Salut,
Moi, c’est Nico, 37 ans, blond, les yeux bleus, j’ai un corps un peu enrobé et un peu poilu ainsi qu’une bonne teub de 17 cm.
Aujourd’hui, je rentre du boulot, la journée a été épuisante. Je décide de commander une pizza, je n’ai aucune envie de cuisiner. Je passe ma commande à mon resto préféré et j’attends.
Au bout de 30 minutes, on sonne à la porte. J’ouvre et quelle n’est pas ma surprise quand je vois mon voisin du dessous... Mon voisin que je trouve super bandant, soit dit en passant. Un ancien militaire, assez baraqué, très sexy. Je lui demande :
- Il y a un problème ?
- Non, je vous livre votre pizza !
Et je me rends alors compte qu’il porte en effet le t-shirt du restaurant où j’ai commandé ma pizza... ainsi qu’un gros carton à pizza dans ses mains ! Je me dis que je suis vraiment bête, je me suis laissé aveugler par ses bras et ses jambes poilues... Je me ressaisis et je vais chercher mon porte-monnaie. Il me dit alors :
- Il fait très chaud dehors !
Je me dis que c’est normal, on a eu quelques jours de canicule et il fait toujours chaud dehors. Le voisin semble avoir bien chaud, il sue à grosses gouttes. Je lui dis alors :
- Avec cette canicule... c’est sûr. Vous voulez boire un verre d’eau ?
- Oh oui, volontiers.
Je lui dis alors de venir dans la cuisine, je lui montre la chaise et je lui tends un verre d’eau. Il me remercie et il boit. Au bout de quelques secondes, il dit :
- Vous savez que j’habite en dessous de votre appartement.
- Oui, je sais.
- J’ai remarqué que vous recevez pas mal de monde...
- Oui, j’aime bien faire la fête. Je suis désolé si j’ai fait trop de bruit, la prochaine fois, ...
- Je ne parlais pas de ça... vous recevez des mecs en fin d’après-midi, la nuit... le lit grince bien. Et je vous entends gueuler comme une truie quand des bites vous défoncent !
Je le regarde, bouche bée. Puis je rougis. Je reste muet, ne sachant que dire. Je bafouille quelques trucs mais je n’arrive pas à aligner trois mots. Son regard change alors du tout au tout et il devient bestial. Il ouvre alors son pantalon en disant :
- Si tu aimes les grosses queues, celle-là devrait te plaire.
Il sort sa bite de son pantalon et en effet, elle est conséquente ! Elle est longue et épaisse. Je suis sous le choc, je ne sais pas comment réagir. Il me fait signe d’approcher. Je m’exécute, sans prononcer un seul mot. Il me prend par la main, il me fait baisser et je me retrouve avec sa queue à quelques centimètres de mon visage. Elle ne bande pas mais elle est déjà longue, elle fait bien 15 cm et elle est épaisse. Ma main pourrait à peine en faire le tour, et elle ne bande même pas. Elle repose sur deux grosses couilles poilues qui sont posées sur la chaise. Je respire à pleins poumons les effluves de mâle qui se dégage de son matos. Il prend sa queue en main, il la tape dans son autre main comme si c’était une batte de baseball. Et il me met le gland sur mes lèvres... qui s’ouvrent automatiquement. Ma langue sort et je titille le frein. Il se met alors à me bifler puis il enfonce la queue dans ma bouche restée ouverte. Il pose une main sur ma tête et il imprime un petit mouvement. Ses hanches bougent aussi un peu et sa queue s’enfonce dans ma bouche. Je la sens gonfler.
Il se lève, sa queue toujours dans ma bouche, il prend ma tête dans ses deux mains et il enfonce sa bite profondément, donnant de petits coups de reins. Puis il la ressort et je la découvre à l’horizontale, en demi-molle... et c’est déjà un beau morceau ! Il la repose sur ma langue et il attend. Je me mets alors à le sucer. La queue gonfle encore plus. Je me délecte. Il se laisse faire et il enlève son t-shirt. Une de mes mains s’empare de ses couilles et les malaxe. Puis, je ressors la queue qui bande maintenant à fond. Elle n’est pas aussi grosse que je l’aurais cru. Elle doit faire dans les 21 cm. Mais elle est super épaisse. Je la prends dans ma main qui n’arrive pas à en faire le tour. Puis, je la reprends en bouche, j’essaie de l’enfoncer au maximum mais je ne peux pas, ma mâchoire ne peut pas s’ouvrir plus. Quel morceau énorme !
Il me remet les mains derrière la tête et il commence à me baiser la gueule. Il essaie d’aller toujours plus loin au fond de ma gorge. Ma mâchoire craque, j’ai la bouche ouverte à fond, déformée par ce pieu de chair. Puis, il me lâche, il se déshabille et il va s’assoir sur le canapé. Je le regarde, nu :
Mon beau militaire doit avoir dans les 50 ans, il a les cheveux courts et poivre et sel. Il a une barbe courte et bien entretenue, elle aussi poivre et sel. Il a d’épais sourcils noirs. Il est baraqué, carré d’épaules. Son torse est recouvert de poils grisonnants. Il est assez bedonnant, mais c’est un ventre dur et recouvert de poils fins. Il a un pubis de poils noirs et gris assez épais. Ses bras et ses jambes sont aussi poilus. Par contre, ses couilles sont rasées.
