Salut à tous et merci pour les retours que j’ai eus, ça fait plaisir de voir que mes histoires vous plaisent.
Les beaux jours reviennent... Enfin ! Après une année marquée par la corona et le télétravail, puis par la liberté retrouvée, je finis par réserver, comme très souvent avant la pandémie, un gîte dans le sud de la France. Mon copain et moi partons ensemble. Nous passons les premiers jours au bord de la piscine et nous faisons quelques sorties.
Mais un jour, j’ai envie d’aller sur une plage que je connais depuis longtemps et que nous fréquentons en raison de son côté retiré et sauvage. Nous sommes heureux de n’y rencontrer que peu de monde. Mais ce jour-là, mon copain ne veut pas y aller donc je m’y rends seul. Ce n’est pas grave.
En chemin, mon regard est attiré par un panneau : il indique une plage naturiste. Je ne connaissais pas cet endroit. Curieux, je décide de suivre ce panneau. Je tombe au bout de quelques kilomètres sur un parking. Il y a quelques voitures.
Je me dis que ça peut être sympa et que je vais pouvoir faire un bronzage intégral. Rien de mieux pour me remonter le moral. Je me gare, je prends mes affaires et je m’engage sur un petit chemin sinueux qui est censé me mener vers la plage.
Sur le chemin, j’entends des bruits : quelqu’un est en train d’haleter. Curieux, je me dirige vers le bruit et je tombe très vite sur un groupe de mecs en train de... baiser ! Ils sont 4. Le premier, blond aux cheveux courts et au corps mince, baise un mec d’origine asiatique, petit, au corps fin et imberbe. Le troisième, un brun potelé et poilu, embrasse un jeune mec brun et maigre à la bite bien tendue qui s’est mis à quatre pattes pour sucer le mec potelé. Le premier a ses mains sur les hanches de l’asiatique et il le baise à fond. Il a l’air d’avoir une bonne queue car le passif gémit bien.
Le quatrième fait mettre le mec potelé à quatre pattes et il enfonce sa queue d’un coup sec dans le cul poilu de l’autre qui pousse un cri. Puis il se met à donner de petits coups de queues lents et réguliers. Les deux actifs se lancent un coup d’œil et ils échangent leur partenaire. Je me rends alors compte qu’ils baisent sans capote.
Après quelques minutes, ils sortent du cul de leur passif et le mec enrobé se couche sur le dos. Le mec maigre s’agenouille devant son trou et reprend sa baise tandis que l’asiatique et le blond s’embrassent et se placent devant le passif qui les suce. Puis, l’asiatique prend la place du maigre et il se met à baiser le passif avec sa petite queue. Très vite, il se met à gémir. Il jouit. Il ressort du cul et la bite est suivie d’un torrent de jus qui coule le long de la raie. C’est à ce moment que le blond m’aperçoit et il me fait signe de venir. Je refuse poliment de la tête et je fais demi-tour. Je bande, certes, mais je n’ai pas envie de participer à leur petite sauterie.
J’emprunte de nouveau le chemin et j’arrive à la plage. Elle est très tranquille ! Il y a quelques personnes qui sont sur leur serviette, quelques personnes dans l’eau, surtout des hommes, mais aussi quelques femmes. Je m’installe dans un coin retiré et j’étale ma serviette sur le sable chaud. Je me déshabille, complètement. Je ne suis pas très pudique, j’adore me montrer.
Je dévoile mon corps. J’ai 37 ans, je suis blond aux yeux bleus. J’ai un corps potelé et un peu poilu, je suis monté 17 cm. Je me sens libre. Le vent me caresse la peau, les embruns maritimes prennent possession de chaque recoin de mon corps... et ma bite se sent libérée. Je fais quelques pas vers l’eau pour voir comment elle est. Sous mes pas, ma bite au repos se balance de gauche à droite, comme un pendule. Je remarque que mon gland est bien gonflé sous mon prépuce... Pas étonnant, j’ai bien bandé devant le spectacle que les 4 mecs m’ont offert. Je teste l’eau et je la trouve encore un peu froide. Je rejoins ma serviette et je m’y allonge. J’attendrai que le soleil chauffe un peu plus la mer.
Mon corps encore assez pâle est offert au soleil. Je soupire de plénitude, je me laisse bercer par le bruit des vagues et je ferme les yeux. Ça, c’est vraiment le bonheur.
