Chapitre-1
Bonjour à tous, je m'appelle Nico, j'ai 32 ans. Je publie ici ma 2ème histoire, réelle comme la 1ère.
Je rentrais de vacances. Deux semaines dans un trou paumé de Bretagne, à passer du temps avec ma famille. Ce retour était quelque peu frustrant, car j'avais espéré profiter de ce temps loin de ma femme pour me faire démonter le cul autant que possible.
Hélas c'était loupé, aucun profil potable du côté de la campagne.
J'avais un long trajet à faire pour regagner le sud et les 1ères heures était placées sous le signe de la frustration. L'idée d'avoir loupé de bonnes baises entre mec ne me quittait pas.
C'est à ce moment que j'ai décidé de tenter ma chance sur les aires de repos. Je n'avais jamais essayé, mais j'ai lu pas mal de vos histoires concernant les routiers et autres mâles dominants pouvant s'y trouver.
Il était environ 22h à mon 1er arrêt. L'aire était calme, quasi déserte et très silencieuse. A peine deux camions tout feux éteints et une voiture garée plus loin. Je décidais d'attendre quelques minutes en guettant les camions, dans l'attente d'un signe quelconque. Rien. Prenant mon courage à deux mains, je décidais de tenter le tout pour le tout et d'aller aux WC, en laissant la porte déverrouillée. Planté là, en espérant qu'un mec viendrait directement me baiser comme une chienne, je commençais à me branler doucement, l'oreille tendue. Toujours rien...
Déception. Mais je retenterais ma chance à la prochaine.
Malgré mon insistance et la répétition de ce petit manège, les 3 arrêts suivant furent tout aussi décevant. Il commençait à être tard, environ 23h30, quand je repris la route bouffé par le désespoir. Mon idée de me faire baiser vite fait bien fait sur l'autoroute me semblait tomber à l'eau. Tant pis, un dernier essai à la prochaine aire et si ça ne donne rien, je rentre en laissant mes regrets de côté.
Arrivé sur cette dernière aire, j'ai tout de suite été surpris par la taille de celle ci. Le parking poids lourds était gigantesque. Il devait y avoir au moins une soixantaine de camion, peut être de quoi trouver enfin une bonne queue.
Je décidais à nouveau de me garer et d'attendre un signe. Rien, à part deux mecs qui discutent au loin, plantés devant leurs semis.
Je me dirige à nouveau vers les WC en espérant qu'au moins l'un d'eux me remarque et se dise qu'une bonne salope pourrait peut être le vider ce soir.
L'un à l'air de faire la taille mais est très large, l'autre à l'air plus grand et plus fin. Je n'ai pas le temps de m'attarder plus et je m'engouffrais dans la plus grande des cabines de WC. Cette fois je décide de faire monter mon excitation au max et d'enlever mon pantalon pour me branler. Me savoir à moitié à poil, porte déverrouillée, me procura une trique de fou et je me mis à me branler copieusement. S'ils venaient, je serais chaud bouillant. S'ils ne venaient pas, je me serais vidé les couilles.
Après quelques aller retour sur ma queue, j'ai vu la porte s'ouvrir en grand sur les deux mecs. Un échange de regard entre nous trois et il s'approchaient déjà. J'ai eu un peu plus de temps pour les détailler. Le 1er, celui qui m'a plu immédiatement, faisait ma taille mais était beaucoup plus large que moi. Des bras de la taille de mes cuisses, un ventre musclé et bombé sous son t shirt, crâne chauve et une belle barbe bien taillée sur une mâchoire carrée. Le bear musclé dans toute sa splendeur. L'autre, était plus grand d'une dizaine de centimètres, assez fin avec un visage plutôt banal mais pas moche.
Le bear s'approcha pendant que le grand verouillait la porte. Chouette, j'allais avoir deux queues pour le prix d'une.
Le bear commença directement par me caresser le cul, sans un mot. Je fis donc de même et commença à lui caresser le paquet à travers son jean. Je sentais son membre durcir et j'avais l'impression que c'était un beau morceau. L'autre nous regardait faire en se caressant également. Je n'en pouvais plus, je voulais voir la queue de ce mâle tout de suite et commençait à déboutonner son pantalon puis à baisser son caleçon pour libérer sa queue.
Une bonne grosse queue, bien veinee, bien dure, pile comme j'aime. Vraiment ce mec est l'archétype du papa ours qui me fait bander à fond.
Je m'accroupis, trou à l'air et commence à lui bouffer la queue comme une salope. J'avais du mal à lui prendre plus de ma moitié en bouche. Sa queue devait faire quasi 20cm et elle était plutôt large. J'en ai déjà vu des plus grosses, mais je n'ai jamais été un expert de la gorge profonde.
Mon bear commençait à gémir doucement, se laissant faire et me laissant lui manger la queue du mieux possible. Petit à petit, il commença à imprimer son rythme et à me baiser doucement la bouche.
J'essayais de tout gober de mon mieux et je bandais dur comme fer, accroupi devant ce mâle puissant qui me baisait la bouche de plus en plus fort.
Du coin de l'œil, je vis le grand s'approcher, le survet sous les couilles avec une belle queue tendue. Elle était aussi longue que celle de son compère mais bien plus fine. Je préfère les queues larges, mais je ne vais pas me plaindre après avoir autant cherché de la bite ce soir.
Le grand présentant sa queue à côté de celle du Bear et je la prenais immédiatement en bouche, le sucant quelques secondes avant d'alterner avec l'autre bite. Je bandais comme un fou à sucer ces mecs, le cul à l'air dans des chiottes d'autoroute.
