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Chapitre-2
Mes retrouvailles avec Arthur ont été magiques. Le sexe intense. L’attirance mutuelle est toujours là. Et je compte bien capitaliser sur l’intensité érotique pour aller encore plus loin avec lui. Je lui demande d’ailleurs de m’envoyer des nudes. Et aussi toutes les sex tapes qu’il a fait par le passé. Il m’obéit sans broncher. Cela me permet de le voir en action avec d’autres, il y a quelques années. C’est excitant à voir. Un peu plus jeune, moins expérimenté. Souvent passif, mais parfois actif. Ces partenaires sont tous jeunes et beaux. Mais aucune des vidéos n’a l’intensité de nos ébats. Rien n’est aussi chaud ni passionné. Cela me rend fier, et Arthur est donc bien sincère quand il affirme que le sexe avec moi est bien meilleur.
Mais l’exploration sexuelle n’est pas la seule chose que j’ai en tête avec Arthur. J’ai envie de l’éduquer, de le faire murir… comme le fils que je n’ai jamais eu, et n’aurais jamais. Cette envie est tout aussi irrésistible et importante à mes yeux que celle de l’exploration sexuelle. Pour ma prochaine rencontre avec Arthur, j’ai donc décidé de ne pas l’inviter chez moi pour baiser… en tout cas pas tout de suite.
Je l’invite d’abord à déjeuner. Il accepte en ronchonnant. Il sait qu’on baisera après de toutes les façons. Le déjeuner est un moment intéressant : des conversations intéressantes ou je perçois son potentiel, son intelligence, ses gouts qui se forment, entrecoupées de remarques ineptes, de gamineries et d’insolence.
Après le déjeuner, je l’emmène voir une exposition de photographies. Arthur traine les pieds. Il me murmure à l’oreille qu’il préfèrerait qu’on aille directement chez lui ou chez moi pour baiser. Mais je ne cède pas et on se rend à l’expo. C’est un ami photographe, Jacques, qui expose. Il est au courant pour Arthur et moi. Même si on ne se donne pas de signe d’affection en public. Notre relation est encore secrète. Arthur n’assume pas encore notre différence d’âge, et de mon côté, et je respecte ça.
Arthur finit par laisser Jacques et moi discuter, et quand je pars à sa recherche, je suis surpris de le voir regarder les photographies avec intérêt, avec curiosité même. Je n’interromps pas, satisfait de voir qu’il peut s’intéresser à quelque chose. Est-ce parce que je ne suis pas à ses côtés ? Après tout, il y a surement beaucoup de jeu et de comédie quand il se montre insolent…
Après l’expo, on se rend chez lui, et on fait l’amour. Ses parents lui louent un magnifique appartement dans un quartier chic. Ils cèdent décidément à tous ses caprices…
Le lendemain, Jacques m’appelle et me demande si Arthur aimerait poser pour lui… Je ris. Je sais très bien ce qu’il a en tête. Nous avons les mêmes gouts. Et c’est un très bon camarade de jeu sexuel. D’ailleurs il m’arrivait de partager mon ex, Alex, avec lui. Je sais donc qu’il aimerait qu’il en soit de même avec Arthur. Je ne me vois pas lui refuser ce plaisir.
Quand j’en parle à Arthur, je n’évoque que les photos bien sûr. Et il est flatté. Se doute-t-il de quelque chose ? Toujours est-il qu’il ne pose pas plus de questions. Peut-être est-ce parce que Jacques n’est pas particulièrement attirant…
Jacques a un magnifique loft à Montmartre qui lui sert aussi de studio. Arthur est un peu intimidé. Tout porte à croire qu’il ne se doute de rien.
Jacques le met à l’aise. Pour la séance de photos, il n’y a qu’un fauteuil en cuir bien confortable, devant un fonds bleu. Jacques commence par prendre des clichés et laisse Arthur se détendre. Il lui faut un moment pour paraitre naturel et se mettre enfin à sourire. Révélant ainsi sa vraie beauté. Il pourrait être mannequin, cela ne fait pas de doute.