Je m’avance vers lui, je m’agenouille devant son monstre de chair et je l’enfonce dans ma bouche. Je me délecte de son gourdin tendu, je m’en occupe comme si c’était une sucette. Il commence par me caresser la tête. Puis sa main passe dans mon t-shirt. D’une tape, il me fait comprendre de l’enlever. Je m’exécute. Je reprends ma suce tandis qu’il me caresse le dos. De sa main restée libre, il m’enfonce la tête sur sa queue qui me distend la mâchoire. Puis il me fait relever la tête, il m’attire vers lui et il me roule une grosse pelle. Ensuite, il me regarde droit dans les yeux et il m’enfonce de ses deux mains la tête sur sa teub. Une main me maintient tandis qu’il place l’autre derrière sa tête, tout en se reculant en arrière, savourant ma soumission. Mes mains caressent son ventre poilu. Soudain, mon regard est attiré par son bras levé qui laisse visible son aisselle poilue. Je me précipite alors dessus et j’hume le parfum de mâle qui s’en dégage. Ma langue ne peut s’empêcher de sortir et elle lèche ses poils, s’enivrant de ce nectar divin.
Mon voisin se lève au bout de quelques minutes, il passe derrière moi et il crache sur mon trou. Il m’enfonce deux doigts dans le fion qu’il remplace vite par son gland. Il glisse dans mon anus... alors que ma queue est déjà tendue au maximum ! Le mec pousse et je sens mon sphincter résister. Sa bite épaisse ne rentre pas. Il la ressort puis il réessaie. Au bout de quelques secondes, je sens la pression augmenter et mon anus céder. Seuls 2 cm rentrent... le reste résiste. Il pousse alors d'un seul coup sec et là j'ai la sensation que mon cul s’ouvre en deux, complètement déchiré : la queue commence à passer. Je me sens alors écartelé par son tronc d’arbre. Mon trou s’élargit et laisse entrer le monstre. Sa bite dure comme de l'acier pousse et ouvre mes muqueuses qui s'écartent pour avaler le gros morceau. Je n’ai bizarrement pas mal... je sens le morceau glisser sur ma prostate et me faire du bien.
Au bout de quelques minutes d’une descente qui me semble interminable, je sens ses boules contre mon périnée et ses poils pubiens contre mon cul. Il gémit de plaisir, sentant sa queue complètement bloquée en moi. Et moi, je me sens complètement ouvert. De sa main gauche, il me prend le cou et m’attire vers lui. Il me roule une grosse pelle tandis qu’il se met à me baiser. Il donne des coups de bite puissants et rapides, son pubis cogne contre mes fesses, faisant un bruit indécent. Parfois il arrête de me baiser pour m’embrasser dans le cou. Puis au bout de quelques secondes, il reprend sa baise.
Ensuite, il pose ses deux mains sur mes hanches et il me baise violement. Il me défonce à fond. Sa queue ouvre mon trou en grand. Après 5 minutes, il me fait mettre sur le dos. Il m’écarte bien les jambes. Je sens alors comment mon anus est grand ouvert. De l’air s’y engouffre et me fait comprendre que mon trou est écartelé, béant. Il s’enfonce en moi, cette fois il y va d’un coup et je pousse un cri quand il arrive au fond de mon cul. Il se met à me baiser, maintenant de façon régulière et plus lente.
Il est endurant, il me baise bien ainsi pendant 15 minutes. Puis il m’entraine dans ma chambre. Il sourit quand il voit un grand miroir devant le lit. Il s’y pose. Moi, j’enjambe sa bite, j’enfonce le gland dans mon trou puis c’est le reste qui disparait dans mon anus. Quand je sens mes couilles posées sur ses poils de pubis, je pousse un grand cri et je me mets à monter et descendre sur son monstre. Je regarde sur ma droite et je vois notre reflet dans le miroir. Je me regarde monter et descendre sur ce morceau de chair qui me fait l’effet d’un tronc d’arbre qui m’ouvre mon trou en grand, qui le déforme et le distend en grand.
Au bout de 5 minutes, il me prend les fesses dans ses mains et il m’impose son rythme. J’observe la baise dans le miroir. Il fait rentrer et sortir sa bite à une vitesse folle. Ses couilles se balancent sous sa queue et sous l’effet de la vitesse, elles viennent me fouetter le cul. Puis on se lève, il me fait coucher sur le lit et il s’introduit en moi tout en me faisant serrer les jambes. Je sens alors sa queue me pénétrer et me laminer le colon.
Il me démonte pendant 10 minutes puis d’un coup violent, il me plante son pieu dans le fond de mes entrailles, je sens son corps se raidir et il m’envoie 12 rasades de sperme chaud dans le cul.
Sa bite ramollit et sort de mon anus. Un torrent de sperme en coule et dévale la pente de mon périnée et de mes couilles pour aller former une flaque en dessous. Je tourne la tête et je vois mon trou vide, béant qui laisse échapper une quantité incroyable de sperme, mi-liquide, mi-visqueux. Il place sa bite devant ma bouche et je lèche le sperme qui en coule toujours un peu. Je savoure sa semence qui est un peu sucrée.
Il se précipite vite fait dans la salle de bain puis il se rhabille en disant :
- Putain, tu as une trop bonne chatte ! Dommage que je puisse pas en profiter plus longtemps, il faut que j’y aille. Prochaine livraison !
Il reprend ses affaires et avant de sortir, il me dit :
- C’était trop bon. Maintenant quand je sonne, tu te mets directement sur le lit, le cul nu, et je te baise, ok ?
Je ne peux que répondre :
- Ok !
Et il disparait derrière la porte. Je vais me coucher sur le lit, je prends avec mes doigts du sperme qui coule toujours de mon trou et je le lèche. Je me branle en même temps et je jouis une bonne quantité de jus sur mon ventre et sur mon torse. Mais mon cul a du mal à se refermer... cependant, en jouissant, je pense déjà à la prochaine fois...
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire réelle. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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