Salut,
Je m’appelle Esteban. J’ai 21 ans et je suis étudiant STAPS (études de sport). Je suis bien foutu, musclé, sportif. Je fais mes études dans une petite ville et étant donné que je viens d’un village très éloigné, durant la semaine, je suis en internat. Mon pote de chambre s’appelle Nico. Il vient de Savoie, il est comme, sportif et bien foutu... à peu près comme tous les mecs de notre école car bien entendu, nous faisons beaucoup de sport. Nico et moi sommes deux hétéros.
Moi, ça fait un moment que je n’ai pas de copine et la sienne est toujours en Savoie. Je sais cependant qu’il va voir ailleurs car je l’ai déjà vu draguer et s’éclipser avec une fille alors qu’on sortait en boîte. Moi, aussi, il m’arrive de pécho et de finir dans le lit d’une meuf. Nico et moi nous sommes très vite bien entendus. Je l’ai déjà vu torse nu dans notre chambre ou à poil dans les vestiaires, ce qui ne m’a jamais choqué. Je n’ai jamais eu de penser déplacer envers lui... jusqu’à ce fameux jour.
Nico a un corps athlétique. Il est assez petit (1,70m), il est brun. Il a un visage juvénile et il porte une petite moustache. Il a un corps musclé avec de gros pectoraux et de magnifiques abdos. Ses cuisses sont aussi bien développées. Il a de gros tétons rougeâtres. Son corps est recouvert d’un duvet de poils noirs, courts et fins. Il a un cul bombé et très musclé, lui aussi très poilu. Son pubis est très velu aussi, avec des poils blonds et frisés. Entre les jambes, il a une queue qui semble plus grosse que la moyenne. Elle pendouille entre ses cuisses et elle bouge lourdement sous chacun de ses pas. Il a de grosses couilles marron et poilues qui mettent bien en évidence sa grosse teub.
Quant à moi, je fais 1,80m. Je suis blond, avec une barbe de trois jours, mon corps est imberbe. J’ai des poils sous les aisselles et sur le pubis, qui est assez velu. Mes couilles sont aussi poilues tout comme mes jambes. Je suis musclé sec, avec des biceps et des pecs bien dessinés. Au repos, ma teub est plutôt petite mais elle est très épaisse et mon gland est proéminent. J’ai de grosses couilles pendantes, lourdes, velues.
Hier, dans un bar, on a rencontré une fille charmante. Elle s’est assise à notre table et on a bien discuté. Mais elle me faisait du pied sans arrêt. A un moment, alors qu’elle est allée aux toilettes, Nico s’est penché sur moi et il m’a dit :
- Je crois que je vais pécho.
- Comment ça, ai-je demandé, étonné.
- Elle me fait sans arrêt du pied !
- A moi aussi...
A son retour, Nico a commencé à faire son macho et il a demandé pourquoi elle jouait avec nous et si elle voulait se foutre de notre gueule. Elle a alors répondu :
- Vous me plaisez tous les deux.
- Les putes passent après les potes, ai-je répondu.
- C’est pas sympa.
J’ai rougi en disant que c’était une expression. Elle a ajouté, en ignorant ma remarque :
- Ça vous branche un plan à trois ?
- Putain, ouais, a répondu Nico !
Je ne sais pas comment on faisait ça, c’était une première pour moi et je me demandais si j’allais assurer. Et en plus, avec un autre mec. Situation bizarre et inédite ! Mais pour ne pas perdre la phrase, j’ai accepté aussi. On est rentrés dans notre chambre et on a fait l’amour à trois. C’était vraiment génial. J’ai assuré et ça a été super d’ensemencer la meuf avec mon pote. Une expérience unique.
Le lendemain matin, je me suis levé et j’ai vu Nico. On n’a pas reparlé de la soirée. On est ressorti le soir et on a eu peu bu. Aucun de nous n’a pécho et on est rentrés à l’appart bredouille. On a décidé de continuer la soirée avec des bières devant Netflix...
Et nous voilà revenu à cet instant où tout est sur le point de basculer... Je ne suis pas bourré, je suis simplement éméché, tout comme Nico. Le film ne nous intéresse et on soupire de n’avoir rien d’autre affaire (traduction : on n’a pas pécho et on a les couilles pleines). Nico me demande alors :
- Ça t’a plu hier ?
- Oui, c’était génial, dis-je sans hésiter. Et toi ?
- C’était trop bon. Je me demandais à l’instant si c’était pas la meilleure baise de ma vie !
- J’avoue... C’était trop bon ! La meuf était géniale.
- Et pas que !
- Comment ça ?
