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Le mauvais temps qui oblige de rester à la maison, j'aime bien car je repense souvent à ma vie, mes amis, mes amours, mes connaissances.
Kabyle, il se faisait appeler Kabyle, peut-être parce qu'il était algérien.
Je l'ai connu il y a quelques années lorsque je vivais dans la cité du 9-3. Cette cité que j'ai adorée avec ses occupants de toutes ethnies. Je me suis fait des amis comme des ennemis, mais lorsqu'on est ami avec un lascar c'est fort.
J'ai mis un moment à comprendre Kabyle, il avait bien 10 ans de plus que moi lorsque je l'ai vu pour la première fois, parlant avec des rebeux de la cité. Tous ces jeunes de mon âge qui l'entouraient semblaient le vénérer et ne le contredisaient pas.
J'ai assisté à des discussions houleuses entre eux mais quand Kabyle disait quelque chose, cela clôturait le débat.
Je voyais bien qu'il me matait à chaque fois mais jamais il ne m'a proposé quelque chose ni eu de gestes déplacés comme certains que j'étais obligé de remettre à leur place.
Mais je le rencontrais souvent ailleurs dans la ville, dans les magasins, son petit sourire narquois aux lèvres, il me faisait un signe de tête mais sans se rapprocher.
Je l'avais détailler ce beau rebeu d'1m85 au moins, carré d'épaules, toujours vêtu comme le rebeu lambda, survêt tee-shirt l'été, grosse doudoune avec une fourrure l'hiver, et leurs éternelles TN aux pieds. Mais il était élégant, toujours bien coiffé, sa barbe rasée court, des yeux marrons clairs qui illuminaient son visage souriant avec des lèvres qui faisaient envies, enfin à moi.
Jusqu'au jour où je l'ai vu avec une meuf, une belle blonde qu'il tenait serré contre lui. Quand il m'a vu, il m'a fait signe et m'a présenté sa blonde. Il avait l'air en admiration devant cette jeune femme qui ma fois était vraiment belle et avait tout ce qu'il fallait où il fallait.
-Fabrice, je te présente Anaïs ma compagne, on vit ensemble depuis quelques temps maintenant.
J'étais content pour lui et déçu en même temps, car c'est le genre de rebeu que j'aurais bien mis dans mon lit. Lorsque j'avais pu le détailler plusieurs fois, c'est la forme de son entrejambe qui me faisait fantasmer.
Enfin, depuis cette rencontre, lorsqu'on se voyait il venait vers moi pour parler. Comme beaucoup de rebeux il est tactile, me prend facilement par les épaules et on parlait de tout et de rien.
Jusqu'à ce samedi où il n'arrêtait pas de parler et j'ai osé l'inviter à prendre le café chez moi.
Il a accepté sans chichi et l'on s'est installé dans le salon. Il n'a pas fait comme les autres rebeux qui venaient : regarder partout! Il était comme timide en fait ce grand rebeu.
On a bu le café et on a parlé de sa copine, qu'il était heureux de l'avoir rencontré, qu'elle l'avait assagi et calmé.
Je lui ai fait des compliments sur Anaïs, disant que c'était vraiment une très belle femme et que j'étais content qu'il soit heureux.
-et toi ? t'as pas de copains ?
Je l'ai regardé sans répondre.
-eh c'est un secret de polichinelle que des rebeux viennent chez toi!
-la preuve, t'es bien là dis-je en riant.
-oui mais moi j'vais pas rester dormir!
On rigole, mais je ne voyais pas où il voulait en venir, eh bien nulle part. Car quand j'ai eu confirmé que j'étais gay et que j'adorais les rebeux et blacks, il a changé de conversation.
Et il a pris l'habitude de venir boire le café le samedi après déjeuner. On discutait de plus en plus et il me faisait des confidences, mais ne me parlait que de sa copine.
Ce samedi là, on était côte à côte sur le divan quand il a posé son bras sur mon épaule en disant :
-t'es quand même un beau mec Fabrice, sympa!
-Kabyle! tu me dragues maintenant ? dis-je en riant mais l'espérant quand même.
-non t'en fais pas, t'es un pote, un vrai et t'en sais plus sur moi que tous les rebeux réunis, mais tu ne sais pas ce que eux savent!