Au bout d’une heure, je me réveille, je lève la tête et je regarde la plage. Il y a un petit plus de monde que tout à l’heure. J’en profite alors pour mater les mecs. Une scène attire mon regard. Un mec au corps en V regarde la mer et se fait rejoindre par un autre brun mince, avec une peau très bronzée et une barbe de 3 jours... qui est en train de bander. Sa bite est à l’horizontal, bien tendue. Il s’approche, comme si de rien n’était, du mec et il semble engager la conversation. L’autre fait comme s’il n’avait pas vu l’érection de son interlocuteur et il se met à parler aussi. Au bout de quelques minutes, il se place face au mec et je me rends compte qu’il ne peut s’empêcher de regarder la queue tendue. Il tend alors sa main et s’empare de la bite dressée. Il fait quelques allers-retours. L’autre se laisse faire. Tout d’un coup, ils s’embrassent et finissent par se diriger vers les dunes. Je ne peux que m’imaginer la suite.
Je me rends compte que mes « voisins », deux mecs placés à 50 m de moi, ont aussi maté la scène avec intérêt. L’un des deux est debout. Il a environ 50 ans, avec un corps parfaitement sculpté, bien musclé. Il a une petite queue qui bande à fond. Elle est presque collée contre son ventre. L’autre est posé sur sa serviette et il se touche la bite en regardant les mecs partir vers les dunes. Il est aussi très musclé et semble encore plus vieux que son amant. Sa queue est posée sur sa cuisse, ses couilles bien dégagées, le tout sans un poil. Il prend la base de son pénis et il le masse.
J’arrête de les observer car mon regard est attiré par un mec qui passe devant moi. Il a la quarantaine, un corps hyper bronzé. Il est grand, assez musclé, les cheveux châtains. Mais ce qui m’attire, c’est son morceau. Il a une bite de cheval ! Elle est au repos et elle se balance en rythme de ses pas. Elle se balance de haut en bas, de droite à gauche. Il a bien 16 cm entre les jambes et la bite au repos, flasque, bien épaisse, qui me fait l’effet d’une trompe d’éléphant. Je reste pétrifié d’admiration et je ne peux dégager mon regard de ce spectacle.
De loin, je vois aussi un mec qui arrive et qui se pose sur une serviette à côté d’un autre mec qui est en train de fumer. Très vite, ils se rapprochent sans échanger un mot. Le mec qui vient d’arriver empoigne alors la bite du mec et il commence à faire coulisser lentement sa main de haut en bas. Le fumeur continue de fumer tout en se laissant faire. Puis il se rapproche un peu plus du mec et il se met aussi à le branler. Au bout de 2 minutes, le fumeur se lève, tandis que l’autre se redresse et s’assoit sur sa serviette, et il enfonce sa queue dans la bouche du mec resté assis. Immédiatement, il met ses mains derrière la tête du passif et il commence à lui baiser la gueule. Le passif se branle tout en supportant les coups de reins de l’actif. Je me dis que les mecs sont très chauds aujourd’hui.
Mon regard va vers la droite et je vois un mec d’environ 30 ans qui est assis sur une chaise de plage, tournant le dos à la mer pour bronzer. Il est en train de lire et les événements autour de lui ne semble pas l’intéresser. Il est brun avec une barbe bien noire. Il porte des lunettes de soleil. Il est bien bronzé. Il a un petit embonpoint qui le rend charmant. Il n’a pas de poils sur le corps, seulement au niveau du pubis, qui est assez velu. Ses couilles sont rasées. Elles sont énormes, elles sont toutes rondes, elles ont l’air bien remplies. Sa petite bite au repos (elle est vraiment petite, on ne distingue pratiquement que le gland) est plaquée contre l’intérieur de sa cuisse.
Un mec d’environ 50 ans passe devant lui, il a un corps assez musclé, il a des cheveux très courts, le pubis et les couilles (qui sont petites) poilues. Il a l’air d’avoir un morceau pas mal qui se balance entre ses jambes. Il passe sa main de temps en temps sur sa queue comme s’il jouait avec. Il croise un mec d’une vingtaine d’année qui est châtain, avec cheveux coiffés en épis. Il a des poils qui recouvrent complétement son torse et qui descendent en une ligne foisonnante jusqu’à son pubis, traversant ses abdos. Son pubis est velu, ses couilles et ses jambes aussi. Ses couilles et sa bite pendent bien. Deux mecs sont derrière lui et le dépassent. Deux mecs de 40 ans, de stature normale avec un petit ventre, tous les deux bruns. Le premier a une bite courbée vers la gauche qui repose sur de grosses couilles. Le deuxième a une demi-molle qui laisse entrevoir 16 cm de chair avec un gland énorme.
