Note :
Ce récit constitue la suite de l’histoire « Arthur, le fils de mon meilleur ami ». Maxime, la quarantaine, a rencontré Arthur, 18 ans, le fils de son éditeur au cours de l'été.
Attention :
cette histoire explore une relation œdipienne entre un homme mature et le fils de son meilleur ami. Elle est destinée à un public averti, confortable avec certains tabous. Bonne lecture !
Chapitre-1
Alors que je viens de quitter Arthur et que je suis rentré à Paris, je repense énormément à ce qui s’est passé au cours de ces dernières semaines. Quelle aventure ! Je n’en reviens pas. Ni de mon audace, ni de la chance d’avoir rencontré Arthur (grâce à son père), ni de l’incroyable intensité sexuelle de nos ébats, ni de l’impact que cela a pu avoir sur mon inspiration.
Alors que je mets la dernière main à mon prochain livre, je pense souvent à Arthur. Il me manque, je dois l’avouer. Et je lui manque aussi, car dès les jours qui suivent mon départ, il m’envoie des SMS très chauds. Il veut me revoir dès qu’il sera installé à Paris pour ses études. Les sentiments que j’éprouve à son égard sont complexes. D’abord, sa jeunesse et sa beauté m’attirent irrésistiblement. Le sexe est incroyable, et j’adore le dominer, surtout sachant qu’il a l’air d’adorer se soumettre. Je ressens aussi comme une envie de le dresser. Son comportement d’enfant gâté m’horripile et je prends en quelque sorte du plaisir à le punir en le dominant sexuellement. Mais au fond de moi, je ressens le désir de le voir murir, changer dans la vie de tous les jours. Il y a incontestablement quelque chose de paternel dans ce qui m’attire chez lui. D’ailleurs quand il m’appelle Daddy au lit, je ressens des spasmes de plaisir. Je ne sais pas trop ou cela peut mener. Toujours est-il que je compte bien le revoir dès que possible. D’abord pour mon plaisir sexuel… mais aussi pour voir ou cette relation si complexe peut mener. Après tout, si Arthur change un peu, une relation n’est peut-être pas impossible…
Comme de coutume, je laisse mariner un peu Arthur. Dès son retour à Paris, il me harcèle de SMS. Je prétends être occupé et laisse quelques jours passer avant de lui donner mon adresse.
Il arrive d’ailleurs en avance. Quand il entre, il est encore plus beau que dans mes souvenirs. Son visage superbe, son bronzage parfait. Il sourit
- Tu m’as manqué…
Il a l’air sincère… je dois l’avouer moi aussi et je lui réponds : « tu m’as manqué aussi »
Il m’embrasse sur la bouche.
- Déshabille-toi
Il m’obéit sans hésiter. Je constate avec plaisir qu’il porte un jockstrap blanc. Le contraste avec sa peau bronzée est superbe. Je le laisse comme ça. Je l’embrasse sur la bouche comme pour le récompenser du cadeau qu’il me fait. Le cadeau de sa beauté, le cadeau de sa jeunesse. Sa main me masse le paquet. Je sais ce qu’il veut.
- Mets-toi à genoux
Je sors ma queue
- J’en ai trop envie… j’ai pas baisé depuis ton départ
Je tapote mon gland contre sa langue
- Menteur…
- Ok… j’ai couché avec un mec de Grindr… mon âge… mais c’était pas aussi bon qu’avec toi
Il a l’air sincère et engloutit aussitôt ma bite dans sa bouche. Il la suce comme un mort de faim. Moi non plus je n’ai pas eu de sexe depuis. Et sa langue contre mon sexe me donne un plaisir incroyable. Quand ma bite glisse dans sa gorge, et que ses lèvres viennent caresser mes poils pubiens, j’immobilise sa tête avec mes mains, et laisse la salive me caresser. Je ferme les yeux. Je sens sa langue caresser. Je le libère et le laisse reprendre sa fellation. Je l’admire, lui caresse les épaules. Sa peau n’a pas changé. Douce au toucher. J’admire le dos et ma main descend le long de sa colonne vertébrale. Elle glisse sous l’élastique du jockstrap. Je constate avec plaisir l’absence de marques blanches sur ses fesses. Son bronzage est intégral. Il a donc continué à profiter de la piscine nu le reste de l’été. Cela me fait encore plus bander dans sa bouche. Je repense à son corps superbe en train de nager et de bronzer, ou de s’offrir à moi près du bassin.
