Premier épisode
Chapitre-2 | Que dirais-tu d'un joli costume bien serré ?
6h41... ding ding, Antho me répond enfin !!!:
« Désolé mon ami, mais je n'ai pas eu le choix, c'est un deal !!! »
Je ne comprends pas et tente de l'appeler. Antho ne répond pas.
Ding ding, un nouveau sms, mais signé BOSS :
« A partir de maintenant, tu n'es plus autorisé à rentrer en contact avec Anthony, si tu tentes à nouveau de le faire ... »
Et là une décharge vient me faire sursauter le bas ventre. Une impulsion nettement plus intense que la première.
Ah non cela n'est pas possible, je ne vais pas pouvoir endurer ça ! Mais que faire, je suis coincé.
Entre temps, cette énergie a réveillé ma libido et ma queue commence à durcir, elle prend toute la place possible mais je finis par me sentir à l' étroit et à subir de nouveau la cage qui détient ma bite.
Mes pensées se perdent entre peur, excitation, oppression et colère. Je finis par tomber de fatigue.
13h15 dring dring , je suis réveillé par un appel téléphonique, je saute sur mon téléphone en espérant que cette histoire se termine.
« Salut mon chéri c'est maman, tu vas bien ? »
Bien souvent maman et moi on s'appelle dimanche après midi pour parler de notre semaine.
« Euh ouais, je vais bien et toi ?
-Oui, papa et moi allons bien. Alors quoi de neuf ?
-heuuuu, bah pas grand chose, une semaine ordinaire.
-Oula toi tu me caches quelque chose ! »
Merde, ma mère me connaît bien, mais impossible de lui raconter ça !
« -oui en effet, je me suis faché avec Antho, mais bon ça va aller.
-Ah mince, allez t 'en fais pas mon chéri ça va s'arranger. Je dois te laisser parce que nous avons des amis à la maison, bisous mon chéri et à la semaine prochaine.
-bisous maman. »
Je me lève, et replace la cage qui me gène un peu. Je mange mon pain au raisin avec un verre de jus d'orange en essayant d'oublier que je ne suis plus libre de me branler... l'horreur j'adore ça.
Je dois prendre une douche avant d'aller faire quelques courses au Franprix. Une fois à poil, je remarque que seules 2 leds sont vertes, et la troisième est orange. Mais au fait, ce truc va sous l'eau ? Comment je fais pour pisser ? Je file sur mon PC essayer d'en savoir plus. Ok pour l'eau, et pour pisser il faut le faire sous la douche pour éviter d'en foutre partout. Il est précisé que la charge tient 2 jours et que les leds sont vertes puis deviennent oranges au fur et à mesure que la batterie se vide, et ensuite elles deviennent rouges. Une petite décharge se déclenche quand toutes les leds sont oranges et une décharge importante se déclenche au rouge. Si la batterie se décharge de trop, alors les leds clignotent en rouge et de fortes décharges sont libérées. Super, merci Antho !!!
Je reviens sous la douche, et pisse. En effet ça gicle partout. L'eau fraîche me fait du bien. Je me sèche, mets un jean large, un Tshirt, des baskets ,et vais faire mes courses.
J'ai l'impression que tout le monde me regarde, c'est horrible. A la caisse du Franprix, le petit mec regarde mon paquet avec un sourire en coin, il me fait même un clin d’œil. Normalement, je n'y aurait pas prêté attention, mais là je passe au rouge écarlate, la HONTE. Je rentre en vitesse à la maison.
Je me mets sous là couette et pleure. Je finis par m'endormir.
02h38. Une décharge me fait sursauter. Merde, qu'y a t'il. Je jette un coup d’œil en bas et toutes les leds sont oranges, je branche alors l'instrument de torture sur le câble USB, et hop, les leds clignotent en vert. Mais putain, maintenant il faut que je reste comme un con branché à la prise. Super ! Je finis par me rendormir.
7h30 Mon réveil sonne. Je commence par me débrancher et je me prépare pour aller au taf. Ding ding :
« Aujourd'hui tu mets un joli costume, et choisis en un bien serré, BOSS. »
Ah non, je ne vais pas subir ce genre de conneries ! Ça sera un costume classique !
Je finis de me préparer et je pars au taf, j'ai de la chance, je peux y aller à pied. A peine sorti de l'immeuble, une petite série d'impulsions se fait ressentir. Ding ding :
« Tu as 5 minutes pour aller te changer, BOSS ».
