Toujours en quête de nouvelles aventures, la lecture d’une annonce sur un site en ligne bien connu a éveillé mon attention . Celle d’un peintre à la recherche d’un jeune modèle masculin pour venir poser plusieurs fois par semaine dans son atelier. Coup de chance, il n’est pas très loin de chez moi. L’annonce ne précisait pas l’âge requis ou le type de physique. La trentaine juvénile, mince et épilé complètement je me trouve plutôt désirable, sans fausse modestie quand je me regarde dans le miroir sur pied de la salle de bain. Petit cul bien roulé et bien visité depuis mon dépucelage et sexe de bonne taille avec un gland sensible. Aucun poil sur le pubis ou dans la raie. Depuis la lecture de l’annonce, j’ai comme des papillons dans le ventre, de l’excitation pour l’inconnu. Un numéro de téléphone est indiqué, et si je téléphonais pour entendre la voix du peintre et en savoir plus ? Après ma douche matinale, je ne prends même pas la peine de m’habiller et j’appelle, la boule au ventre. Deux bips et puis quelqu’un décroche. Une voix autoritaire, celle, probablement, d’un homme mature. Un premier point positif. « Oui, je cherche toujours un nouveau modèle. Pour un projet à mettre rapidement en route. Quand pourriez-vous venir pour la première séance ? » Sa question me trouble quelque peu, notamment du fait de sa voix autoritaire. « Ce matin si vous voulez, je suis en congé. » « D’accord pour moi, vous resterez déjeuner comme cela on fera connaissance et si vous avez du temps on commencera une première séance. Je vous envoie l’adresse par message. Disons vers 10 h ? » Le rouge aux joues, j’accepte et je raccroche. Nu je me surprends à avoir une terrible érection. Un bon signe ? Qui sait. D’un bond je file dans ma chambre pour m’habiller et me rendre à l’adresse reçue sur mon téléphone. Une impasse dans un quartier isolé de la ville. L’artiste cherche de la discrétion pour ses travaux j’imagine. L’avenir me prouvera que telle n’était pas la raison, mais n’allons pas trop loin. Il fait encore beau et bon en ce début d’automne. J’enfile un tshirt, un string ficelle rouge et un pantalon en coton léger. Par habitude, je glisse des préservatifs et un sachet de gel dans la poche de ma veste. La prudence, toujours.
Vingt minutes de marche plus tard, me voici dans l’impasse. Plutôt glauque mais j’aime ce côté étrange présent dans ses lieux. Pas loin des chants arabes montent d’une cabane de chantier. J’arrive devant le numéro de l’atelier. Je sonne. Des pas se font entendre et un homme imposant m’ouvre la porte. Grand, un peu bedonnant, cheveux et barbe gris virant sur le blanc. Mon hôte est en peignoir, nu dessous. « Ah voilà donc mon invité. Je pensais que vous n’alliez pas venir, comme les autres qui ont téléphoné avant vous » me dit-il d’un sourire tout en me déshabillant du regard. « Ah oui, ne faites pas attention à mon majordome présent, il m’aide à gérer la maison et les rendez-vous me dit-il en me désignant un petit vieillard en costume de valet. » Tout en me parlant mon hôte me pousse à pénétrer plus avant dans le couloir, sa main descendue de mon dos vers mes fesses. Je n’effectue aucun mouvement de recul, je le laisse faire. L’entrée dans son atelier me surprend. Lumineux, avec deux grandes fenêtres qui donnent sur le jardin, des spots au plafond et une quantité de dessins et de tableaux accrochés au mur, avec de jeunes hommes nus dans des positions qui laissent voir leurs attributs. Tous épilés comme moi. Sans doute ce critère qui a poussé l’artiste à m’inviter.
