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Chapitre-4
Benedict vient souvent à la maison. Trois à quatre fois par semaine. Il vient « se vider les couilles », comme il le dit souvent, et s’en va. Quand il arrive c’est toujours la même routine: je lui ouvre la porte, il me fait la bise comme si nous étions deux bons amis de longues dates, puis, il va directe dans la chambre baiser Yannick, mon copain. Moi je le suis, et je m’assois dans mon coin.
Les jours où je suis chanceux, j’ai le droit de me rapprocher d’eux. Je servais surtout de support à Yannick. Quand Benedict le prend en levrette, je me place devant Yanick, se dernier redresse le torse et vient me prendre dans ses bras. On s’enlace tandis qu’un autre homme le culbute. A chaque coup de rein, Yannick me ressert plus fort et gémis comme une chienne dans mes oreilles. Et moi, j’avais vu sur son cul tendu où la grosse bite de Bénédicte faisait des allers-retours, claquant fortement son bassin contre sa croupe. J’avais mal à la bite, tant elle était tendue dans mon pantalon.
Une fois, j’avais osé sortir ma queue pour me masturber. J’ai eu droit à une gifle de la part de Bénédicte. Ils m’ont foutu à la porte et j’ai du attendre une semaine pour à nouveau avoir le privilège de les voir baiser ensemble.
Bénédicte me lançait souvent ce regard qui disait : « C’est moi le mal alpha! Je baise ton propre copain comme jamais tu ne pourras le baiser ». Et c’est vrai qu’il le baise mieux que moi. Jamais Yannick ne couinait de la sorte. Sous ces coups de hanches infernaux, son visage devenait tout rouge et je l’ai vu à plusieurs reprises pleurer de bonheur. Jamais je ne le baiserai comme ça. Pourrais-je un jour baiser quelqu’un de la sorte?
Et quand ils ont fini, j’ai le devoir de tout nettoyer. Je me rapproche, à quatre pattes, de Bénédicte et je mets sa queue demi-molle en bouche. Je lui décalotte bien le gland et avec langue je lui nettoie chaque recoin de son morceau de chaire. Il y a un melange de gout de sperme et du cul de Yannick dans ma bouche. Je m’applique à rendre tout nickel la belle bite de Bénédicte.
Quelques fois je me laisse aller et le simple nettoyage de queue se transforme en fellation. Je sens la bête grossir sous mes coups de langues. Mais Bénédicte me repousse toujours la tête. « Arrête! J’ai pas le temps pour un deuxième round ». Il ne reste jamais longtemps après s’être vider dans mon copain. Il se rhabille toujours vite fait. Et à contre coeur je regarde son saucisson disparaître derrière un vieux sous-vêtements usé. « T’es pas la seule salope en ville que je dois satisfaire », avait-il dit une fois à Yannick qui le suppliait de le reprendre encore.
Mais Bénédicte ne partait jamais sans me voir nettoyer le cul de mon copain. Couché sur le ventre, Yannick m’offre sa croupe. J’enfonce mon visage entre ses deux lobes charnues. Je commence à laper son anus enflé. Il pousse un peu et la jute que Bénédicte venait d’y déposer en sorti. Je dois me presser de tout avaler, jusqu’à la dernière goutte. Bénédicte inspecté ensuite, lui fourre même un doigt. Il me félicitait par de légères tapes sur la joue, puis partait.. Yannick s’endormait presqu’au même moment, et moi, je restait seul à genou dans la chambre avec le sperme de Bénédicte dans l’estomac.
J’avais tenté à plusieurs reprises de baiser Yanick comme Bénédicte, inspiré par les positions qu’il prenait, la puissance de ses coups de hanches; mais ce n’était clairement pas la même chose. Je n’étais pas à la hauteur. Alors j’ai arrêté … Les seuls instants où Yannick et moi avions une intimité sexuelle c’était quand Bénédicte était là.
Pourtant, le reste de notre vie de couple était resté inchangé. On planifie des voyages, on sort au restaurant, on invite des amis à la maison comme si de rien n’était. Bénédicte n’est même pas un sujet de conversation.
Un soir, nous regardions la télévision ensemble dans le salon. Yannick avait posé sa tête sur ma poitrine. Je caressais ses boucles noir du bout des doigts.
Je ne sais pas ce qui m’a prit, mais je lui ai demandé : « Est-ce que tu m’aimes toujours ? ».
Yannick leva la tête et me fixa dans les yeux surpris. Son regard se radoucit et finir par répondre.
« Oui Vincent. Je t’aime. »
« Et pourquoi tu baises avec d’autres mecs? » je ne peux m’empêcher de répondre.