- Toi aussi ! Je t’ai jamais vu à poil .... mais t’es bien monté. J’ai adoré voir ta queue entrer et sortir de sa chatte ! Encore mieux qu’un porno !
- Arrête, ta queue est bien plus grosse que la mienne. Et j’avoue que c’était excitant de voir quelqu’un d’autre baiser à côté de moi. Ta queue faisait bien piston.
- La prochaine fois, si on recommence, j’adorerai faire une double pénétration. Toi dans le cul, moi dans la chatte. C’est un de mes fantasmes.
- Ok, dis-je, un peu perdu.
On regarde la télé sans plus rien dire. Puis, Nico me sort ceci à un moment :
- Eh mec tu, tu sais à un moment, moi, j'étais sur le dos, sous la meuf, en 69 à lui bouffer la chatte et toi, je crois que t'étais un peu dans ton trip, bien chaud qu'elle te suce en gorge profonde, parce que t'es venu genre te mettre derrière elle. T’as direct passé les jambes devant ses hanches pour la sodo en mode doggye. Tu te souviens de ce moment, Esteban ?
- Euh ouais, je kiffe trop cette position ! Donc, ouais, j'ai pas résisté à l'envie de la baiser comme ça, dis-je en rigolant. Pourquoi tu me demandes ça ?
- Ben... tu devais tellement être à fond dans ton truc que t'as pas fait gaffe, mais quand tu t'es installé comme ça au-dessus d’elle, ben... mec... tu m'as offert une vue imprenable sur ton trou !
- Oh putain ! Merde ! Je suis désolé, poto ! Bah ouais logique que t'aies vu ça, vu la position ! Oh non ! Je te jure que c'était pas fait exprès ! Ça t'a pas trop bloqué, j'espère, dis-je en continuant de rigoler.
- Nan t'inquiète mec, ça a pas cassé le délire, mais je t’avoue que j'avais pas prévu d'avoir le trou de balle de mon pote en gros plan juste au-dessus de ma tête quand la meuf nous a proposé un plan à trois !
- Arrête, mec, j'ai trop honte, putain ! Je te jure, je suis désolé ! J'ai pas fait gaffe sur le moment !
- Nan mais vraiment, aucun souci ! Moi, ça m'a juste surpris, dit Nico en rigolant aussi. Mais t'inquiète, j'ai continué à lui bouffer la chatte et à kiffer ! De toute manière, comme elle était au-dessus en 69 avec ses genoux de chaque côté, j'aurais pas pu bouger ! C'est que j'ai essayé à un moment !
- Ah bon ? Pourquoi ? Parce que t'étais trop mal à l'aise ! Avoue ! Vraiment désolé, bro !
- Bah je te dis, quand tu t'es installé pour la doggye style et qu’à partir de là, j’avais en gros plan ta queue dans son cul, tes couilles et ton trou, c'est vrai que ça m'a fait un peu bizarre ! J'étais pas prêt, mais après... hum... avec l'excitation de lui lécher sa chatte trempée, elle qui me suçait et qui couinait de plaisir à se prendre ta putain de grosse queue dans le cul, bah... ouais ... ça me dérangeait pas ! Le problème, mec, c’est qu’à un moment, t'as sorti ta queue et au moment de la renfoncer, gars, tu t'es loupé, elle a glissé plus bas, jusqu'à me toucher la joue...
- Oh non ! Arrête ! J’ai trop honte ! Mec, je te jure, je voulais pas que...
- Non, mais t'inquiète, c'est pas le pire !, dit Nico en rigolant à s’en fendre la mâchoire.
- Hein ?! Non, mec, me dis que ça a été encore plus bizarre que ça ?!
- Bah si... Quand ta queue a glissé plus bas, ton bassin a suivi et là c'était plus un gros plan que j'avais mais un très gros plan, dit Nico en rigolant simplement. Il y avait plus seulement la couleur à cette distance !
- Quoi ?! Non, arrête, Nico ! Tu me fais marcher, c’est un cauchemar, c’est pas possible ! Mec, j'oserai plus jamais te regarder dans les yeux sachant ça !
Nico rigole à fond. Je le regarde et je reprends :
- Tu me fais marcher, hein ?
- Non, je te jure ! Mais voir ta tronche me fait bien rire ! J’aime bien te faire paniquer comme ça ! En vrai, c'est cool, mec, hein ? On avait pris notre douche juste avant après notre entraînement à la salle, donc t'inquiète, ça sentait pas pire que sa chatte ! Et puis, ça a duré deux secondes, t'inquiète. J'aime juste te voir ultra mal à l'aise alors que tout va bien.