Jacques le fait mettre pieds nus et torse nu. Arthur ne se défile pas, assez fier de s’exhiber en fait. Les photos se succèdent dans différentes positions, en utilisant le fauteuil comme simple accessoire. Jacques demande à Arthur de déboutonner le haut de son jean. Arthur rougit. Il ne porte pas de sous-vêtement. Il a bien retenu mes consignes…. Les photos deviennent légèrement suggestives sans être trop crues. Jacques garde l’œil dans l’appareil et dit le plus naturellement possible : « défais ton jean maintenant »
Arthur est surpris. Il tourne la tête vers moi. Je fais un léger mouvement de tête. Jacques enchaine : « c’est juste pour ma collection personnelle, ne t’inquiète pas ». Arthur a l’air d’hésiter puis fait glisser le jean doucement. Instinctivement il couvre doucement son sexe avec ses deux mains
- Timide ? ça me plait
Jacques apprécie la pose et l’immortalise. Arthur finit par dévoiler son sexe, au repos. Il a l’air de se détendre progressivement et pose dans différentes positions. Des poses nues naturelles, non sexuelles. Je savoure. Mon amant est nu, exposé, magnifique. J’ai hâte de voir les photos.
Puis Jacques commence à se déshabiller. Arthur est interloqué. Bien qu’il soit très deshinibé sexuellement, il est encore bien naïf. Il n’avait pas anticipé que la séance de photos se transformerait en plan cul.
Jacques rejoint Arthur. Ce dernier ne bande pas, contrairement à Jacques. Il me regarde. N’est-il pas motivéà l’idée de baiser avec Jacques ? Mes yeux lui indiquent clairement que ça fait partie du jeu, et qu’il doit se soumettre.
Jacques le fait assoir dans le fauteuil et se tient debout face à lui. Arthur se résigne et commence à sucer sans trop se poser de questions. De mon côté, j’ai remplacé Jacques comme photographe et je les prends en photos. Je constate avec plaisir qu’Arthur s’est mis à bander lui aussi. Jacques prend tout son temps et savoure le plaisir d’avoir un mec aussi jeune qui le suce. Après en avoir bien profité, il redresse Arthur et l’installe sur le fauteuil, à genoux, de dos, les coudes calés sur le dossier, de façon à ce qu’il offre ses fesses. Pour moi, la vue est superbe, et je continue à photographier. Surtout quand Jacques commence à rimmer Arthur. Lentement. Pour bien me laisser le temps d’immortaliser l’instant. Mais aussi pour faire durer le plaisir, bien entendu. Jacques encule ensuite Arthur par derrière, dans la même position. Doucement. La vue de trois quarts est superbe. Je peux voir le corps d’Arthur qui se livre. Le sexe de Jacques qui se glisse entre les fesses. Et les fesses de Jacques qui s’agitent en rythme. Il y a toujours quelque chose de mythique, de transcendantal à voir un jeune éphèbe se faire sodomiser par un homme mur. Les photos seront magnifiques, c’est sûr.
Je me déshabille à mon tour et m’approche d’Arthur. Pour le voir de près, prendre du plaisir. Il se redresse légèrement et m’embrasse sur la bouche. Comme pour me remercier d’avoir organisé ce plan à trois. Le deuxième, après celui de cet été avec le livreur de pizzas, mais le premier avec un autre « daddy ». Arthur se penche ensuite de lui-même pour me sucer. Mes yeux rejoignent ceux de Jacques. Je me rappelle qu’il y a quelques années nous étions dans la même position, en train de baiser Alex, mon ex, des deux côtés. L’histoire se répète.
Les sexes glissent en rythme dans les orifices d’Arthur. Nos mains caressent son corps superbe. Bien calé dans le fauteuil, il ne fatigue pas et tient la position pendant longtemps. Puis Jacques lance : « baise le maintenant, je vais vous prendre en photos »
J’installe Arthur sur le dos, jambes levées, dans le fauteuil, et je le baise par devant. Jacques nous prend en photos. Et se branle en même temps. Je me mets à accélérer. Arthur encaisse le choc, bien coincé au fond du fauteuil. Il ne peut échapper à mes coups de queue. Il commence d’ailleurs à grogner et à gémir.