Là il avait piqué ma curiosité, alors j'ai mis ma tête sur son épaule et son bras s'est refermé.
-t'es un drôle de phénomène Fabrice, tu ne m'as jamais rien demandé et je t'ai presque raconté toute ma vie. Mais ce que tu ne sais pas c'est que j'aime aussi les garçons pour une raison très particulière.
Là mon petit cœur s'est mis à battre plus rapidement.
-Je baise ma copine tous les soirs Fabrice, elle adore ça, elle adore même se faire enculer mais elle n'aime pas me sucer, elle fait ça du bout des lèvres et dès que je rentre trop elle a la nausée, pleure toutes les larmes de son cœur. Je l'aime trop pour la forcer à m'obéir, c'est plutôt moi qui suis à ses ordres et désirs tu sais!
-mais ça c'est ta vie Kabyle! Pourquoi tu me racontes ça alors, c'est vraiment intime!
-parce que j'adore me faire sucer!
-alors tu voudrais que je te le fasse ? dis-je en écarquillant les yeux.
-non mon beau, pas toi! J'ai niqué des mecs avant de rencontrer ma copine de toutes les races et je n'aime pas les céfrans pour ça!
Je le regarde encore étonné.
-non ceux que je préfère eh bien, mes compatriotes, les rebeux, comme toi en fait.
Je l'ai regardé incrédule, ne sachant quoi dire.
-mais pas une pipe vite fait, non tu sais la gorge profonde et le rebeu est rétif à faire des gorges profondes, alors j'en ai dressé pas mal des mecs à avaler mon zob et mon jus, maintenant ils sont au point!
Là il rigole.
-mais pourquoi tu me dis ça Kabyle ?
-parce que ceux qui sont passés dans ton lit, ont tous pris mon zob en fond de gorge! Je suis sûr que tu en fais autant avec eux et que t'as été surpris de la façon dont ils t'avalaient la queue, car je sais que tu as une belle queue Fabrice et que t'es un sacré vicelard!
-comment tu sais ça Kabyle ?
-parce que je les ai forcé à me le dire tiens! je voulais savoir ce que tu valais et en fait on est pareil tous les deux, on aime bien avoir un rebeu obéissant aux pieds!
Là il m'avait scotché.
Je fais mon câlin sur son épaule, caressant son torse.
-c'est vrai que j'ai pensé te draguer Kabyle, mais quand je t'ai vu si heureux avec ta copine, je me suis dit que je n'avais pas le droit de faire ça.
-tu vois je te le disais que t'étais un mec bien!
-mais maintenant je comprends mieux les regards que te font les Farid, Karim et autres quand ils sont autour de toi! On dirait le pacha entouré de sa cour, ils te mangent tous dans la main oui!
-ils ont tous bouffé mon zob oui dit Kabyle en riant, et ils l'adorent tous!
-mais qu'est ce qu'il a de plus qu'un autre ton zob ?
Il rigole en me serrant contre lui :
-j'ai un zob épais, tu en fais juste le tour avec tes doigts mais il n'est pas très long, 17 cm tu vois, et ça rentre pile poil dans une gorge, juste à la bonne distance pour que le foutre coule dans leurs gorges.
-et après tu vas baiser avec ta femme!
-voilà t'as tout compris!
On est resté un long moment sur le canapé, moi collé à lui, ma main sur son torse. Je n'osais plus bouger et nous avons parlé des rebeux de la cité, de ceux qu'il avait "initié" à la gorge profonde et il voulait savoir si je les connaissais.
Mais j'ai bien vu qu'il savait tout ce voyou! Ah ces rebeux qui te demandent de ne jamais rien dire et qui balancent! On ne les changera pas!
-ça fait combien de temps que tu es là dans la tour ?
-deux ans bientôt.
-alors t'as pas connu le bistro "le Magot" en face dans l'avenue ?
-non ça me dit rien, pourquoi ?
-parce que c'est là que j'ai dressé mon premier rebeu, il s'appelait Djamel, un marocain. Je ne connaissais pas ma femme à ce moment là et je niquais que les rebeux. Tu veux que je te raconte avec Djamel ?
-ça va nous exciter Kabyle! dis-je en riant.