Soudain, mon regard se porte sur l’entre-jambe de Nico... et je vois que son paquet est plus volumineux. Je fronce les sourcils et en effet, je vois que sa queue est en train de gonfler et de s’allonger le long de l’intérieur de sa jambe. Surpris, je le regarde.
- Nico, tu bandes ?
- Oui, j’en ai bien l’impression... Parler de notre plan à trois réveille mes envies...
- Je veux bien te croire.
Un silence s’installe. Nico passe à un moment sa main sur son entre-jambe et il gémit alors involontairement. Je vois que le fin tissu de son short moule sa bite qui bande désormais à fond. Nico reprend alors la parole :
- J’ai vraiment les couilles pleines... Ça te dirait qu’on se les vide ensemble ?
- Comment ça ?
- Devant un porno.
J’hésite quelques instants puis je réponds « Oui ». Immédiatement, Nico fait descendre son short le long de ses jambes poilues et son morceau se plaque bruyamment contre son ventre. Sa teub est marron, veinée, épaisse. Elle doit bien faire 20 cm, elle est recourbée vers le haut. Il a de grosses couilles marron et poilues
- Et toi, alors ?
Quand Nico me voit hésiter, il s’exclame :
- Poule mouillée !
Je ne peux pas tolérer cette remarque et j’accepte le « défi » : je retire mon pantalon. Ma queue est en mode demi-molle. Nico semble bien la mater, ce qui me fait bizarrement de l’effet : je bande directement. Ma queue fait dans les 18 cm, elle est épaisse et plus foncée que ma peau. J’ai un gros gland rosâtre et de grosses couilles pendantes, lourdes, velues.
On se retrouve assis nus sur le canapé, à côté l’un de l’autre, le cœur battant, la queue dure comme de la pierre. Nico met alors un porno à la télé et il saisit sa queue qu’il se met à branler doucement. Je fais de même. On se branle en silence, sans prononcer un mot. La situation est certes bizarre, mais très excitante. J’ai souvent entendu des mecs qui disaient qu’ils s’étaient branlés avec leurs potes ou leurs cousins étant jeune... et moi, ça m’avait un peu rendu jaloux. Soudain, je sors de mes rêveries car nos bras se mettent à se toucher. Je sursaute... mais je laisse mon bras frôler la peau de mon pote, car ça me plaît assez. A un moment, Nico écarte ses jambes et je l’mite. Nos poils se frottent et aucun de nous ne retire sa jambe. Puis, Nico tend sa main vers ma bite et il reprend la parole :
- Je peux ?
Je ne dis rien, je lâche simplement ma queue... qu’il saisit. Il se met à la serrer et à faire des mouvements de va-et-vient. De l’autre main, il masse mes boules. Je trouve certes la situation extrêmement bizarre, mais il fait ça si bien que je ne dis rien. Je suis prisonnier entre l’envie et le gêne. Ses doigts passent sur mon gland et je gémis involontairement. Nico murmure :
- C’est bien ce que je pensais... Ta queue est vraiment belle. Elle est toute douce.
Je me sens flatté... mais d’un autre côté, je me dis que c’est la première fois qu’un mec touche et complimente ma tige. Est-ce que Nico est homo ? ou bi ? Et est-ce que cet instant fait de moi un homo ? J’ai toujours maté les autres dans les douches, sans pour autant avoir envie d’eux...
Nico s’approche alors de moi et sans que je puisse réagir, il passe une main dans mes cheveux et il caresse ma tête... puis il m’embrasse. Je le regarde, surpris. Quand il libère mes lèvres, je m’exclame :
- J’ai loupé quelque chose là ?
- Hum... désolé... je voulais pas... mais c’était plus fort que moi...
Et il colle de nouveau ses lèvres contre les miennes. Il m’embrasse passionnément tout en caressant ma tête. Il me roule alors une pelle quand il sent que je réponds à ses baisers. Puis, il se redresse, souriant. Je me sens hyper gêné... Je ne comprends rien de ce qui se passe... Sans me laisser le temps de réagir, Nico se penche alors au-dessus de ma queue... et il la prend entre ses lèvres.
- Tu... tu fais quoi, Nico ?
Il se redresse et il me dit :
- Vu qu’aucune meuf n’a voulu te sucer ce soir, je me suis dit que je pouvais la remplacer.
- Ah...
- Tu sais, quand ta bite a touché ma joue hier, j’ai sorti ma langue et je l’ai léchée.
- C’est vrai ?
- Je sais pas si tu t’en es rendu compte... mais tu as gémis fort. Depuis... je pense qu’à ta teub...
- Fais-toi plaisir, alors, murmuré-je.