Je sens ensuite sa langue glisser sous mes couilles. Ses yeux sont levés vers moi. Je passe la main dans ses cheveux. Je fais glisser mon gland contre sa joue, laissant des filets de précum s’étaler. Il me reprend ensuite en bouche. Je réalise à quel point il suce bien… il aime ça, c’est évident.
Mon excitation de revivre soudain les plaisirs de cet été est telle que je ne peux pas me retenir bien longtemps. Je retire ma bite de sa bouche et lui délivre une énorme faciale. Je tremble en jouissant : voir mon propre sperme asperger ce visage sans défaut… une flaque s’est formée sur sa langue, bientôt avalée… des larmes de sperme s’écoulent doucement depuis la commissure des lèvres. La fellation reprend doucement.
Je redresse Arthur pour l’embrasser. Je le conduis dans ma chambre.
- Mets-toi sur le lit
Il choisit la meilleure solution, alors que je suis en train de me déshabiller : à quatre pattes. Celui du jeune éphèbe qui se donne à l’homme mur. Je le regarde et profite de la vue sur ce corps parfait. Mais je lui ai réservé une petite surprise. Je branche la webcam placée à proximité du lit. Car j’ai décidé de filmer notre baise. C’est quelque chose que je me suis mis à apprécier avec Alex mon ex. J’étais pas chaud au début. Mais il m’a vite converti. Et je n’ai aucun doute qu’Arthur sera partant. D’ailleurs quand il voit son corps s’afficher sur l’écran, il sourit.
Je le rejoins et commence à caresser les fesses, magnifiques, cerclées par le jockstrap. Elles sont lisses, superbes. Je commence à embrasser et à lécher les globes. Puis j’écarte les fesses doucement et commence à lécher. Je le sens frissonner et gémir dès le premier coup de langue sur son anus.
- Oh daddy… yes…. C’est trop bon…lèche moi
Je lèche au rythme de ses gémissements. Il tourne la tête vers la caméra et se donne en spectacle. Il se penche complètement en avant et je plonge complètement dans sa raie. Je prends sa bite en main et la tire vers moi tout en continuant à le rimmer.
- Baise-moi, daddy, baise moi
Il me supplie. Tel un animal en chaleur, il reste penché en avant et les fesses relevées alors que je suis passe prendre du gel. Je l’observe alors que je me lubrifie la queue. Son regard est suppliant, se posant vers moi puis vers la caméra.
Je prends tout mon temps pour le pénétrer. Je regarde la caméra quand mon sexe horizontal et large rentre doucement entre les fesses d’Arthur. Pour celui-ci ce n’est que du plaisir : sentir son sphincter s’ouvrir et mon corps rentrer doucement dans la sien. Quand je suis complètement en lui, je fais une pause. Savourer la chaleur intérieure de son corps. Le fait d’être connecté à lui. C’est Arthur qui initie la sodomie en commençant à bouger. Je démarre moi-aussi. Je le sodomise doucement. Les souvenirs de cet été me reviennent. Comme si ma bite se souvenait.
Je fais des mouvements lents mais longs et amples. Mes mains glissent le long de la peau douce. J’attrape le jockstrap par l’élastique et le fait claquer. Puis j’attrape les hanches pour garder Arthur bien en place alors que j’accélère. Je viens buter avec mon gland au fond de son rectum, et avec mes hanches contre ses fesses. Je le baise. Il gémit : « oui daddy, baise-moi »
Avec plaisir, cher Arthur. Je garde le corps bien en place et j’accélère. Je finis même par me mettre sur mes pieds, lui attrape les épaules et accrois la cadence. Je recouvre complètement son corps. Je le domine.