-bah on verra bien.
Dans cet ancien bar, le soir, les lumières étaient tamisées et je peux te dire que ça niquait dans tous les coins. Un vrai bordel. J'étais au billard et je regardais les joueurs s'engueuler comme d'habitude quand j'ai vu arriver un jeune rebeu, ce petit con avait des lunettes noires en amande, lui recouvrant bien les yeux et les sourcils. Je l'ai vu regarder tout le monde et j'ai senti qu'il s'accrochait à mon regard. Je l'ai détaillé des pieds à la tête, survêt collant moulant un zob qui bandait déjà à moitié. Mince mais son tee-shirt collait à sa peau, des cheveux frisés longs lui tombaient sur les épaules et n'arrêtait pas de regarder dans ma direction.
J'ai fixé ses lunettes noires et ma main est venu caresser mon zob qui s'est mis à prendre de l'ampleur. Sa tête s'est penchée et il devait fixer ce que je faisais, alors je me suis caressé pour bien qu'il voit la forme de mon gros zob. Il s'est avancé pour s'appuyer contre le mur toujours tourné vers moi et j'ai vu sa main venir se caresser le zob également.
Il m'avait chauffé cette salope et à l'époque j'aimais pas trop attendre, alors je lui ai fait un petit signe de s'approcher, il est venu à 10 cm de moi, me fixant toujours de ses lunettes noires que j'avais envie de lui arracher du visage pour voir cette gueule de salope. Il avait de belles lèvres et j'ai pensé qu'elles iraient bien sur mon zob.
Il ne bougeait plus face à moi et j'ai pensé qu'il attendait mes ordres.
Je me suis penché à son oreille :
-suis moi ! j'ai juste dit et je suis allé dans un recoin que je connaissais du bar loin des regards.
Quand je suis arrivé, je me suis adossé au mur le toisant :
-t'es une vedette avec tes lunettes noires ?
-non m'a t-il dit, c'est pour être plus discret.
-t'es venu pour faire la salope ?
Il s'est avancé ce con et m'a dit :
-avec toi oui!
Putain Fabrice, j'ai bandé encore plus en entendant ses paroles.
-à genoux mec et sort mon zob.
C'est là que j'ai vu qu'il avait de longs doigts fins et j'ai de suite senti la chaleur et la douceur. Il n'a pas mis longtemps à sortir mon zob et mes boules. Il était bien raide, bien droit, fier comme les zob algériens!
-tire la langue salope.
Une longue langue est sortie de sa bouche et j'ai posé mes couilles dessus.
-joue avec sans les avaler!
Il était maladroit, sa langue allait partout en fait et il ne savait pas le plaisir qu'il me faisait car t'essaieras Fabrice de garder les couilles d'un mec sur ta langue sans les avaler, mais faire bouger ta langue pour les caresser.
J'ai tiré sur ses longs cheveux mais sa langue continuait ses voyages sous mes couilles, quand une glissait il essayait de la récupérer.
-bouffe moi les couilles !
Un vrai vorace et j'ai aimé sa salive chaude, ses lèvres douces. Je sentais mes couilles rouler dans sa bouche, se faire aspirer, lécher, sucer! Je bandais comme un fou.
J'ai tiré pour les faire sortir et ce con est resté la bouche ouverte, alors j'ai mis mon zob tu penses et j'ai enfoncé d'une seule traite! J'ai bien cru que je l'avais étouffé cette salope! J'avais touché son fond de gorge et cela l'avait surpris. Il crachait partout, pleurait mais je le tenais toujours par ses cheveux.
Je lui ai fait redresser la tête pour qu'il me regarde et j'ai enlevé ses lunettes noires! Putain de vrais yeux de biches le marocain!
-écoute moi bien salope si t'es ici c'est pour avaler mon zob, alors t'arrête de pleurer comme une gonzesse et prends mon zob bien à fond, si ta gorge n'est pas habituée je vais te la dilater comme il faut et mon jus, ma bonne sauce pourra couler au fond de toi!
Il a cligné des yeux, des yeux larmoyants car je ne m'étais pas rendu compte que je serrais ses cheveux très fort.
-ouvre la bouche et regarde moi salope!
Il a obéi.
