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Chapitre 10
Salut,
Moi c’est Nico, 38 ans, blond, les yeux bleus, monté 17 cm, un peu poilu.
Comme raconté dans les premiers chapitres, je suis propriétaire d’une petite librairie à Limoges. Je suis ravi, les clients affluents. Je m’estime vraiment chanceux... Un jour, un client devenu régulier se met à me draguer et m’invite à boire un verre. Puis, nous faisons plus ample connaissance devant un dîner. Et finalement, nous finissons par faire l’amour ensemble. Cinq mois après ce premier dîner avec Christian, nous emménageons ensemble, nous sommes très amoureux. Mon quinquagénaire et moi faisons l’amour souvent. On adore ça. Cependant, alors qu’un jour, je rentre à l’appart, je le surprends en train de baiser avec un autre mec. Je constate après que mon mec me trompe très souvent. Je décide alors de faire la même chose : avec un de mes clients, puis avec deux mecs dans les vestiaires. Puis, Christian me propose un plan à 3 avec un de ces collègues pour pimenter notre vie de couple... et je comprends vite que ce n’est pas la première fois qu’ils couchent ensemble. Depuis, je suis toujours en manque et je baise dès que j’en ai l’occasion. Par exemple, alors que j’attends un rencart qui me pose un lapin, le serveur et le cuisinier me baisent. A la fin, ils m’invitent à participer à une orgie avec deux de leurs amis. Et c’est là que je rencontre Angelos... pour qui je crois développer des sentiments. Mais grâce au séjour romantique en Italie que Christian m’a offert, je me suis persuadé que je le veux, lui et pas Angelos. Cependant, la désillusion arrive très vite : je prends un jour Christian en flag en train de baiser un autre dans notre appart. Et c’est Léon, le frère de Christian, qui me persuade de le tromper avec lui.
Aujourd’hui, quand je rentre dans l’appart, je pousse un long soupir. La journée a été dure ! On a un nouvel employé, Auguste, depuis une semaine et il me fait m’arracher les cheveux. Il ne retient rien, il ne se note bien sûr rien et au lieu de me délester, il me crée deux fois plus de travail !
Je m’attends à voir Christian. Il n’est pas dans la cuisine. Je suis de mauvaise humeur. Il est 19h30 et le repas n’est pas prêt. Il est hors de question pour moi de cuisiner maintenant. Je n’en peux plus. Je veux me changer et je passe dans le couloir. Je vois une photo de la famille de Christian. Mes yeux s’attardent sur Léon, son frère. Il y a un mois, ce-dernier m’a bien charmé et il m’a rempli ... une fois. Dès le lendemain, Léon m’a ignoré. On n’a pas rebaisé ensemble et il a fait comme si je n’étais pas là durant tout le week-end. Je n’ai pas non plus tenu à reparler de notre moment intime. Je soupire à nouveau en repensant à tout ça !
Quand je rentre dans ma chambre, je vois Christian nu sur le lit, me souriant. Je sens ma bite se dresser d’un coup. Je suis certes fatigué, mais je n’ai pas baisé depuis que Léon a juté en moi et là, je suis en manque !
Christian a 55 ans, il a des cheveux très courts coiffés en pic à la militaire et une barbe bien entretenue, le tout de couleur poivre et sel. Il a un tatouage ayant une forme tribale sur le torse. Il est assez grand, avec une carrure normale. Il est bien conservé, il a de petits seins avec un torse rempli de petits poils gris. Il a un ventre plat et une ligne de poils qui descend du nombril à son pubis. Ses bras et ses jambes sont assez poilus. Son pubis a des poils plutôt noirs et courts, tout comme ses couilles. Sa bite pend mollement entre ses jambes et son prépuce enveloppe un gland dont on distingue les contours.
Je me glisse vers lui et mes mains parcourent son corps poilu. Il me regarde faire avec un regard lubrique. Mes mains passent très vite dans son entre-jambe. Je caresse sa teub. Puis, elles remontent et caressent son torse. Mais je vois qu’il bande déjà. Il a une bite de 18 cm, épaisse, un peu plus foncée que sa peau.
Je l’embrasse puis mes lèvres passent dans son cou puis sur son torse. Je m’occupe de ses tétons avant de descendre vers ses 18 cm dressés. Je passe ma langue le long de sa tige avant de prendre le gland en bouche. Voilà un truc dont j’avais aussi faim ! Je lui fais une gorge profonde et je suce sa teub avec envie. Ensuite, je sors sa queue de ma bouche et je commence à lécher ses grosses couilles pour remonter vers son morceau que je lèche comme une glace en le regardant droit dans les yeux. Je reprends ensuite ma suce. Christian me regarde faire, sans un geste. Je remonte finalement vers lui pour l’embrasser tandis qu’il m’enlace dans ses bras, me caressant le dos et les fesses. Je retourne vers sa queue que je suce de nouveau. Il prend ma tête dans mes mains et il accompagne mes mouvements de suce qu’il fait de temps en temps accélérer. Parfois, je gobe ses couilles avant de reprendre sa bite en bouche.