Il soutint mon regard pendant quelques secondes puis lâcha dans un soupir: « Écoute… », cela n’annonçait rien de bon. « Je t’aime beaucoup mais sexuellement ça ne marche pas. D’autres hommes comme Bénédicte savent comment me prendre, comment m’enculer, comment se servir de mon cul; mais toi … Toi tu es tendre et j’apprécie. Mais, au lit, j’ai besoin d’un homme qui me traite comme la salope que je suis. »
Yanick prit quelques secondes avant d’ajouter. « Écoute, je sais que je t’en demande trop et que je t’ai assez fait subir. Il est temps que l’on mette fin à notre relation. Je pense que c’est mieux pour nous deux. »
J’ai la gorge nouée. Je suis choqué par ce que je venais d’entendre. Près de 4 ans de relation avec Yannick et c’est la première fois que nous avons cette conversation. C’est comme si l’homme que j’avais rencontré et dont je suis tombé amoureux n’était pas le même homme assis devant moi. Sans le vouloir, des larmes se mettent à rouler sur mes joues. Je reste figé, impossible de rendre un élément de réponse.
Yannick se lève et se dirige vers la chambre. Je l’entends farfouiller pendant quelques minutes puis ressort un bagage à main. « Je vais chez Sophie. Je viendrai chercher le reste de mes affaires durant la semaine ». Il reste au pas de la porte attendant que je dise quelques choses. Mais rien ne sort. Et les larmes ne s’arrêtent pas de couler. Yannick finit par prendre une profonde respiration et se dirige vers la porte.
La porte claque et mon monde s’écroule. Yannick n’est plus là. L’homme de ma vie m’a laissé. Je n’arrive plus à respirer. Je regarde sur mes genoux où il était couché quelques minutes plus tôt et … et … il y est. Mes doigts glissent dans ses boucles noires. Toute la scène de tout à l’heure est issue de mon imagination. Je me sens soulagé du poids de perdre Yannick.
« Je t’aime ». Ses mots sortirent pour de vrai de ma bouche.
Yannick tourna sa tête vers moi, les sourcils froncés et une mine interrogatrice. Il me fixa pendant quelques secondes, puis un sourire se dessina sur son visage. Ses lèvres s’entre ouvrir comme si il s’apprêtait à dire quelque chose, mais la sonnerie de son téléphone dérangeant ainsi l’ambiance. Mais Yannick ne pouvait s’empêcher de répondre. C’était une sonnerie spéciale.
« C’est Bénédicte. Il arrive dans quelques minutes. Je vais me préparer. »
Yannick se lève prestement et file sous la douche. Moi, je prépare la chambre, le lit.
Quelques minutes plus tard on sonne à la porte. J’ouvre sur Bénédicte qui dépose un baiser sur chacune de mes joues. Il sent l’alcool. Il se dirige vers la chambre où Yannick, tout nu, l’attend avec un sourire qui va d’une oreille à l’autre. Moi je vais à ma place habituelle: une chaise posée dans un coin de la chambre.
Bénédicte roule une pelle incroyable à Yannick. Beaucoup plus haut, Bénédicte le domine, ses mains caressent tout son corps et s’accentuent sur son cul galbé. Ses doigts pétrissent le cul de mon mec. J’en suis jaloux. Mais ça m’excite aussi.
Oui Bénédicte. C’est toi le mal alpha. Toi seul peut le toucher de la sorte. Mord le à l’épaule comme tu le fais actuellement. Vas-y, pelote lui le cul, écarte lui les fesses, glisses-y un doigt, puis deux. Oui … Yannick aime ça … Moi aussi. Mais je sais ou est ma place. Je reste dans mon coin. Je vous regarde. Ma queue est bien raide entre mes jambes, mais je n’ai pas le droit de la toucher. Je la sens tressauter contre ma jambe.
Le pantalon de Bénédicte tombe au sol. Sa bite demi-molle a quand même de belle dimension. Yannick la prend en bouche sans aucune hésitations. Il lui applique plusieurs coup de langue sur le gland, le manche, les boules; et son monstre de bite s’enfle pour gagner ses dimensions finales: une belle bite de 23 cm, bien épaisse, bien juteuse, bien veineuse. Je salive rien qu’à la voir. Et aussi grosse qu’elle soit Yannick arrive à la faire disparaître dans le fond de sa gorge. J’aurais aimé être celui que Yannick suce et en même temps j’aurais aimé être celui qui suce Bénédicte.
Dans mon coin, je les observe. Ma queue me fait mal et je sens du liquide seminal s’échapper de mon gland. J’ai peur de bouger, peur que ma présence ne les interrompe. Je préfère les observer comme on observe une œuvre d’art. Et Dieu sait qu’ils sont une œuvre d’art. Deux beaux hommes avec un physique parfait. J’aurais fait tache près deux.