-je vais te graisser le gosier.
J'ai fait couler ma salive qui tombait juste au fond de sa gorge et je voyais bien qu'il n'osait pas avaler et sa bouche se remplissait.
-avale, ça va graisser les côtés.
Il a dégluti et de suite a rouvert la bouche.
-tire la langue.
J'ai posé mon beau gland dessus et j'ai forcé lentement, c'est beau un zob qui entre pour la première fois dans une bouche de salope. Je l'ai rentré à moitié pour que la salope s'habitue.
-tète moi le zob ma salope, doucement comme un bébé qui a faim.
Si tu l'avais vu téter comme la salope qu'il est! Il prenait son temps, ses lèvres m'enveloppaient bien, jamais je n'ai senti ses dents.
-fais ta chienne, c'est ta vraie nature ça de faire la salope! Alors montre moi ce que tu sais faire avec ta bouche!
Il ne pleurait plus quand il s'est enfoncé mon zob dans sa bouche, j'ai senti sa luette me caresser le gland et continuer à s'enfoncer, pas longtemps car ses lèvres et son nez étaient dans mes poils.
Je tenais fermement sa tête comme si je voulais l'étouffer. J'ai senti ses mains se poser sur mes cuisses mais il n'a pas fait le geste de se reculer!
J'ai niqué sa bouche un long moment, je l'enfonçais en lui aussi bien que dans un cul, les larmes étaient revenues mais il ne disait rien.
Je savais que je pouvais en faire ce que je voulais de ce mec, alors j'ai passé mes jambes derrière ses épaules, lui tenant le cou entre mes jambes et sa tête entre mes mains, mon zob au fond de sa gorge et je l'ai niqué comme ça, j'ai joui comme un malade et j'ai vu mon jus ressortir par son nez. Il toussait, crachait mais se laissait faire.
Je lui ai fait nettoyer les dégâts et il avait encore un bon coup de langue le Djamel.
Je n'avais vu ni son cul ni son zob. La pute dans toute sa splendeur Fabrice. Il restait les bras ballants devant moi, me regardant de son regard de biche apeurée.
J'ai caressé sa joue qu'il a frotté contre ma main en venant se coller à moi!
-toi t'en veux plus ?
-tout ce que tu veux mec, t'as un zob magnifique et j'ai adoré ton jus!
Tiens, il a posé sa tête comme toi en ce moment Fabrice, sur mon épaule et j'ai cru qu'il allait s'endormir.
Je le regarde, il me sourit et ma main part en caresses sur son torse par dessus son tee-shirt et je vois la grosse bosse de son entrejambe, ma main est comme attirée et descend lentement, j'attends à tout moment qu'il dise quelque chose, mais il ne dit plus rien, sa respiration accélère, ma main vient se poser dessus. Il soupire.
Je tâte ce gros morceau dur qui s'allonge encore plus dans le survêt, je caresse pour le faire durcir encore plus, il gémit doucement, je glisse ma main dans le survêt, le boxer et je prends ce gros morceau dur en le serrant doucement.
-branle moi dit-il tout bas.
Tu parles j'ai plutôt envie de le sucer moi ce gros zob. Je fais glisser ma tête sur son torse, mais il me retient!
-non branle moi et regarde moi jouir, regarde mon jus sortir du gland et ne te mets pas trop près.
J'étais excité comme un pou quand j'ai vu ce beau zob à l'air libre, le gland humide qui perlait de mouille, elle devait bien faire la longueur annoncée et effectivement mes doigts en faisaient juste le tour. J'ai sorti le service trois pièces et en fixant le méat je l'ai branlé en essayant de me rapprocher encore, mais sa main me tenait l'épaule et m'empêchait.
Il gémissait Kabyle sous ma main experte, son zob se raidissait de plus en plus. J'aime les zob de rebeu, j'aime leur dureté, leur douceur, l'odeur du rebeu, l'odeur du zob du rebeu, ça sent le mâle, le mâle en rut et quand je l'ai entendu respirer plus vite pour d'un seul coup sentir son corps se raidir, son gland s'ouvrir et voir le méat cracher son doux venin pour prendre la première giclée sur la figure. Il riait mais continuait de juter et d'en mettre partout!