Je suis tiré de ma contemplation par un mec qui arrive et qui se pose juste à côté de ma serviette. Sans même me calculer, il commence à enlever son t-shirt et son short : il a environ 40 ans, il est mat de peau et assez grand. Il a un corps svelte et je ne le trouve pas particulièrement beau avec ses cheveux mi-longs et son visage effilé. Il a un torse assez gonflé avec des tétons marron et bien étendus. Il a des poils au milieu du torse et sur les jambes. Mais je reste sans voix quand mes yeux atterrissent sur son maillot de bain : il a un paquet énorme ! Sa queue forme un arc de cercle posé sur deux énormes boules. Elle a l’air aussi bien grosse et bien large. L’ensemble forme une boule volumineuse. Le mec étale sa serviette sur le sable et je peux admirer son morceau de profile : sa queue semble tirer le tissu vers le bas, ce qui montre les poils noirs de son pubis. En un mot, le maillot moule de façon bien nette un sexe imposant. Le tissu montre en gros plan le dessin de son gros gland.
Le mec laisse ses affaires et va se baigner. Je vois que pas mal de mecs se retournent sur son passage et admirent son paquet, bouche bée. Je me dis que c’est dommage qu’il n’est pas enlevé son maillot. Au bout de 15 minutes, il sort de l’eau et il revient à sa place. Le paquet est encore plus visible. Il semble presque déborder du maillot ! Les couilles sont énormes, sa queue est plaquée contre son aine droite et elle semble bien grosse. Le tissu mouillé en laisse voir la forme et même la couleur ! Le tissu est tendu au maximum, la queue est longue et large.
Il se pose sur sa serviette de telle façon que j’ai son paquet presque sous les yeux, que je plisse discrètement pour ne louper aucun détail. Il me semble aussi que le paquet est si volumineux qu’il crée une petite fente, une petite ouverture à son entre-jambe... Si je me penchais, je verrais peut-être ses couilles...
Il fait tout d’un coup un geste et je me relève. Il enlève alors son maillot, libérant son monstre. Je peux alors voir une masse imposante, longue, posée sur son aine. Le morceau y fait presque un demi-cercle complet. Putain, quel engin ! Ses couilles sont énormes, larges, luisantes, sans un poil. Elles pendent bien lourdement entre ses jambes et elles sont posées sur la serviette. Sa queue est noire : elle fait bien 15 cm au repos et elle est bien épaisse. Il est circoncis et le gland est très imposant et rosâtre. Au-dessus se trouve son pubis velu qui est parsemé de poils noirs et ondulés. Je ne peux plus me contrôler, je me mets à bander ! Je sens ma queue se gonfler de sang, se dresser à l’horizontale. Elle grandit, libérant mon gland de son prépuce. Mes 17 cm sont tendus, droits. Je prends alors ma serviette et je la pose sur mon engin. Je ne veux pas qu’on remarque mon érection.
Mais je crois que tout ça ne lui a pas échappé. Il me demande sans préambule :
- Tu veux me sucer ?
Je suis sans voix ! Un mec, que je ne connais pas, me demande sans détour si je veux lui tailler une pipe. Je veux refuser quand je remarque que son morceau commence lui aussi à se gonfler de sang... Je ne peux pas résister. Sans un mot, je me lève et je m’assois sur sa serviette, à côté de lui.
Ne me contrôlant plus, je pose ma main sur ses couilles que je caresse. Elle a vraiment l’air super petite... Elle n’arrive pas à les saisir entièrement tellement elles sont énormes. Puis je remonte vers la queue. Elle est chaude et continue de gonfler. Soudain, n'y tenant plus, je me penche sur sa bite et j’enfonce le gland dans ma bouche. Je prends le morceau en main et je le branle tandis que je suce le gland. J’ai l’impression que je n’arriverai jamais à avaler son morceau en entier qui est si large ! Ma mâchoire craque tellement sa bite m’ouvre la bouche. Ma bouche est très largement ouverte, son gland envahit tout. Impossible d’en prendre plus.
Au bout de quelques minutes, il se met debout. Je me mets à genoux et je reprends sa bite en bouche. Moi qui voulais être discret, c’est raté. J’espère que personne ne va filmer la scène car j’aurais du mal à expliquer tout ça si mon copain venait à trouver la vidéo sur le net... Le mec donne de petits mouvements de bassin pour faire entrer sa queue plus profondément dans ma gorge. Il semble bander au maximum, mais sa queue fait dans les 20 cm. Il a un pénis de chair comme disent les spécialistes : il ne se gonfle pas beaucoup quand il est en érection. Sa queue est certes dure mais tout de même assez molle au touché.