Je ferme alors les yeux et je me laisse envahir par ce sentiment incroyable. Il se met à me sucer... et il se débrouille vraiment très bien. Je me surprends à poser ma main sur sa tête et mes doigts caressent ses cheveux. C’est une nouvelle expérience... que je savoure à fond.
Au bout de quelques instants, Nico arrête de me sucer, ce que je trouve très frustrant. Il m’enlève alors mon t-shirt, mon pantalon, mes chaussettes. Je me laisse faire et je me retrouve nu sur le canapé. Il se déshabille ensuite et j’ai une belle vue sur sa queue bandée. Je me sens un peu embarrassé... mais ce sentiment disparait quand il recommence à me sucer. Mais cette fois, je pose mes mains sur sa tête et j’accompagne ses allers-retours, imposant peu à peu le rythme auquel il doit me sucer. Je l’amène à faire des gorges profondes et je gémis fort car il le fait vraiment très bien. La sensation de ma bite tout au fond de sa bouche est tout simplement démente. Je le relâche au bout d’un moment. Il reprend sa respiration avant de replonger ma teub dans sa bouche.
Ensuite, il fait promener sa langue le long de mon ventre puis de mon torse. Il me regarde alors droit dans les yeux et c’est moi cette fois, rempli par un sentiment d’envie, qui lui roule une pelle. Il se redresse sans que nos lèvres se séparent, il m’attire vers lui. On se retrouve debout, nos corps collés l’un à l’autre. Il m’entraîne alors dans sa chambre tout en continuant de m’embrasser. On se retrouve sur son lit. Je vois alors sa queue tendue et une envie me prend. Je saisis sa queue et je me mets, à l’aide de ma main, à l’activer un peu. Elle est toute dure. C’est la première fois que je tiens une autre bite que la mienne entre mes doigts. J’admire sa teub marron, veinée. Mes doigts passent sur ses couilles qui sont bien pleines. Elles sont velues, magnifiques. J’admire aussi son périnée qui est aussi recouvert de poils drus et noirs. Mon doigt disparaît dans sa raie qui est telle une forêt vierge... et je touche par inadvertance son trou... ce qui le fait gémir. Je retire mes doigts, un peu embarrassé, et je branle un peu sa bite. Elle est magnifique, bien grosse.
- Quelle belle bite ! Elle est énorme, murmuré-je.
Une envie soudaine me prend et je l’enfonce dans ma bouche. C’est une agréable sensation que d’avoir son morceau dans ma bouche. Il a un bon goût salé. Je tente de l’avaler complètement, ce que je n’arrive pas à faire. J’essaie de le sucer en faisant attention à ne pas le blesser avec mes dents. Je fais comme lui a fait, en léchant le gland avec ma langue et en mouillant bien sa tige. Je commence doucement à le sucer, puis j’accélère la cadence. Je le suce passionnément, ce qui le fait bien gémir. Je masse en même temps ses grosses couilles poilues. Mais j’ai toujours son périnée poilu devant les yeux... et soudain, un puissant sentiment s’empare de moi. Je redresse ses jambes et j’ai alors son anus velu sous mes yeux. J’enfonce doucement un doigt dans son trou. Nico soupire. Je commence à le doigter lentement... puis plus rapidement. Nico gémit de plus en plus fort. Je reprends ma branle tout en continuant de le doigter. Puis, je me redresse et je le masturbe... tandis que mon gland frôle son trou.
Voyant que Nico n’oppose pas de résistance, j’enfonce doucement mon gland dans son anus... dans lequel il se retrouve aspiré. Je gémis involontairement. Nico me regardant avec envie, je continue à enfoncer ma bite dans son trou. Lentement, centimètre par centimètre. Je regarde mon pote dans les yeux qui se mord les lèvres... jusqu’à ce que je me retrouve complètement en lui. Quand il sent mes poils de pubis contre son cul, il pousse un soupir sonore. J’entame de lents va-et-vient. Et j’accélère petit à petit la cadence, ce qui fait aussi accélérer l’intensité des gémissements de Nico. La sensation est incroyable. Son trou est si serré, si chaud. C’est une sensation toute nouvelle pour moi... Je savoure chaque coup de queue qui deviennent de plus en plus intenses.
Je regarde mon pote droit dans les yeux remplis de désir. Ne pouvant résister, je me penche sur Nico et je l’embrasse à pleine bouche. Puis, ma langue descend vers ses tétons que je mordille tout en continuant de le baiser. J’admire ensuite ma queue bien dure aller et venir dans son petit trou. Les poils mouillés de sa raie collent à ma teub et l’accompagnent dans ses allers-retours. Je me mets à accélérer : je sens et j’entends mes couilles frapper ses fesses bruyamment. Je passe ma main sur les abdos bien dessinés de mon pote. Puis, je saisis sa queue que je branle lentement. Je finis par lui demander :
- Je peux te défoncer ?