A mon tour de m’assoir dans le fauteuil, confortablement. Arthur vient s’empaler face à moi. Il offre à Jacques, une vie magnifique sur son dos, et sur ses fesses, pénétrées par ma bite. On entend le « clic » de l’appareil photo. On prend notre temps là encore. Puis je demande à Arthur de se retourner. Il fait face àJacques, se glisse entre mes jambes, calé ses mains sur mes genoux, et vient s’enculer lui-même sur ma bite. Je viens caresser, lécher et embrasser ce dos magnifique qui s’offre à moi. Arthur gémit et se donne du plaisir avec ma queue. On peut voir Jacques nous photographier. On aime ça. Arthur est devenu comme moi : un exhibitionniste.
Jacques finit par s’approcher. Il pousse doucement Arthur, qui bascule, son dos atterrissant contre mon torse, et ses jambes se redressent. Il se rend compte que Jacques est en train d’approcher sa bite de son cul. Arthur panique. Car la bite de Jacques est bien large et il ne pense pas pouvoir nous prendre tous les deux ensemble. Certes, il s’est déjà fait double pénétré avec le livreur de pizzas, mais là c’est autre chose. Je le sens trembler
- Non… c’est trop… je peux pas…
Mais je le tiens bien en place par les épaules et je lui dis à l’oreille.
- Ch… t’inquiète pas. Tu vas adorer… tu en meures d’envie en fait
A peine rassuré, il lâche un petit « oui » docile et nous laisse faire. Quand Jacques presse son gland pour rentre, Arthur pousse des « aahh » de douleur mais nous laisse faire. Je lui plaque la main sur la bouche et le tient fermement. J’aime l’idée. Ce jeu de domination, auquel il se livre. Car malgré la douleur, c’est ce qu’il veut. Il gémit derrière ma main et quand il nous a tous les deux en lui, il lâche des jurons de plaisir et de fierté : « oh my god… fuck… yes… c’est trop bon »
Jacques commence à bouger en lui, et Arthur se cambre de plaisir. La double pénétration est une des choses qui lui donne le plus de plaisir. Les jambes complètement relevées, il se donne et se fait écarter le cul. Jacques accélère, se penche. Le corps d’Arthur est pressé entre Jacques et moi. La baise, la domination est totale. Arthur est complètement bloqué et entièrement livré à nos deux bites qui lui éclatent le cul. On pousse des râles sauvages tous les trois. Et soudain je sens la chair de poule apparaitre sur la peau d’Arthur, les poils de ses mollets s’hérissent doucement, puis il se cambre violemment, envahi par des spasmes de plaisir. Il pousse de cris de jouissances alors que le sperme sort de sa bite de manière incontrôlée. Je sens en même temps le sperme de Jacques couler contre mon sexe, et je crache le mien presque en même temps.
J’embrasse mon chéri dans le cou et lui caresse les seins. Jacques et moi restons en lui aussi longtemps que nos bites le permettent. Arthur finit par se détacher, alors que le sperme abondant s’échappe de son cul bien ouvert et coule le long de ses cuisses.
Le soir, Jacques nous envoie les photos et je les regarde avec Arthur. Elles nous plaisent. Les softs et les sexuelles. Arthur a adoré le plan cul. Se faire baiser par deux daddies. Il a envie de recommencer. Moi aussi. Mais l’autre chose qu’Arthur a retenu de la journée c’est son intérêt pour la photographie. Ça me surprend. En bien. Il me reparle de l’exposition. Me pose des questions sur d’autres photographes. Je lui donne une liste de photographes célèbres dont les œuvres pourraient l’intéresser. Il se montre curieux et intéressé. Cela me fait plaisir et me sert le cœur. J’ai l’impression de participer à son éducation. Comme si c’était mon fils.
D’ailleurs les jours qui suivent, il m’indique qu’il a maintenant un appareil photo. Ses parents lui ont acheter un appareil hors de prix. Il s’amuse à prendre des photos de Paris en noir et blanc. Et il est assez doué. C’est la première fois qu’il s’intéresse à quelque chose comme ça, et qu’il s’y tient. Serait-il en train de grandir et de murir à mes côtés ?
Sylvainerotic
sylvainerotic@yahoo.com
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