Quand tout à cesser, il m'a fait redresser pour me regarder et éclater de rire.
-si tu m'avais laisser te sucer, ça n'arriverait pas.
Il prend mon visage entre ses mains, l'attire à lui :
-j'ai rêvé que tu me branlais et que tu prenais tout sur le visage et ensuite que je devais te nettoyer, te lécher! alors laisse toi faire Fabrice.
Quel voyou ce rebeu!
Il a pris son temps pour me lécher le visage, me donnant sa langue de temps en temps pour me la laisser en dernier et jouer avec la mienne. Une main me caressait le dos. J'étais bien avec ce mec! J'ai reposé ma tête sur son épaule :
-je crois que tu es le pire des voyous de la cité Kabyle!
-pourquoi tu dis ça ?
-parce que tu l'as fait exprès de me raconter cette histoire d'ailleurs que tu n'as pas finie mec, pour que je te branle au lieu de me le demander direct!
-non, c'est vrai j'ai pas fini l'histoire et en plus t'as pas joui Fabrice, moi, aussi je veux te voir jouir!
-j'croyais que t'aimais pas baiser avec un céfran tu m'as dit!
-j'ai pas dit baiser! maintenant tais toi je continue mon histoire...
2|
J'ai repris ma position sur son épaule, mais ma main est revenue se poser sur son zob qui était toujours en demi molle.
J'ai bien dégagé le survêt pour voir le début des cuisses poilues, son ventre. J'ai touché les couilles, les soupesant et j'ai repris le gros zob en main. J'étais prêt pour la suite.
-j'en étais où ? dit-il.
-tu viens de juter Kabyle! dis je en relevant la tête.
Tu sais Djamel est vraiment un beau petit rebeu, la façon qu'il avait de se mettre contre moi, me serrer contre lui, j'ai pensé en vicelard tu sais, en pensant que je pouvais en faire ce que je voulais de ce mec!
J'ai tiré ses cheveux en arrière pour qu'il me regarde! Il avait des yeux implorants de mec soumis, tu sais le mec au regard prêt à tout.
-je vais te niquer, ici mec! Tu vas te foutre à poil là maintenant!
Il s'est détaché de moi et en un rien de temps il était nu en TN.
-à poil complet j'ai dit en montrant ses grôles.
Il a tout enlevé et j'ai pu admirer le beau rebeu que c'était. Les marocains sont beaux en général, se sont les plus passifs de tous les rebeux, tu le savais ça Fabrice ?
-non pas vraiment!
Il était imberbe complètement, sexe rasé, un beau zob bien raide qui coulait déjà. Il me regardait attendant mon désir.
Je me suis approché de lui et j'ai caressé sa poitrine, je l'ai vu frémir. Il avait de beaux tétons qui pointaient, je les ai pris entre mes doigts et je les ai triturés, puis martyrisés pour l'entendre gémir en grimaçant, de plus en plus fort. Son zob tressautait.
J'ai caressé cette peau chaude de rebeu que tu connais Fabrice, un rebeu imberbe la peau est douce, tendre, il tremblait dans mes bras, sa tête est venue dans mon épaule. Je peux t'avouer aujourd'hui Fabrice, que j'avais envie de l'embrasser ce petit mec et de l'emmener dans mon lit pour le niquer. Mais c'était trop tentant de le niquer là, à poil dans ce coin de bistrot.
Quand son zob a touché le mien, ils se sont bien entendus tous les deux, aussi raide, aussi dur, le mien était plus large que le sien, mais lui il était plus long et si t'avais vu la belle paire de couilles qu'il avait.
Je l'avais dans mes bras, il ronronnait dans mes bras, j'ai caressé son dos, il m'excitait ce mec et quand j'ai touché son cul, cette peau douce des fesses imberbes, je les ai écarté, il s'est penché en avant et mon doigt a trouvé l'anus. Ce petit trou chaud déjà ouvert et j'ai eu envie de lui de suite, je l'ai fait se retourner et si t'avais vu comment il prenait la position en s'appuyant contre le mur, écartant bien ses jambes.
J'ai fait mon sadique, j'ai claqué les belles fesses pour les attendrir alors que j'avais plus envie de le bouffer ce petit cul et de le niquer.