- Oui, vas-y, pilonne-moi.
Je mets alors mon corps en avant, ses jambes collées contre mon corps et j’entame un pilonnage en règle, tel un marteau-piqueur. Mes couilles se mettent à fouetter son cul. Je me penche sur lui pour l’embrasser, tandis que ses mains me caressent le corps, les fesses puis les jambes.
A un moment, j’arrête de le baiser pour ne pas jouir trop vite, mais Nico se met à s’empaler entièrement sur ma bite, faisant des allers-retours. J’admire ma teub qui déforme son anus velu et si serré. Fou d’envie devant ce mec qui semble autant désirer ma bite, je reprends de puissants coups de reins.
Ne tenant plus, Nico se met à se branler et il gicle 7 gros jets qui vont tapisser le mur derrière lui. La sensation de ses muscles d’anus qui se contractent est si extrême que je ne peux plus résister et j’éjacule dans le cul de mon pote. Je lui lâche 5 jets abondants et épais dans ses entrailles. Je me pose ensuite contre lui et je savoure mon orgasme passé.
Quand je me retire, je vois mon sperme dégouliner lentement hors de son trou. Je me penche sur Nico et je l’embrasse passionnément. Je me couche à côté de lui et on se regarde un bon moment droit dans les yeux sans rien dire. Je suis content. Je n’éprouve aucune gêne, aucun embarras d’avoir baisé et fécondé mon pote.
Au bout d’un moment, il se lève en me donnant une petite tape sur le cul.
- Je vais prendre une douche.
- Ok.
Et dans l’embrasure de la porte, il me dit d’un regard malicieux :
- Il faudra vraiment qu’on le refasse. C’était incroyable !
Je souris en hochant simplement de la tête. Je m’étire sur le lit et je me dis qu’en effet, c’était dément. Je n’aurais jamais cru que c’était aussi bon de baiser avec un autre mec ! Je me mets alors à me poser des questions sur moi et ma sexualité. Suis-je devenu homo ? Je ne trouve pas la réponse... Mais soudain, je me retrouve alors à penser que je n’ai plus besoin de chercher d’autres meufs pour tirer un coup... Je vais pouvoir baiser avec mon pote tous les soirs, dès que j’ai les couilles pleines. Cette baise a été la meilleure de toute ma vie... Peu importe que ce soit un mec... qui a une queue énorme qui me fait envie. Je remarque alors que je me remets à bander. Quand il revient, je suis toujours sur le lit. Nico me demande :
- Ça va ?
- Oui. Ça te dérange si je dors avec toi cette nuit ?
- Pas du tout.
Nico vient se blottir contre moi et je le prends dans mes bras. Ma bite se retrouve dans sa fente. Je bande à fond. Je commence alors à faire des allers-retours dans sa raie poilue... jusqu’à ce que mon gland se retrouve contre son anus... Je m’y enfonce et Nico gémit doucement. Je le sers fort contre moi, je lui lécher l’oreille avant de l’embrasser dans le cou... et je me mets à donner immédiatement des coups de reins puissants. Mes mains parcourent son magnifique corps et j’admire ma queue pilonner ses petites fesses contre lesquelles mes cuisses cognent, ce qui les fait bien vibrer et onduler. Je le lime rapidement sur toute la longueur de mon morceau. Il tourne la tête et on s’embrasse tendrement. Je saisis sa queue qui bande à fond et je le branle. Je remarque que ce petit cochon a gardé mon sperme en lui. Il fait office de lubrifiant et ma queue le tasse, en faisant un bruit mouillé.
Je le défonce pendant 10 minutes avant de lui remettre une deuxième dose au fond du cul. Je le branle, ma queue toujours enfoncée en lui, et il éjacule après quelques minutes. Il se retourne ensuite et il me prend dans ses bras tout en me roulant des pelles. Je vois sa main remplie de sperme et je la porte à ma bouche. Je prends sa semence et je la goûte avant de tout avaler. Elle a un goût âpre... mais sucré aussi. Pas mauvais !
Ensuite, sa langue descend le long de mon corps et il se met à nettoyer délicatement ma teub devenue toute blanche. Il s’abreuve des dernières gouttes qui sortent de ma bite et il vient se blottir dans mes bras. On s’endort ainsi, les couilles bien vidées, avec le sentiment que notre amitié vient de prendre un tournant bien particulier.
Merci à Pierre-Esteban pour ses idées.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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