de reins réguliers et profonds tout en me tenant les épaules. Je me penche en avant et je me mets à gémir de plaisir sous ses coups de bite. Il plaque alors sa main sur ma bouche et il dit :
- Quand on sera chez moi, il faudra que tu retiennes tes cris.
- Mais je ne peux pas !
Je sens alors sa main se serrer contre mes lèvres et il entame une baise puissante. Il m’embrasse dans le dos tout en me pilonnant. Il caresse mon ventre qui gonfle sous le passage de son python. Je bande bien et je me branle. Je sens ses 30 cm complètement en moi ! Il me baise violemment, ses grosses couilles se balançant en cadence et me frappant les fesses. Sa bite m’ouvre le cul à fond. Il me plaque contre la vitre de la douche et il augmente la cadence. J’encaisse bien. J’essaie vraiment de retenir mes gémissements, mais ce n’est pas facile avec ce gros morceau.
Il saisit ma queue et il me branle au rythme de ses pénétrations. J’essaie de retenir ma jouissance mais quand je le sens bloquer sa grosse queue au fond de ses entrailles, je ne me retiens plus et on jouit au même moment. Moi, je jute 6 gros jets qui éclaboussent les vitres de la douche. Quant à Thomas, il me mitraille le cul avec son sperme. Ce sont 10 giclées qui inondent mon ventre. Puis, il ressort et sa queue est suivie par un torrent de sperme qui coule le long de mes jambes.
- C’était trop bon !
- Oui ! Tu vois comment on fera quand tu viendras nous voir ?
- Oui...
- Tu n’as pas à t’inquiéter mon amour.
- J’espère que tu as raison...
On sort de la douche et on se rhabille. Il va dans la chambre et il fait ses valises.
Quand je le vois enfiler son anorak, je comprends que c’est vraiment la fin de sa visite. On se quitte, le cœur lourd, sans pouvoir s’arrêter de se rouler des pelles.
- C’était magnifique, mon petit Nico.
- Oui. Merci de ta visite. C’était génial.
- Merci à toi. Je t’aime !
- Moi aussi !
Finalement, il monte en voiture, il démarre et je le regarde s’éloigner. Je reste le reste de la journée au lit. Je touche mon cul béant, encore dégoulinant de sperme. Thomas va me manquer !
A suivre...
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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