Salut à tous !
Moi, c’est Rémy. Avant de commencer une nouvelle année à la fac, j’ai décidé de profiter à fond des vacances avec un de mes potes d’enfance, Enzo. On a fait toute notre scolarité ensemble, mais malheureusement, on a été séparés après le lycée parce qu’on n’a pas été acceptés dans les mêmes universités. Lui est parti dans le Nord et moi, je suis resté dans le Sud.
Cet été, on a décidé de se retrouver pour raviver notre amitié en réservant un emplacement de camping près du bassin d’Arcachon. L’idée était simple : on se rejoint là-bas. Je prends ma voiture et toutes les affaires nécessaires, et Enzo n’a qu’à me rejoindre avec ses propres trucs.
Une fois arrivé au camping, je monte la tente, et Enzo arrive plus tard dans la soirée. J’étais super content de le revoir. Il n’a pas changé, mais il a bien bronzé après ces quelques semaines d’été. À peine arrivé, il me dit qu’il a envie de sortir et de s’amuser. On part donc en ville, dans un bar pour boire et danser. Pendant la soirée, on rigole et on boit pas mal ! De retour à la tente, on commence à discuter de tout et de rien, surtout d’histoires d’amour et de sexe. Même si on est restés super potes, on n’avait pas beaucoup échangé pendant l’année universitaire, et cette soirée nous a permis de rattraper le temps perdu.
E : Alors, du coup, t’as réussi à choper cette année ? Avec ta gueule, t’as dû gérer, non ?
R : Ouais, j’ai deux plans cul cette cette année. Rien de trop sérieux, juste pour s'amuser. Et toi ? J’ai l’impression de voir passer une meuf assez régulièrement dans tes stories.
E : Ouais, t’as l’œil. Ça fait 5 mois que je suis avec une meuf qui s’appelle Pauline. Elle est super sympa mais ce qui fait que ça marche bien, c’est qu’on le fait H24. Enfin, sauf la semaine dernière, elle avait ses règles. Le seul jour où on a pu ken, j’ai pas pu finir. J’étais grave frustré, j’ai pas joui depuis plus d'une semaine, je suis en manque.
R : Comment ça se fait ?
E : En gros, j’ai dormi chez elle avant de partir et malgre les rêgles elle était motivée pour me sucer au matin. Mais juste au moment où j’allais jouir, ses parents ont frappé à la porte pour le petit-déj et on a dû arrêter. Après, on n’a pas eu le temps de recommencer et je suis parti vite pour prendre le train. J’avais la gaule tout du long, j’étais à deux doigts de me finir dans les chiottes du train.
Après ces confidences, je décide de tendre la perche pour retrouver notre complicité d’adolescents. On avait déjà dormi l’un chez l’autre et il arrivait parfois qu’on se touche chacun de notre côté devant un film porno ou juste pour se libérer. J’adorais ces moments, c’était toujours assez innocent malgré le film un peu chaud. Je n’avais jamais vu la queue d’Enzo, c’était toujours sous les couvertures. Sentir son souffle s’accélérer, entendre ses gémissements et le mouvement de son poignet faisait vibrer le matelas était à chaque fois un combo qui me faisait bander et jouir avec beaucoup d’intensité.
R : Ha ouais, c’est chaud, j’avoue. Tu veux qu’on se branle comme à l’ancienne ? Ça libérera la pression.
E : Ouais, je suis grave chaud, mais t’as de quoi s’essuyer après ?
R : Euh non, j’avoue que j’ai pas de mouchoirs ni rien. Bah, tu t’essuies avec ton caleçon comme d’habitude, pourquoi ça t’inquiète ?
E : Sans mentir, quand je me branle pas pendant plusieurs jours, y’en a vraiment partout à la fin. Tu vois le genre ? J’ai pas pris beaucoup de fringues pour ce week-end, donc flemme de gâcher un caleçon pour ça.
R : Haha, je vois. Écoute, j’ai plus de caleçons non plus, mais je veux bien sacrifier un t-shirt pour que tu te vides les couilles, frangin.
