Chapitre-1 |
Aurélien est heureux, il va pour la première fois au Maghreb, au Maroc plus précisément fait un voyage dans le désert de plusieurs jours.
Aurélien est un mec de 32 ans, châtain clair, des yeux bleus clairs presque transparents, bien bâti par la musculature qu'il va faire en salle à Paris. Il est content de son corps lisse, de sa toison resplendissante, de ses longues jambes musclées, et surtout de son cul! Il trouve qu'il a le plus beau cul du Monde! Cela le fait rire quand il pense cela mais c'est la faute aux mecs qui lui disent souvent.
Il aime qu'on s'occupe de son cul, se le faire bouffer, doigter et baiser surtout! Sentir un membre viril le posséder, entrer en lui et déverser tout son jus après l'avoir visiter à différentes vitesses.
Il se gode le soir pour entretenir l'ouverture de son petit trou car certains mecs ne s'embarrassent pas de savoir comment il est, il le fourre rapidement et Aurélien gueule, il n'aime pas avoir trop mal, comme la fois où le rebeu de la salle l'a coincé sous les douches et l'a niqué comme il dit d'une seule traite.
Certes il était bien membré le rebeu mais ce n'était pas de la délicatesse!
Plusieurs fois il a eu comme amants des rebeux et certains étaient des tendres, des délicats qui lui préparaient bien son petit cul avant de le niquer comme des bourrins, mais putain quels plaisirs il avait eu!
Là il voulait voir l'arabe du cru, le blédard comme certains rebeux disaient en présentant un vague cousin qui venait du bled pour les vacances.
Lorsqu'il a atterri à Casablanca, son groupe était d'une douzaine de personnes, et il était le seul célibataire et jeune. Tous et toutes avait bien la cinquantaine. Après une visite rapide de la ville, le soir même ils partaient en convoi, en jeep et Aurélien se retrouve à côté du chauffeur qu'il observe.
Il s'est présenté comme étant Ali et qu'il allait servir de guide pour une poignée de touristes pour les guider et les aider en tout ce qu'ils demanderaient.
Aurélien avait de suite aimé son accent arabe, cherchant un peu ses mots, mais il avait un sourire magnifique et plongeait ses beaux yeux noirs dans ceux à qui il s'adressait.
Il était vêtu d'une grande djellabah blanche, cachant toute ses formes, on ne voyait que la tête, les mains et les pieds nus. Une belle tête d'un arabe de 25 ans pense Aurélien, bronzé à souhaits, de grands yeux noirs en amande ornés de longs cils comme les biches, une petite barbe bien rasée couvre ses joues entourant des lèvres pulpeuses qu'on a envie de mordre et des cheveux noirs courts qui frisent un peu. Il est mince pense Aurélien en matant la silhouette.
Ils ont fait une dizaine de kilomètres dans le désert avant de s'arrêter et les tentes sont montées par les accompagnateurs. Faut voir la dextérité avec laquelle tout se fait. Un feu est allumé, la bouffe est préparée et Ali vient indiquer une tente à Aurélien.
Quand il entre, il y a deux lits de faits, deux espèces de matelas posés à même le sol recouvert d'une toile couvrant le sable.
-si cela ne te dérange pas dit Ali, je partagerais ta tente vu que tu es tout seul et moi aussi, dit il en riant. J'espère que cela ne te dérange pas de dormir avec un garçon ajoute t-il.
Aurélien en rougit et il voit bien qu'Ali le regarde autrement.
Ils vont manger, parler avec les autres, faire les présentations, raconter leur vie pendant qu'Ali et les autres font tout ce qu'il y a à faire. Ils commencent à aller se coucher et Aurélien reste là à regarder le ciel, compter les étoiles quand Ali vient s'asseoir à côté de lui :
-tu veux dormir à la belle étoile ?
-non pas vraiment, il doit bien y avoir des bêtes même dans le désert.
Il fixe Aurélien en ouvrant grand ses yeux, soulève ses sourcils et fait celui qui n'a pas peur :
-oui il y a des bêtes très féroces dans le coin, mais on a de la chance elles n'attaquent que les touristes, pas nous!
Il part d'un grand éclat de rire devant la tête que fait Aurélien.
-viens un peu plus loin pour regarder les étoiles mon ami dit Ali en le prenant par la main pour qu'il se relève et sans le lâcher l'emmène en dehors du coin jusqu'en haut d'une dune où ils s'allongent dans le sable et voilà Ali qui se met à parler des étoiles, donnant des noms arabes, lui expliquant que se sont des déesses ou des dieux qui veillent sur eux dans le désert.
Aurélien se sent bien avec ce mec, il a envie de poser sa tête sur son épaule, de le respirer et de l'embrasser. Il sent son cul et sa queue réclamer.
-faut dormir maintenant la journée de demain sera longue Aurélien.
Il le reprend par la main et l'emmène dans leur tente où à la faible lueur d'une lampe Aurélien le voit enlever sa djellabah. Il est de dos, un dos bien taillé, un caleçon blanc informe lui entoure les fesses. Il se penche pour arranger son lit et dans la lueur il voit la forme des fesses, les jambes écartées et des couilles qui pendent. C'est furtif, mais Ali s'allonge, lui tourne le dos et il semble s'endormir.
Aurélien a peiné pour s'endormir tellement il bandait et l'envie de se doigter se faisait sentir.
C'est Ali qui l'a réveillé le lendemain matin en lui secouant l'épaule et disant simplement :
-c'est l'heure Aurélien.