Il me suit ou quoi ? Je regarde à droite et à gauche, derrière moi... rien. Je continue mon chemin et une violente décharge me traverse. Ding ding :
« Tu fais demi tour immédiatement ! Boss. »
Après une telle décharge, je ne me pose plus de question, je rentre me changer.
J'arrive à mon immeuble, passe le badge pour rentrer. Je croise un livreur, n'y fais pas attention et commence à monter les escaliers.
« STOP ! »
Je me retourne et le livreur me regarde d'un œil noir ! C'est un mec latino, dans la 20 aine, 1h95, large d'épaules avec de grosses cuisses. Des yeux noirs très profonds et des cheveux frisés assez courts.
« Pardon, je peux vous aider ?
-C'est bien de vouvoyer son boss ! »
En une seconde je comprends qui il est...
« -Maintenant, pour te faire pardonner, tu vas faire visiter ta cave à ton boss !
-Mais je suis désolé », dis-je en bafouillant, et sans attendre la fin de ma phrase, il sort son téléphone, tapote dessus, et immédiatement je reçois la foudre entre mes jambes.
« -Ma cave est par ici boss. »
Je passe devant lui pour accéder aux escaliers qui descendent aux caves, j'allume la lumière et il me suit.
Arrivés en bas, il me plaque face contre le mur et me pelote chaque partie de mon corps tout en se collant dans mon dos. Putain, je suis à sa merci.
Ses mains sont très grandes et puissantes. Une main tient ma tête et l'autre vient doucement déboutonner ma chemise. Je n'ose même pas bouger. Sa main glisse sous la chemise et vient caresser mes tétons. Elle est tellement grande, que le pouce touche un téton et que le majeur touche l'autre téton. Cela fait monter la pression en moi, et d'un coup ma queue gonfle. Je bouge un peu mon corps pour essayer de faire bouger cette cage qui me gène, mais d'un coup il me plaque de tout son corps sur le mur, me bloque la tête avec sa main et m'embrasse en m’enfonçant sans langue dans ma bouche. L'excitation est à son comble, je ressens sa bosse dans mon dos et elle est impressionnante. Sa salive a un goût de fraise. Son autre main vient pincer un de mes tétons... Je tressaille de plaisir et me laisse totalement maîtriser par ce mec.
Il relâche la pression, et me demande de me faire pardonner de ne pas avoir obéis. Il remarque mon regard interrogateur et reprend les choses en mains. Il me retourne et m'appuie fermement sur les épaules pour que je me mette à genoux. Il ouvre son pantalon et me dis me mettre au boulot.
Sachant où il veut en venir et afin de ne pas subir une décharge, je baisse son boxer. Son sexe bondit sur ma face. Je suis choqué, il doit bien faire 25 cm, avec deux couilles énormes, le tout recouvert d'un duvet frisé. Je prends trop de temps à réfléchir, et cela semble lui déplaire. Je le vois sortir son téléphone, alors en une seconde je tente d'avaler son chibre tellement il est large. Ses mains viennent finalement se caler derrière ma tête et il imprime gentillement mais fermement sa cadence.
Ma bouche est en feu, ma queue est en feu, mon corps est en feu, mes hormones sont en feu, mais je tiens bon. En quelques minutes, il finit par se bloquer au plus profond possible, il reste quand même au moins la moitié de sa queue en dehors de ma bouche, et dans un râle bestial il lâche au moins 6 jets, d'un sperme très épais. J'ouvre les yeux et croise son regard :
« Je ne veux pas voir une goutte sortir de ta bouche ! »
Je me résigne à avaler ce jus si abondant. Il sort, et je commence à me relever :
« -reste à genoux, je n'ai pas fini ! »
Une fois replacé à genoux, il commence à se branler. Mais je ne comprends pas, car il vient de se vider dans ma bouche. Et au bout de deux minutes, 5 autres jets, tout aussi puissant et crémeux, viennent souiller ma gueule et mon costume.
Il me relève et me roule une pelle avec sans langue au fond de ma gorge. Quand il finit, il me fait un signe de la tête pour me montrer les escaliers. Je les remonte et commence à monter au premier étage. Je me retourne et constate qu'il est parti. Je rentre chez moi, je tombe d’effroi dans mon canapé et me rends compte que je suis en train de lécher le jus sur mon costume.
08h48, Ding ding : message de BOSS
« Bien, je crois que maintenant il est temps de changer de costume avant de filer au taf... Que dirais-tu d'un joli costume bien serré ? »
Sasemex
sasemex@gmail.com