Quand j'ai mis mon zob dans la raie, c'est lui qui bougeait son cul pour que je trouve bien l'endroit et qui a commencé à s'enfoncer dessus.
Mais j'ai repris les choses en main, je l'ai bloqué pour le niquer d'un seul coup! J'adore entendre gueuler mes victimes, et pour gueuler il a gueulé. Pourtant elle est pas longue ma queue, tu la vois Fabrice!
-oui dis-je mais quand même assez large et on doit la sentir passer quand même!
Il rigole.
Je l'ai niqué comme la salope qu'il est, l'entendre couiner, gueuler m'excitait au plus haut point et comme j'avais joui cela a duré plus longtemps. Mes couilles frappaient les siennes, je sentais son conduit serrer mon zob à l'écraser.
Quand j'ai senti le plaisir arriver, je l'ai fait se redresser contre moi, je l'ai mordu dans le cou, il me l'offrait son cou comme la victime du vampire que j'étais. Quand il a tourné la tête, il souriait. Ses yeux brillaient dans la pénombre et je n'ai vu que ses belles lèvres, ma main s'est posée sur sa joue et je l'ai embrassé en lui offrant ma langue.
Il a joué avec et en même temps serrait mon zob dans son cul.
Je devais la récompenser cette belle salope, alors ma main a été comme attirée par son zob. Ma queue a durcit encore en lui quand j'ai pris son zob en main et recevoir dans ma bouche son gémissement de plaisir. Il ne lâchait plus ma langue.
Je l'ai branlé rapidement et son cul serrait encore plus ma queue.
Quand il a joui rapidement il a lâché ma langue pour crier et bouger son cul sur mon zob. Tout son corps tremblait de jouir et à peine fini, j'ai repris à le niquer comme seul un rebeu sait le faire et j'ai inondé son conduit de salope.
On était autant essoufflé l'un que l'autre, il est resté un long moment dans mes bras, me faisant des bisous dans le cou.
Je n'avais plus envie de le lâcher ce mec, mais je ne voulais pas qu'on voit si je le ramenais chez moi et j'en avais envie tu sais Fabrice.
-alors t'as fait quoi ?
-on est allé chez lui.
-tu l'as revu souvent ?
-tous les jours j'allais le niquer, il m'attendait tous les soirs, à poils. J'ai jamais tant aimé un mec et ce petit con est parti six mois après et c'est là que j'ai rencontré Anaïs.
Il bandait encore comme un fou Kabyle, sa queue était dure comme l'acier entre mes doigts.
-mais ça ne me dit pas pourquoi tu m'as raconté tout ça Kabyle! J'aime bien les histoires de cul et avec vous les rebeux c'est toujours chaud !
Il rigole.
-bien sûr on est les meilleurs, mais tu as raison c'est bien intentionnel que je t'ai raconté cela maintenant.
Je lâche son zob et vient dans ses bras, caressant sa joue, sa barbe douce.
-t'es un grand garçon maintenant Kabyle, alors arrête de faire le timide que tu n'es pas!
-oh si je suis timide Fabrice, et toi tu m'intimides encore plus!
-tu veux me niquer ?
-non c'est pas ça! mais arrête d'être direct comme ça, laisse moi t'expliquer encore.
Quand j'ai entendu parler de toi par les autres, j'avoue que je n'ai pas beaucoup prêté attention, juste pensé que tu étais encore une salope à rebeux de plus et comme je te l'ai dit, je ne suis pas attiré par les céfrans, mais je suis curieux et j'ai réussi à faire parler les potes.
-et qui t'as fait parler voyou de cité ?
-oh il n'y a pas eu à les forcer beaucoup tu sais, prend Karim, en tête à tête il est intarissable sur toi! Il t'adore tu peux pas savoir, il parait que t'es doux, tendre, que tu dis beaucoup de choses gentilles et que tu les niques en beauté, si bien qu'ils reviennent en redemander!
-c'est vrai que j'aime la tendresse, j'aime pas les baises bourrins, tiens un peu comme tu m'as raconté, j'aime pas être forcé de faire ce que j'aime faire!
-ça je l'ai compris à travers leurs histoires Fabrice.