E : T’es vraiment un pote. Bon, c’est parti alors, mais faudra pas te plaindre si j’arrose ta tente.
R : Elle en a vu d’autres, crois-moi.
On devient rapidement silencieux, et la tente se charge d’une tension sexuelle. On enlève nos caleçons et on baisse vite nos duvets à cause de la chaleur. On reste allongés côte à côte, chacun commençant sa petite affaire. Je sens que ça ne va pas durer longtemps. Si je voulais, je pourrais jouir en quelques secondes tellement je suis excité. Le fait de savoir qu’Enzo est en train de se toucher à côté de moi me fait un effet fou.
Je regrette seulement de ne pas voir sa bite ; il fait extrêmement noir dans la tente et je ne perçois que les mouvements grâce à la lumière de la lune. Les va-et-vient d’Enzo font bouger le matelas gonflable et me bousculent légèrement. Je pense qu’il est proche du point de non-retour ; son souffle est fort et saccadé, il est en train de kiffer, le salaud.
E : Je vais pas tarder à venir.
Quelques secondes après, je sais qu’il est en train de jouir car je reçois un peu de son sperme sur mon épaule. Je fais mine de rien, mais sentir son liquide sur moi me fait jouir instantanément sur mon abdomen. Personne ne m’avait jamais éjaculé dessus. Au même moment, j’entends des projections s’écraser sur la toile de la tente. Enzo ne mentait pas, il avait vraiment beaucoup de pression à évacuer.
E : Mec, il faut absolument que tu me passes un t-shirt, je suis trempé.
R : Ha oui, merde, j’aurais dû le faire avant. Je regarde dans mon sac..
Je prends mon portable pour utiliser la lampe torche, je trouve un t-shirt et je le lui passe pour qu’il puisse s’essuyer. En me tournant vers lui, je vois l’étendue des dégâts.
R : Haha, mec, t’as foutu un sacré bordel.
E : M’en parle pas, c’est l’horreur, j’en ai partout. J’en ai même sur l’arcade, c’est pour dire.
Effectivement, en lui donnant le t-shirt, je pouvais voir qu’il s’était inondé le torse de plusieurs jets et qu’il avait du sperme sur le front et dans les cheveux. Quelques traces étaient aussi apparentes sur la tente. Je reprends le t-shirt que je lui avai tendu et je m'essui tout en melangant sa semence avec la mienne dans ce petit bout de tissu. Je le garderai en souvenir précieusement après le voyage.
E : En vrai, ça fait un bien fou. Je me sens relaxé d’un coup.
R : Tu m’étonnes, t’avais pas menti, t’as évacué au moins un litre.
E : Ouais, c’est souvent comme ça.
R : Allez, on se pieute pour être en forme demain.
E : Carrément, à demain poto.
R : À demain.
Je m’endors assez satisfait d’avoir vécu ce moment avec lui. Quand j’ai allumé la lumière, j’ai aussi pu voir sa bite. Enzo est vraiment bien monté, j’avoue avoir été surpris par la taille de son engin. Pour ne pas être trop suspect, je n’ai pas pu la regarder avec attention, mais j’espère avoir l’occasion de la voir davantage dans les prochains jours.
Le lendemain matin, je me réveille en sueur sous la tente, la chaleur est étouffante. En plus de la chaleur, je sens un mouvement à côté de moi. J’ouvre doucement les yeux et vois Enzo en train de se masturber à nouveau.
R : T’étais déjà impatient de recommencer ?
E : Merde, je t’ai réveillé ?
R : Ouais, mais t’inquiète, c’est pas grave.
E : Désolé, ça fait déjà une petite heure que je suis réveillé à cause du soleil sur la tente. J’ai grave chaud et je n’arrête pas de penser à des trucs en rapport avec le sexe. Je me suis dit que si je faisais doucement, tu ne t’en rendrais pas compte.
R : C’est raté, mais je veux bien t’accompagner. Le faire le matin, ça met dans un bon mood pour le reste de la journée.
E : Totalement d’accord, par contre ça va sentir la bite dans ta tente, mon gars.
R : C’est clair !