Après avoir bien baisé comme ça, je retourne Arthur. On s’embrasse sur la bouche puis je le couche sur le dos. Je retire le jockstrap en le faisant glisser doucement. Sa bite, parfaitement bandée apparait. Il écarte les jambes et je le suce pendant quelques minutes. Je l’invite ensuite à s’assoir sur ma bite, alors que je me suis allongé sur le dos. On est de profil face à la caméra.
Mon plaisir est maintenant différent : laisser Arthur me montrer à quel point il aime le sexe. Le sexe avec moi. Son anus se serre contre ma queue. Il se déhanche. J’admire cet éphèbe de 18 ans, nu, passif, soumis et qui aime se faire baiser par un mec de l’âge de son père. Je le récompense avec mes mains, avec mes caresses. Partout, sur chaque partie de son corps que je peux atteindre. Son sexe parfaitement tendu à 45 degrés pointe vers moi et bouge au rythme des déhanchements. Arthur se penche. On s’embrasse avec nos langues qui se caressent. J’écarte ses fesses le plus possible avec mes mains.
- Ça t’a manqué, hein ?
- Oui daddy
- Mets-toi sur le dos
Je le sodomise maintenant par devant, bien calé sur mes genoux, une cheville dans chaque main. Je le transperce avec ma queue. Je me sens puissant. Je commence à mouiller à l’intérieur d’Arthur. Je me penche ensuite car je veux gouter ses lèvres. Gouter sa bouche, sa langue, sa salive, tout en continuant à le pénétrer. Ses mains poussent mes fesses. Il gémit. Il continue à crier plus fort alors que je l’embrasse dans le cou. Ses jambes se sont complètement relevées.
- Oh oui, daddy, fais-moi jouir
Je continue à accélérer. A la fois pour me faire jouir en lui et pour lui stimuler la prostate et le faire cracher son sperme. On jouit ensemble en poussant des cris de plaisir. Je me redresse doucement. On se tourne tous les deux vers la caméra en reprenant notre souffle, fiers de nous. Du bout des doigts je ramasse le sperme qui s’est posé sur le torse d’Arthur et les portent à ses lèvres. Il prend ma main dans la sienne et me suce les doigts. Le petit jeu continue ainsi jusqu’à ce qu’il ait tout mangé. Il se redresse ensuite ensuit, et pose ses yeux vers la caméra, le regard plein de défi. Sans la quitter des yeux, il commence à me sucer. Je suis fier et excité par son audace, par ce signe qu’il me donne de soumission totale à mon corps.
Alors que je vais éteindre la caméra, il s’affale sur le lit en riant
- Ouah c’était top…
Il continue à rire, comme un gamin, satisfait d’avoir obtenu ce qu’il recherchait. Puis il se lève et se balade à poil dans l’appartement histoire de le visiter. Il fait des commentaires sur ce qui lui plait et ne lui plait pas du tout. Sans retenu. Il n’a pas vraiment changé. Toujours un soupçon d’insolence dans tout ce qu’il dit. Toutefois, il me pose quelques questions… Ça change un peu. Je l’observe, nu… je sens tout le potentiel qu’il a en lui. Son intelligence qui pourrait faire de lui quelqu’un d’intéressant. Un compagnon de qualité. Mais je sens aussi tout son immaturité. C’est en fait quelqu’un en devenir. Un jeune en train de devenir un adulte. Des forces contradictoires s’opposent en lui… celles de devenir mur, et celles de rester un gamin, car c’est plus facile et plus amusant. Je me sens prêt à accepter cette dualité, et à laisser le temps jouer en ma faveur.
- J’aimerais qu’on se revoie
- Moi aussi… du moment qu’on baise
Il rit de son insolence
Je m’approche de lui, lui attrape le paquet et l’embrasse agressivement. On baise ensuite comme des bêtes ici dans le salon, à même le tapis.
Arthur m’abandonne peu après…
Sylvainerotic
sylvainerotic@yahoo.com
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