Sa main caresse ma joue, attirant mon visage :
-tu sais quand je baise avec ma femme, c'est aussi beaucoup de tendresse, de douceur. Elle adore ça la tendresse, l'amour comme elle aime quand je la sodomise, mais je voulais te demander quelque chose Fabrice.
-ça je l'ai compris Kabyle et même que tu es très gêné pour me le demander!
-c'est ça!
-un grand rebeu comme toi ?
Il rigole.
-c'est pas parce que je suis macho que je ne suis pas pudique!
-alors tu voudrais passer une nuit avec moi ? Voir si je suis capable de t'aimer comme ta femme mais autrement.
Il avait pâli Kabyle et sans rien dire me serre dans ses bras. Je relève la tête, nos nez se touchent, nos souffles se mélangent. Il ferme les yeux et nos lèvres se joignent.
On s'est embrassé comme des amoureux, tendrement, passionnément.
-tu voudrais bien ? demande Kabyle.
Je le fixe comme si je réfléchissais, tu parles que j'étais d'accord.
-oui Kabyle, mais deux choses également.
-quoi ?
-un que cela ne gâche pas ta relation avec Anaïs.
-non ça n'a rien à voir, je suis pas amoureux de toi comme je le suis d'Anaïs.
-bien, et deux, que le rebeu macho Kabyle m'obéisse en tout ce que je demanderais!
Il sourit.
-t'es dur en affaires toi! tu veux me faire quoi ?
-tu as dit que tu voulais faire l'amour avec moi et moi j'adore montrer à un rebeu novice en amour entre mecs comment l'on fait!
-j'sais niquer mec!
-ça je le sais, mais le contraire ?
Là il fait son timide, me serre encore contre lui et tout bas à l'oreille :
-justement c'est ça que je veux faire avec toi, toi seulement et tu seras le seul à jamais.
J'avoue que je m'en doutais un peu, mais j'ai quand même été surpris.
-oui tes potes m'ont tellement vanté ta douceur que je veux essayer avec toi!
-et tu veux faire ça quand Kabyle ?
-ben ce soir, Anaïs est allée voir ses parents et ne rentre que demain soir, tu as le temps de me montrer tout ce que tu veux et je serais un élève obéissant! Je te le jure Fabrice.
-alors on commence maintenant, toi t'as joui mais moi, tiens touche.
Je lui prends la main et la pose sur mon entrejambe.
Il me tripote, baisse les yeux alors je l'embrasse et je me laisse faire, il ouvre mon jean et sa main glisse dans mon boxer, passe sous mes couilles et sort le service rapidement à l'air.
Sa main chaude me prend et me caresse doucement, sa langue joue avec la mienne.
-déshabille moi Kabyle.
Il lâche ma queue, je me relève devant lui, ses yeux ne la quittent pas d'autant qu'il aperçoit ma toison de blond qui doit ressembler à celle d'Anaïs. Il est comme tétanisé, sa main part dans ma toison, me caresse. Ma queue est bien droite mais le gland est encore recouvert. Je sens la mouille arriver.
Il baisse mon jean et mon boxer, enlève mes chaussures, chaussettes, se relève et enlève mon tee-shirt.
-à moi maintenant voyou de cité!
Il rigole et je le mets nu rapidement, nous sommes à égalité, je le prends par la main et l'emmène dans la chambre, dans la pénombre comme souvent les rebeux adorent.
On s'allonge sur le lit dans les bras l'un de l'autre, collés. Caresses, bisous, il me dit que je suis beau, doux, qu'il adore ma peau, mon odeur. Je le laisse me découvrir, me toucher, me caresser mais il vient vers mon sexe et le reprend en main, le décalotte complètement, regarde la mouille couler, remet le prépuce et recommence.
C'est bien un rebeu subjugué par une bite non circoncise!
-j'peux te sucer ? demande t-il timidement.
-j'espère bien! dis-je en souriant.
Ce n'était sûrement pas la première fois qu'il suçait une queue, de rebeux oui mais de céfran j'étais pas sûr. Il y allait timidement.
-donne moi la tienne Kabyle j'ai demandé doucement.