Bénédicte pousse Yannick sur le lit. Ce dernier tombe à la renverse, les deux jambes en l’air. Bénédicte crache un molar qui se mélange à la salive de Yannick sur sa queue. Et sans aucune forme de préparation, il lui enfonce son sexe dans l’anus.
« Ah! » crie Yannick. Est-ce de la surprise ?Est-ce de la douleur ? Est-ce du plaisir ?
Bénédicte laisse à Yannick du temps pour qu’il s’habitue à sa queue. Mais après quelques secondes, il la retire pour le lui fourrer bien au fond.
« Ah » crie encore une fois mon mec. Bénédicte reprend son jeux de ceinture et maintenant il n’y a plus de doute. C’est bien du plaisir les gémissements de mon mec. Bénédicte se penche sur Yannick et l’embrasse tout en l’enculant. C’est un régal pour les yeux que de voir le cul de Bénédicte s’élever dans les air puis s’abattre puissamment sur Yannick. Quoique actif, Bénédicte a plutôt un beau boule.
À plusieurs reprises Bénédicte tourne la tête en ma direction. Il me surveille. Mais je suis sage. Je sais qu’il faut bien me tenir. Je sais que déjà être dans la même chambre qu’eux est un privilège que je ne veux pas perdre.
Ils changent de position. Yannick est à présent à quatre pattes sur le lit. Ils me donnent face. Je n’ai pas de vue sur leurs culs et leurs queues, mais je vois leur visage et leurs expressions.
Bénédicte tient mon mec fermement par la taille et lui laboure le fion avec force et vite. Il prend son pied. Il complimente mon mec pour son cul, lui disant combien son anus était serré, combien son intérieur est bien chaud et qu’il s’y sent bien. Moi je ne peux m’empêcher d’être fier. Yannick quand à lui avait le visage déformé par une grimace à chaque coup se rein de Bénédicte. Il ne pouvait s’empêcher de gémir. La chambre était rempli des cris de Yannick, du claquement de la hanche de Bénédicte contre le cul de Yannick et de grincements du lit.
L’instant fatidique fini par arriver. L’extase des deux amants arriva à son apogée.
« Je vais jouir » annonça Bénédicte comme à son habitude. Ses derniers coups de reins étaient les plus puissantes au point tel qu’ils propulsaient Yannick vers l’avant. Heureusement qu’il lui tenait fermement la hanche. Et dans un cri rauque il se vida dans mon mec. Sa cadence finit par se ralentir puis Bénédicte se laissa choir sur le lit.
C’est là mon signal. L’unique instant où je suis autorisé de les rejoindre.
Exténué, Bénédicte se repose sur le dos reprenant son souffle. Sa queue encore raide dégouline de sperme. Je récolte toutes les gouttes avec ma langue. Je prend son membre à deux mains et je décalotte pour mieux exposer son gland. Je l’engloutis goulument. Bénédicte frémis sous ma caresse buccale. Et quand son gland devient trop sensible il me l’arrache de la bouche. Je me dirige alors vers Yannick. Je lui écarte ses lobes fessiers et je lape le sperme que Bénédicte vient de déposer.
Totalement remis, Bénédicte se lève d’un coup et se rhabille. Je le conduis vers la sorte. Avant de s’en aller il se retourne pour me saluer. Il me regarde un moment puis sourit. Du bout du doigt, il récupère une goutte de sperme que j’ai sur le montant et me le ramène à la bouche. Je lui suce sensuellement le doigt, ce qui le fait plaisir. Il me tapote gentiment la joue puis s’en va.
De retour dans la chambre, Yannick dort déjà profondément. La chambre pue le sexe. Les draps sont trempés de sueurs et de sperme. Pourtant je n’ai pas envi de les changer. J’enlève mes habits et je me couche près de Yannick. Ma queue est toujours raide mais je ne tente rien. Ce serait comme gâché le moment précieux qui de se passer. Je prends Yannick dans mes bras. Petit à petit, ma queue se ramolli. Mes couilles reste pleine. Je m’endors contre lui. Mais je ne m’empêche de penser …
Allait-il dire « moi aussi », tout à l’heure, avant le message de Bénédicte? Oui. Je le pense. Il m’aime aussi.
A suivre …
Chers lecteurs, N’hésitez pas à me laisser des retours et dites-moi quel tournant vous pensez que l’histoire devrait prendre.
Rappelez-vous qu’il s’agit d’une fiction. Dans un couple toutes les décisions doivent être prises de manière conjointe.
Dej407
dej407@yahoo.com
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