Au bout de quelques minutes, il me fait coucher sur le lit et il se met à laper ma rosette... ce qui me fait gémir. Puis, il enfonce sa tête entre ma raie et il plonge sa langue dans mon anus. Il écarte bien mes fesses, cherchant à aller toujours plus loin dans mon trou. Puis, il se redresse et il enfonce sa queue, sans gel, dans mon anus, lentement... en donnant de petits coups de reins. Finalement, je ressens ses poils de pubis contre ma raie et ses couilles contre mon périnée. Il se met à faire des va-et-vient sur tout le long de sa tige, lentement, sensuellement. Son gland me pénètre bien. Il se penche sur moi, il me dépose des baisers sur la joue avant de me lécher le cou et le dos. Au bout d’un moment, il retire sa bite, il m’embrasse dans le dos. Il me fait poser sur le dos et il m’offre sa queue que j’enfourne dans ma bouche. Il se couche le long de mon corps, il saisit ma bite et il me suce. On fait un magnifique 69.
Après 5 ou 10 minutes, il se place derrière moi, il me met sur le côté et il plonge sa bite dans mon cul. Il me fait lever la jambe et il entame un pilonnage en règle. Sa teub sort et rentre rapidement en moi. Ses couilles tapent contre mes fesses. Son gland me masse bien la prostate et elle cogne fort contre le fond de mon cul. Je saisis ma bite et je me mets à me branler. Parfois, il ralentit la cadence et ses coups de reins sont plus sensuels. Sa queue sort entièrement de mon trou avant de s’y renfoncer sans qu’il n’utilise ses mains. Puis, très vite, il martèle le fond de mon cul. Je n’ai pas juté depuis un moment et je sens mon jus monter... Je ne peux plus me retenir et je gicle sur mon ventre et sur le lit 7 giclées. Un jet atterrit même sur mon torse. Putain ! Quelle pression ! Je ramasse tout mon sperme avec mes doigts et je me les fous dans la bouche, m’abreuvant de ma propre semence. Christian me défonce toujours plus vite pour finalement me remplir de 6 jets puissants qui me mitraillent les entrailles.
Il ressort de mon trou, épuisé. On reste dans les bras l’un de l’autre. Au bout d’un moment, je lui demande :
- Tu peux commander des pizzas ? J’ai trop faim !
- Oui, bien sûr !
On reste nus, recouverts de sperme jusqu’à ce que le livreur sonne à la porte. Je vais dans la salle de bain pendant que Christian va ouvrir. Je me lave quand je vois une trace sur le sol : du sperme séché. Je suis sûr qu’il n’était pas là ce matin ! Je regarde sur les caméras que j’ai installées... et en effet, Christian a eu de la visite dans l’après-midi. Dégoûté, je donne un coup dans le lavabo et je me fais mal au pied. Après avoir mangé, je lui dis que je vais me coucher, prétextant de la fatigue.
Le lendemain, je me rends encore plus tôt que d’habitude à ma librairie. Je n’ai tout simplement envie de le voir. J’ouvre tôt et je vais dans mon bureau. Je me mets au travail et je me change les idées. Vers 9h, mon nouvel employé, Auguste, entre dans mon bureau. Il veut me demander un truc et exaspéré, je lui explique une énième fois. Son regard se pose alors sur la photo sur mon bureau. Surpris, il me regarde et il demande :
- Qui est-ce ?
- Pourquoi ?
- Euh... non, comme ça...
Sa question me taraude un moment et une heure plus tard, je le rappelle dans mon bureau. Je lui montre la photo :
- Tu le connais ?
- Peut-être... Il me semble. Mais bon, je peux me tromper. Qui est-ce ?
- C’est mon petit ami, finis-je par dire. Christian
- Ah... Désolé...
- Quoi ?
- Rien... je...
- Tu as couché avec lui ?
- Euh... possible... Il habite rue XXX ?
- Oui.
- Donc oui... Désolé de vous l’apprendre...
- T’inquiète... on est en couple libre.
- Ah ok... Donc, on peut coucher ensemble ?
- Qui ?
- Vous et moi ?
- Auguste, je suis ton patron, sors s’il-te-plaît.
- Oki doki.
Insupportable..., ce jeune de 25 ans !
A la pause de midi, je me rends aux toilettes et j’y trouve Auguste. On urine l’un à côté de l’autre. Il prend la parole :
- Vous savez, je pense que vous et Christian n’avez pas de relation ouverte.