J'ai enfin eu le bon gros zob rebeu pour moi tout seul, l'observer, le caresser et l'avaler. J'ai remarqué qu'il reproduisait tout ce que je lui faisais, alors je me suis amusé, mais pas longtemps car se faire sucer par un rebeu c'est toujours pour moi une grande jouissance. Et cette première fois n'y a pas échappée!
Quand j'ai joui dans sa bouche il a joui dans la mienne et en bons gourmands on a tout avalé, rien ne s'est perdu.
Il est revenu dans mes bras pour me dire qu'il avait adoré le jus céfran, c'est pas pareil qu'un rebeu, mais qu'il aimait bien le goût.
-tu me niques ? demande t-il.
-t'es si pressé que ça ?
-j'ai envie avec toi.
-écoute moi, je te propose un truc, on va dîner à Paris dans un coin tranquille tous les deux et après on revient se coucher tranquillement.
-comme des amoureux en fait dit il en rigolant.
-voilà dis-je en riant également.
-donc tu vas tout faire pour que je te désire le plus possible.
-c'est ce que tu fais avec Anaïs ?
-oui
-eh bien t'as raison, là t'as envie mais ce soir en plus de l'envie tu t'offriras encore plus à la perversité de ton pote céfran!
-quel baratineur tu fais! ça m'étonne plus que les rebeux tombent comme des mouches dans tes bras!
On a fait comme j'ai dit, et c'est vrai que j'ai fait mon tendre, mes yeux l'attiraient et quand je touchais sa main à travers de la table, il baissait les yeux comme une pucelle effarouchée, mais ses doigts pinçaient les miens.
-on rentre ?
A peine entrés dans l'appart qu'il était nu et fonçait dans la chambre. J'en ai fait autant et quand je suis arrivé, il était sur le dos, les jambes écartées et commençait déjà à relever ses jambes.
-attend je veux goûter ton beau cul Kabyle!
-alors tu vas être surpris!
Il relève ses jambes, écarte ses belles fesses poilues, raie poilue mais pas trop et l'anus rouge bien au centre. C'est pas un anus fermé j'ai pensé en passant mon doigt dans la raie, touchant la muqueuse qui ressortait et en appuyant, mon doigt s'enfonce lentement.
Je relève la tête pour le regarder, il me sourit :
-j'encule Anaïs mais elle me le fait avec un gode ceinture après et j'adore ça mec, je veux juste savoir la différence avec une vraie!
Mais j'ai bouffé son cul avant quand même, et j'en revenais pas de tous les secrets de ce rebeu macho qu'il m'avait livré comme ça en un après-midi!
J'ai pris mon temps pour le baiser, sentir ma grosse queue entrer en lui, sentir la chaleur de son conduit, l'entendre gémir en poussant de petits cris. Quand tout est rentré, je l'ai baisé tendrement, lui faisant bien sentir ma queue, la faisant bouger dans ce cul quand même étroit qui me serrait bien. A chaque coup de reins il grognait et quand j'ai joui, répandant tout mon jus dans ce conduit qui devait en recevoir pour la première fois. En fait c'était le dépucelage d'un trou qui n'avait vu que des godes!
J'ai joui de longues giclées et quand je suis sorti de son cul il m'a attiré dans ses bras pour m'embrasser et me remercier!
-à toi j'ai dit, c'est mon cadeau de bienvenue!
-plus tard Fabrice, dis moi que j'ai un bon cul qui prend bien la bite du céfran!
-en gros que le rebeu macho aime bien faire sa salope dans les bras d'un céfran ?
Il rigole.
Je n'avais jamais eu un rebeu si tendre, si doux dans mon lit. Pourtant j'adorais baiser avec les autres et ils aimaient le faire avec moi car ils revenaient, mais entendre ce rebeu macho, qui dit être hétéro, me dire des mots de midinette, et faire son soumis dans mes bras!
Je l'ai niqué à sa demande deux fois dans la nuit et lui le matin au réveil!
Ce fût d'une douceur comme jamais je n'avais eu et dès le matin on jouissait comme des fous.
Il venait tout le temps le samedi après-midi boire le café. On n'a jamais recommencé une telle nuit, mais quand on est tous les deux il me prend dans ses bras et me parle à l'oreille de ses baises avec Anaïs et ce qu'elle lui fait. Il est heureux ainsi.
C'est compliqué ...
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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