E : Ça te va si je me branle au-dessus de la couette ? On se connaît depuis tellement longtemps que ça ne devrait pas être gênant.
R : Pas de souci, je suis pas pudique.
E : Parfait.
Enzo baisse alors son duvet, dévoilant son sexe dressé vers le ciel. Comme je l’avais deviné hier, il est énorme, probablement entre 20 et 21 centimètres, bien qu’il ne soit pas très large. De mon côté, sans me vanter, je sais que je suis aussi bien doté avec mes 20 centimètres. Curieux de sa réaction, je baisse à mon tour ma couette, et je vois son regard surpris fixé sur mon entrejambe.
E : Pas étonnant que tu ne sois pas pudique. On peut dire que tu es bien équipé !
R : Haha, merci. Je suis un peu habitué à cette réaction. La tienne est pas mal non plus. Comment ça se fait qu’on ne se soit jamais montré nos engins avant ? À nous deux, on doit bien avoir 40 centimètres dans nos caleçons.
E : C’est clair ! Et avec les filles, ça va pour toi ?
R : J’ai jamais eu de plaintes.
E : Moi non plus, mais il y a toujours ce truc avec la sodomie. J’aimerais pas être la fille qui se prend une de nos queues dans les fesses.
R : Pour ma part, ça m’est déjà arrivé plus d’une fois, et tout s’est bien passé.
E : Sérieux ? Et ça va, elle n’a pas trop souffert ?
R : Un peu au début, mais ensuite, elle avait l’air d’être en extase. Ça dépend aussi de la taille de l’engin de la personne en face.
E : Ou plutôt derrière, haha.
R : Exactement.
E : On a essayé une fois avec ma copine, mais elle n’a pas voulu.
R : Qu’elle t’encule ?
E : Non, t’es con, le contraire.
R : Pourquoi ?
E : Elle avait peur d’avoir mal, ce que je peux comprendre, mais du coup, ça me donne encore plus envie. Le défi inatteignable, tu vois le genre.
R : Je comprends.
E : T’aurais des conseils pour lui montrer que ça peut être plaisant ?
Cette discussion commençait vraiment à m’exciter, et je décide de pousser les choses un peu plus loin.
R : Tout est une question d’excitation et de préparation. Je peux te raconter comment ça s’est passé la dernière fois, et tu pourras voir comment l’appliquer avec ta copine.
E : Ça me paraît être une bonne idée.
R : D’abord, je lui avais proposé de lui faire un massage, et elle a tout de suite accepté.
E : Normal, mais je suis pas trop doué pour ça, enfin, je n’en ai jamais fait.
R : T’inquiète, je vais me mettre sur le ventre, et tu te mets sur mon dos. Je vais te montrer comment faire.
E : Désolé, mais tu risques de sentir ma queue entre tes fesses, mon gars.
R : T’inquiète, on est entre potes.
Enzo monte sur moi et commence à me masser les épaules. Je sens sa queue entre mes fesses, et, étonnamment, c’est plutôt agréable.
R : Tu te débrouilles super bien !
E : Merci.
R : Le but, c’est quand même de l’enculer au bout d’un moment. Après avoir bien massé les épaules, tu descends petit à petit vers les fesses, l’air de rien.
Il commence à masser mes fesses, les malaxe, et finit par les écarter légèrement. Mon intimité ne lui est plus cachée.
E : Et après ?
R : Si elle est toujours partante, tu commences à lui toucher l’anus avec un doigt.
E : OK, je vois le genre ! Et je lui mets des doigts ensuite ?
R : Exactement. Il te faudra du lubrifiant. C’est pas toujours facile à écarter.
E : Ah ouais ?
R : Parfois, ça glisse tout seul si la personne est super excitée, mais les doigts et quelques coups de langue, c’est la base.
E : Et après, on passe aux choses sérieuses ?
R : Oui, tu écartes les fesses et mets juste ton gland à l’entrée. Hésite pas à mimer l’acte en plaçant ta bite entre ses fesses et en faisant des va-et-vient. Le but, c’est qu’elle ait envie que ça rentre.