Il avait déjà le sourire. Toute la journée ils ont voyagé dans des paysages merveilleux pour s'arrêter le soir à l'oasis et tous étaient heureux de retrouver de l'ombre.
Une belle soirée tous ensemble, Ali était toujours à ses côtés lui faisant des sourires en coin ou un clin d'œil quant il parlait. Le chef a dit qu'il fallait aller dormir et le même rituel de la veille s'est opéré, Ali et ses collègues ont tout rangé, mais Aurélien l'a attendu.
-oh tu m'as attendu mon ami, tu n'es pas fatigué ?
-si un peu quand même, mais on ne va pas voir les étoiles ce soir, tu ne m'as pas tout expliqué hier soir!
Il rigole Ali et sans façon prend la main d'Aurélien et l'entraîne en dehors de l'oasis.
Comme la veille ils s'allongent sur le sable dans la nuit noire en bas et si claire en haut. Aurélien s'émerveille encore du spectacle et Ali raconte encore ses histoires, Aurélien se tourne vers lui, appuyé sur un coude :
-mais tu me racontes pas la même histoire qu'hier Ali alors que tu me montres les mêmes étoiles!
-mais tu sais chaque étoile à plusieurs histoires différentes tu sais!
Ils se regardent en souriant et la main d'Ali vient lui caresser la joue, ses yeux de biche brillent dans le noir.
-on ne voit pas souvent de blond comme toi dans mon pays, tu es beau Aurélien! Dit Ali en le fixant.
-toi aussi Ali tu es un très beau mec!
-c'est pas les arabes qui manquent à Paris quand même ? dit Ali en riant.
-non tu as raison.
-t'en connais beaucoup ?
-quelques uns mais beaucoup m'ont déçu alors j'ai voulu voir ce que ce la donnait en venant directement dans ton pays.
La main d'Ali caressait tendrement la joue, l'effleurant.
-qu'est ce que tu aimes chez les arabes ? demande Ali en appuyant sa caresse.
-leur beauté en général et j'aime aussi quand ils sont gentils, doux!
-alors t'aimes les garçons ? demande Ali doucement.
-oui dit Aurélien et toi ?
-moi j'aime les garçons comme toi, les blonds comme toi, ta peau blanche, ta peau imberbe.
-mais t'as rien vu de tout ça hier soir!
-je vais te faire un aveu Aurélien, j'ai attendu que tu t'endormes et je suis venu te voir de plus près, regarder ton corps blanc, ta toison jaune et ton cul, t'as un beau cul Aurélien!
Aurélien était tétanisé d'entendre ça.
-et tu m'as fait quoi alors ?
-rien j'ai regardé uniquement et j'ai bandé en voyant ton cul, tellement que je me suis branlé tout seul après.
-Ali est un grand coquin oui!
Ali attire de sa main le visage d'Aurélien pour qu'il se rapproche du sien. Leurs soufflent se mélangent, la main d'Aurélien caresse le torse d'Ali et descend rapidement sur l'entrejambe. Il sent le gros membre raide qu'il caresse de sa main faisant soupirer Ali qui approche encore sa tête pour que leur lèvres se joignent. La barbe pique mais les lèvres sont tellement chaudes, douces et la langue qui vient à la rencontre de la sienne si bien que les bras d'Ali l'écrasent sur lui.
Aurélien essaie de remonter la djellabah pour avoir accès au caleçon et sortir le monstre qu'il sent.
Le gros zob à peine sorti qu'Aurélien se précipite dessus pour le regarder dans pénombre à la lumière des étoiles, ce gros zob droit, ses doigts en font à peine le tour et il mouille le garçon. Le sexe est rasé, imberbe complètement, les grosses couilles qu'il a aperçu hier sont là, il les prend en main et ses lèvres se posent sur le gland humide. Il l'aspire, le suce, le lèche et Ali commence à gémir doucement.
Le zob est trop long et trop gros pour qu'il l'avale en entier mais ce dont il est sûr c'est que son cul va l'avaler!
Il le suce comme un malade, Ali lui caresse la tête, il se tourne pour qu'il touche ses fesses et la main file dans son jean, un doigt cherche de suite l'anus pour s'y enfoncer doucement, ils râlent tous les deux.
Aurélien sans enlever le zob de sa bouche, défait son jean, le fait glisser et écarte le plus possible ses jambes! C'est Ali qui gémit en enfonçant deux doigts dans son cul.
Les couilles d'Ali durcissent d'un coup, le zob se raidit et semble gonfler dans sa bouche, un petit cri se fait entendre et la première giclée coule sur sa langue directement dans sa gorge. Il n'a pas dû jouir depuis un moment dans une bouche car les doses sont là et les doigts s'enfoncent encore plus rapidement dans son cul.
Il revient embrasser Ali, qui le fait retourner dos contre son torse et lui dit à l'oreille:
-branle toi pour moi Aurélien, je veux voir ton jus gicler de ton zob!
Aurélien n'a pas mis longtemps à jouir dans les bras protecteurs d'Ali, qui l'a laissé reprendre son souffle le serrant contre lui, avant de lui dire :
-demain je te nique Aurélien, je suis sûr que mon zob va aimer ton petit cul. Maintenant on va dormir, demain il y a un long chemin encore.
Un coup dans la tente, Aurélien a voulu faire son câlin et s'allonger avec lui, mais Ali a refusé en parlant de ses collègues qui pourraient entrer.
-t'en fais pas demain je te nique et je t'apprends plein de choses monsieur le touriste!
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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