Après 5 minutes de pipe en alternance, le Bear se plaça derrière moi, me releva le cul et se mit à me la bouffer. Il me dévorait littéralement le trou, sa langue allant fouiller aussi loin que possible. J'étais totalement aux anges, debout en équerre à déguster une bite et à me faire bouffer le cul. Le paradis. Puis le bear se redressa et commença à jouer avec son gland contre mon trou. J'eue à peine le temps de dire "capote" que le grand je renfournais sa queue dans la bouche. Je senti le gland de mon mâle forcer ma rondelle, puis glisser d'un coup jusqu'au fond de mon cul. Je laissais échapper un petit cri de douleur et de plaisir, étouffé par la bite de l'autre.
Ça y est, je sentais enfin une queue dans mon cul. Et une sacré queue en plus de ça. Je n'étais pas à l'aise avec le fait qu'il me l'ait mise sans capote, mais il y était déjà, et son 1er aller retour me fit tout oublier.
Je prenais mon pied à sentir sa grosse queue m'écarteler et il commença à accélérer, jusqu'à me bourriner comme un taureau. J'avais eu un peu mal au début mais après m'y être habitué, j'étais en kiff total. Une bite me défonçant la bouche et l'autre le cul.
Après 5mn de ce traitement, j'entendis le grand parler dans une langue que je ne comprenais pas. Probablement une langue des pays de l'est. Mon Bear lui répondit, puis sorti de mon cul, me mit une claque sur la fesse et me retourna face à lui. Le grand vint se mettre derrière moi et m' encula d'un coup. Le trou déjà bien préparé par son collègue, je l'accueilli sans problèmes. Sa queue me remplissait moins mais elle ne me laissait pas non plus de marbre, je gémissais comme une chienne et le grand me fit me pencher pour prendre en bouche le magnifique pieu du bear. Rebelotte, je me fais limer comme ça pendant quasiment 10mn. Je sens qu'ils prennent autant leur pied que moi. Nous sommes tout les trois dans ces chiottes à prendre du bon temps, eux avec mon cul et moi avec leurs queues.
Après une ou deux minutes encore dans cette position, le Bear me redressa et le grand sorti de mon cul. Le bear me souleva puis passa ses bras sous mes genoux pendant que je passais mes bras autour de son cou. Je n'y croyais pas ! Je fais quand même 70kg pour 1m75, je ne suis pas gros, mais pas un poid plume non plus. Et lui m'attrapa pour me baiser debout comme si je ne pesais rien.
Le grand cala la bite de son collègue et l'entrée de mon trou puis je me laissa glisser sur son membre. Qu'il était bon putain. Il me défonçait debout sans difficultés, me baisant comme la salope que je rêvais d'être.
Pendant ce temps, son collègue me caressait le cul, me l'ecartait pour apprécier le spectacle en se branlant.
Puis quelques secondes plus tard, il vint présenter son gland à l'entrée de mon cul, je le sentais glisser à chaque coup de rein du bear mais il ne rentrait pas.
Puis le grand me présenta une fiole que je reconnu instantanément. Du poppers !
Parfait, j'allais me sentir encore plus chienne. Le bear stoppa ses coups de bites le temps que j'en prenne une grosse bouffée dans chaque narine puis senti la chaleur monter. Je ne sais pas quelle marque c'était mais les effets étaient dingue. Je me sentais devenir une véritable chienne encore plus avide de bites. Puis le grand décida de retenter sa chance et glissa son gland contre mon trou. Cette fois il commençait à passer. Ça faisait mal mais je voulais qu'il rentre. Je voulais absolument avoir ces deux mâles dans mon cul, répondre à toutes leurs envies. J'étais tellement chaud que je poussais mon cul vers le bas pour l'aider et au bout de quelques secondes, sa queue était entrée au fond de mon cul elle aussi.
Je me sentais remplit comme jamais et je bougeais légèrement pour les sentir coulisser dans mon trou de bas en haut.
Il me représenta la fiole, j'en repris et là ils se sont mis à me limer tout le deux.
Le bear, campé sur ses cuisses puissantes me tenait fermement et l'autre me défonçait le cul comme un malade. Je ne contrôlais plus rien et couinait comme un fou sous ce limage de cul en règle.
Je ne pourrais même pas dire combien de temps il a fallu pour que je sente le grand se contracter et me remplir de jus. C'était délicieux et la bite du bear coulissait encore mieux dans mon cul grâce au sperme de son pote. Il me posa, visiblement fatigué de m'avoir baisé debout puis me retourna pour me baiser le cul à nouveau. Ça n'a pris que quelques secondes pour sentir sa queue se contracter et m'inonder le cul de foutre à coup de puissants jets.
Il restait encore quelques secondes au fond de mon cul en râlant de plaisir puis enleva sa bite.
Je me sentais vide. Je m'accroupis à nouveau pour nettoyer sa queue en me branlant, il ne m'a fallu que quelques secondes pour jouir.
J'étais totalement vidé et aux anges, ils se sont rhabillés, m'ont lâché quelques mots avec un grand sourire puis sont sortis tout les deux des chiottes.
Il m'a fallu quelques minutes pour me remettre des mes émotions, j'étais accroupi dans des chiottes d'autoroutes, le sperme de deux inconnus qui m'avaient pris en double, coulait de mon cul, ma bite coulait encore légèrement mais j'étais au paradis.
Je remis mon pantalon et retournais à ma voiture les jambes tremblantes.
Je pense que je n'oublierais jamais cet arrêt sur l'autoroute !
J'espère que cette histoire vous a plu et que j'ai réussi à la retranscrire avec l'intensité avec laquelle je l'ai vécu !
Merci de m'avoir lu.
Nico Lope
theo.esse@yahoo.fr
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