Au milieu de la pièce, une large banquette rouge attend son heure. « Déshabille-toi rapidement que l’on puisse voir à quoi tu ressembles et si tu restes ou pas » m’ordonne brusquement le peintre, qui laisse glisser son peignoir. Je me dénude rapidement, en traînant un peu pour qu’il puisse voir mon string rouge et la ficelle qui me traverse les fesses. Son regard s’embrase pour ce petit bout de tissu qui me féminise un peu plus, en compagnie de mes petits seins en forme d’œufs sur le plat et de mes cheveux mi-longs. Il s’approche de moi et pose sa main sur mon sexe, comme pour tater la marchandise. Puis ses doigts font glisser le string jusqu’à mes chevilles. D’un coup de pied j’expédie le string hors de portée. Le majordome qui n’a rien perdu du programme ramasse mes vêtements et les emmène dans une autre pièce, nous laissant seuls, le peintre et moi. Nus. Lui son phallus bien en forme, moi mon sexe décalotté d’un geste discret pour mettre en évidence mon gland juteux. Son corps est très poilu, de blanc et une épaisse toison entoure son sexe. Je m’approche et sans rien demander je me mets à genou devant lui. Il ne dit rien et à compris ma faim. J’englobe son sexe épais dans la bouche, presque au point de m’étouffer. Je le pompe comme j’ai appris à le faire quand j’étais en internat. Il apprécie, gémit puis jouis dans ma bouche, d’un liquide chaud et abondant. C’est visqueux mais j’avale tout, avec un peu de foutre qui s’écoule de ma bouche.
« Dis donc tu étais affamé, tu suces divinement bien. Et de ce côté tu aimes aussi t’offrir? » me dit-il en glissant un doigt dans ma fente. « Oui, tout autant » je réponds, la bouche légèrement ouverte. « Moi aussi mais j’ai envie d’attendre pour faire monter le désir. Mais mon Nestor ne dira pas non de t’embrocher comme tu le désires. » C’est à ce moment que Nestor refait son apparition, tout nu aussi. Le vieillard est très mince, épilé sauf autour de sa queue, courte et épaisse. Il bande. Je me couche sur le ventre sur la banquette, offert. Je sens deux mains m’écarter au maximum mes fesses. Un doigt huilé me prépare l’ouverture. Puis, une queue s’insinue en moi. Lentement puis d’un coup sec. J’en ai le souffle coupé. Le vieillard me sodomise comme un jeune homme. Sauvagement, comme me le font souvent mes amants maghrébins. Comme la volonté de me soumettre. Ses mains me pincent les tétons, sa bouche m’embrasse le cou. Je prends mon pied à me faire enculer. Lui aussi à l’entendre râler de plaisir. Il jouit avant de déculer. Le peintre a apprécié, c’set certain mais il est occupé à préparer son matériel. Je monte sur la banquette après un dernier baiser sur la bouche du majordome dont la queue laisse encore couler du foutre. C’est fou le désir que je suscite auprès des hommes plus âgés. J’aime cela, je l’avoue. Je prends une pose érotique, qui laisse voir au peintre ma petite rondelle, et mes bourses bien pendantes. Il se place derrière moi pour le premier dessin, avec, je l’imagine le regard braqué sur mon trésor intime. « J’espère que tu as d’autres poses aussi belles, j’aime ta créativité petite » me dit le peintre en riant. Il tourne autour de moi pour trouver un angle, me caresse pour sentir la douceur de ma peau. Un doigt pénètre en moi. Il teste l’élasticité de mon anus. Je change de position, toujours pour lui offrir une vue idéale sur mes attributs. Sur le dos, mes jambes repliées, mon anus offert, ouvert. Voilà mon peintre qui devient fébrile, son visage rougit, sa queue grossit pour atteindre l’érection. Il s’approche de moi. « Tu es trop bonne, je ne peux plus attendre, je te veux de suite » dit-il, presque dans un murmure. Il se couche sur moi, presque à m’étouffer et le majordome s’approche de son maître pour guider son phallus vers mon orifice, rapidement envahi. Les mouvements sont rapides, je sens mon anus ouvert au maximum. J’aime cette impression de soumission sous le regard du majordome, à poil également. Quelques minutes plus tard, le peintre se retire, je sens son foutre s’écouler de mon cul dilaté. « On s’y remet ? Tu prends une autre pose ? Après ce sera assez pour cette première fois. Tu reviendras demain même heure. J’aurai une surprise. »
Quel bonheur d’être tombé sur cette annonce, j’aurais pu rater quelque chose. Cette pensée tandis que je me rhabille me donne envie d’être déjà demain. Et en plus, la séance est payée, bien. On n’a pas fini de s’amuser dans cet atelier.
Colinot
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