Enzo suit mes instructions à la lettre. Je sens son sexe glisser entre mes fesses, c’est difficile de rester impassible. Parfois, je relève mes hanches pour intensifier ses mouvements. À un moment donné, son gland se retrouve juste à l’entrée de mon anus. S’il forçait un peu, il pourrait me pénétrer.
E : Je pense qu’on va s’arrêter là, parce que là, je suis à deux doigts de te l’enfoncer. T’as beau être un gars, mais là, je suis grave excité.
R : J’avoue que je suis chaud aussi, et si tu veux continuer, je ne te dirai pas non.
E : OK, continuons le tutoriel alors.
Suite à mon consentement, Enzo commence à forcer doucement mon entrée. Son gland s’enfonce lentement en moi, c’est douloureux, mais je veux continuer.
E : Ça va ?
R : Ouais, ça tire un peu, mais continue lentement.
E : C’est ultra serré, c’est carrément une autre sensation qu’une chatte. C’est fou.
Petit à petit, il pousse plus profondément, et je sens ma peau s’étirer sous la pression de son sexe. Heureusement, il prend son temps, me laissant m’habituer à sa présence. Une fois totalement enfoncé, il se penche en avant, ses poings de chaque côté de mon visage. Dans cette position, je ressens chaque centimètre de sa queue.
E : À partir de là, je connais la chanson.
R : J’en doute pas.
E : Je suis du genre à y aller franco. Dis-moi si je te fais mal, OK ?
R : Fais-toi plaisir.
Ses mouvements de bassin deviennent de plus en plus amples, et je me retrouve coincé, incapable de bouger, obligé d’accepter sa pénétration. Enzo est très endurant. Mon dos est collé à son torse, je le sens transpirer sous l’effort. À mon oreille, il me murmure à quel point c’est bon, à quel point mon cul est serré. Ses coups de bassin résonnant à chaque fois contre mes fesses. Après un bon quart d’heure à me baiser dans cette position, il attrape mes hanches pour me mettre sur le dos.
E : Je veux voir ton visage.
Il place mes jambes sur ses épaules et s’enfonce à nouveau en moi d’un coup. Puis il se baisse, prenant appui sur ses mains. Dans cette position, je sens sa queue aller encore plus loin. Ses mouvements sont rapides et puissants, il est littéralement en train de me démonter. Moi qui pensais qu’il serait tendre étant donné que c’était ma première fois, j’avais tort.
Pourtant, dans cette position, je ressens quelque chose de nouveau, un plaisir intense qui monte de l’intérieur. Je commence à gémir, incapable de contenir les sensations. Enzo le remarque et redouble d’efforts.
À un moment donné, une vague de chaleur m’envahit, et une sensation intense se concentre dans mon bassin. À ma grande surprise, je me vois en train d’éjaculer sur mon torse sans même me toucher. Enzo continue à me baiser, prolongeant mon orgasme. Après quelques secondes, je me remets de cette jouissance violente.
E : Wow, t’as joui sans te branler ? C’est un truc de ouf, la sodo.
R : C’est clair, j’ai jamais ressenti ça, j’ai la tête qui tourne.
E : À moi de jouir maintenant.
Enzo se retira et commença à se masturber au-dessus de mon torse. Je repensais à son impressionnante éjaculation de la veille, alors qu’il ne faisait que se branler. Cette fois, après 20 minutes de baise intense, j’étais impatient de voir ce qu’il allait produire.
La réponse ne tarda pas. Enzo, à genoux au-dessus de moi, éjacula en de puissants jets, pas moins de huit, qui éclaboussèrent mon torse. Son sperme se mélangea au mien, créant un spectacle incroyablement excitant.
Je me redressai pour essuyer le mélange de nos semences, et nous éclatâmes de rire en repensant à ce qui venait de se passer. Aucun de nous n’aurait imaginé que nos vacances prendraient cette tournure. En discutant un peu plus, nous avons compris que ce ne serait probablement pas la dernière fois que nous ferions des cochonneries durant ce séjour.
TonyPavone
contact.tonypavone@gmail.com
Autres histoires de l'auteur :