- Ah bon ?
- Oui, votre réaction m’a tout dit. Ça vous a mis en colère.
- Pas du tout.
- On peut changer ça et lui rendre la monnaie de sa pièce.
En disant ça, il se met à me toucher le cul.
- Auguste, stop ! Tu vas trop loin.
- Ok, désolé.
Mes yeux tombent alors sur sa queue : elle semble assez longue, marron, flasque avec un long prépuce.
Putain, je dois dire que je fixe sa bite car elle me plaît bien. Mais je secoue la tête et je sors. Je vais dans mon bureau et je mange la salade que je me suis achetée le matin même. 10 minutes plus tard, Auguste rentre dans mon bureau, presque à poil. Il ferme la porte à clé et je l’observe, offusqué. Auguste a 25 ans, il est assez grand. Il est brun, avec un visage lisse et des cheveux épais. Il est mince et musclé sec. Il a des bras ainsi que des jambes musclées. Il a de jolis abdos.
Il ne porte qu’un slip blanc... qui moule bien son matos. Il a vraiment un gros paquet. Il est bombé, il forme une boule assez impressionnante. Il laisse deviner de grosses couilles. Je me remémore sa queue de bonne taille. Je me lève et je vais d’un pas déterminé vers lui. Et sans hésiter, je saisis son paquet dans mes mains. Auguste sourit. Je me mets à masser sa queue qui prend du volume. Il saisit alors ma bite et la malaxe à travers le tissu de mon pantalon. Finalement, je sors sa queue de son slip et elle est tendue. Auguste est imberbe, son pubis ainsi que ses couilles sont rasés. Ses boules sont rondes et grosses. Sa queue est marron, elle est épaisse et fait dans les 18-19 cm avec un petit gland.
Il sort aussi ma queue de mon pantalon et il me masse mes boules. Moi, je le branle... jusqu’à ce qu’il passe sa main sur ma nuque et qu’il me fasse descendre devant sa teub dressée. Sans vraiment résister, je me retrouve à genoux et je le suce directement. Mes mains parcourent pendant ce temps son corps musclé. Je prends sa bite entièrement en bouche et je la suce sur toute sa longueur pendant que je me branle. Parfois, Auguste donne des coups de reins qui me font accélérer ma suce. Il a vraiment une bonne massue. Je me sens comme une salope, comme une pute qui s’est laissée facilement convaincre.
Au bout d’un moment, je ne le suce plus et Auguste me baise la gueule. Ses couilles me fouettent le menton. Putain ! Je me sens à ma place en fait. Au bout d’un moment, je me relève et il se met à me branler tout en m’embrassant dans le cou. Je le branle aussi. Soudain, il me plaque contre mon bureau et il enfonce sa bite d’un coup dans mon anus. Je crie de douleur. Il s’en fout et il se met à me baiser. Je gémis fort.
- Je savais que t’étais une grosse salope !
- Oui, vas-y, défonce-moi ! Donne-moi ce que je mérite !
Auguste me fait me relever, il m’embrasse dans le cou tout en m’enlaçant dans ses bras et en me pilonnant à fond. Il me déglingue. Je dois me retenir pour ne pas crier. Ses cuisses cognent fort contre mes fesses, ses couilles battent mon périnée.
- Putain ! C’est trop bon ! Ton trou est trop serré ! Je vais venir te défoncer tous les jours pendant la pause de midi. Compris ?
- Oui ! Vas-y ! Baise-moi !
Ses coups redoublent de vigueur. Mon corps se retrouve bien secoué. Il pose un pied sur mon bureau et il reprend sa baise. Je sens encore mieux son gland en train de forer mon intérieur. Il me lime jusqu’à ce qu’il enfonce sa queue au fond de mes entrailles. Je la sens alors être prise de soubresauts et elle gicle 6 jets de sperme blanc, abondant et liquide, dans mon cul. Je me branle avec sa teub toujours en moi tandis qu’il me caresse et qu’il me mordille le cou. Je gicle 4 jets sur mon bureau. Il reste un moment sans bouger dans mon cul puis, quand il ressort, sa semence jaillit hors de mon anus et tombe sur le sol bruyamment. Elle ruisselle le long de mon cul. Je le vois alors se rhabiller et me tendre un mouchoir. Je m’essuie et il disparaît de mon bureau après avoir lancé :
- C’était trop bon ! On remet ça demain midi !
Je me rhabille et je nettoie le sperme sur le sol et sur mon bureau. Je m’assoie. En effet, c’était trop bon ! Mais est-ce que je vais avoir maintenant un problème avec cet employé ? Est-ce qu’il va accepter de recevoir des ordres de ma part ? Vais-je devoir m’en séparer ?! Mais c’était si bon...
A suivre...
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Meetmemz
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