Il sort sa queue de ma bouche, je tends ma langue et, aidée de sa main, il joue avec son gland dessus. Puis je reprends ma suce. Je le branle de ma main droite tandis que je suce le tiers de sa queue... que je dévore, faisant passer ma langue de temps en temps le long du morceau. Je m’amuse aussi à titiller son frein puis je reprends ma suce.
Au bout de 15 minutes, le mec me fait me relever et retourner. Il se met à genoux, il pose ses mains sur mes fesses et les malaxe avec envie. Il introduit très vite sa langue dans mon anus. Je me mets immédiatement à gémir sous l’effet de sa langue magique qui me fouille l’intérieur et qui me mouille bien. Le mec se débrouille comme un pro, il s’enfonce dans mon intimité, de plus en plus profondément. Je gémis de plaisir. Il ouvre autant que possible mes fesses avec ses mains et il me mouille bien l’intérieur de mes entrailles.
Il se relève, me place à 4 pattes sur sa serviette et il présente son gland devant mon trou, sans capote. Il essaie de s’enfoncer mais il n’arrive pas à forcer le passage. Je prends mes lobes de fesses en main et je les écarte au maximum. Il pousse légèrement puis se retire. J'essaie de me détendre, je prends de profondes inspirations. Finalement, mon anus avale le gland qui élargit mon trou au maximum. Je sens les premiers centimètres entrer en moi et mon anus se resserre derrière le passage du gland qui m’ouvre le trou en grand. Je sens que mon anneau est terriblement distendu.
Il s’enfonce lentement en moi. Je sens son gland me dévaster le colon et chaque centimètre investir un peu plus mon cul sous la poussée de son énorme queue. J’éprouve de la douleur mais aussi du plaisir, surtout quand sa queue commence à coulisser le long de ma prostate. Je me sens comme écartelé... Ses couilles finissent par se retrouver plaquées contre mon cul, je savoure le plaisir de le sentir bien au fond de moi. Dans une descente qui m’a semblé interminable, je sens enfin les poils de son pubis me chatouiller le cul. Il reste immobile pendant quelques secondes, me laissant le temps de m’habituer à son monstre, puis il commence à faire de petits va-et-vient. Sa queue me ramone dans cette position pendant 5 minutes. Son pubis vient se frotter contre mon cul et ses grosses couilles se balancent sous sa queue, tapant contre mes propres couilles. Parfois, il ressort complètement de mon cul pour pouvoir mieux s'y replanter, d'un seul coup de reins, directement jusqu'à la garde, ce qui me coupe le souffle. Je vois alors un autre mec arriver, sa queue tendue au maximum et il se met à se branler devant nous.
Mon baiseur me saisit les épaules et ses coups de bite s’accélèrent, ils deviennent violents. Son gros gland vient me frapper le fond de mon cul et je me sens alors mouiller... je crois que j’ai une jouissance anale. Il fait entrer et sortir sa queue sur toute sa longueur. Il me secoue comme un prunier. Je ne suis plus qu’une poupée entre ses mains. Ses coups de reins sont secs, brutaux, ses couilles frappent maintenant mes fesses avec force et rebondissent dessus. Je vois qu’un autre mec est non loin du premier et il se branle aussi.
Mon baiseur me fait positionner sur le dos et il s’enfonce en moi sans trop de mal, vu que mon trou est désormais béant. Il s’empare mes chevilles et il reprend ses des va-et-vient dans mon anus. Dans cette position, je ressens chaque détail de sa queue (son gland, les veines proéminentes de sa teub) qui est assez dureeet qui percute ma prostate à chaque fois qu'il me pénètre à fond. Il colle son corps contre le mien, se met à mordiller mon oreille et à m’embrasser dans le cou. J’ai ma tête plaquée contre sa joue. Il me baise doucement puis petit à petit, ses mouvements se renforcent. Il se met à me pilonner sauvagement. Il fait sortir sa queue puis me la replante dans les entrailles avec force, me clouant sur place.
Il me replace ensuite en levrette et je remarque que 3 autres mecs sont en train de mater le spectacle, mais sans se branler. Un des spectateurs profite de ma position pour s’approcher et me plonger sa queue dans la bouche. Il est grand et mince, avec une queue de 18 cm, assez fine. Les mains de mon baiseur s’abattent sur mes hanches et il se met à me défoncer. Sa bite me donne un grand plaisir. Elle me pète le cul, elle me distend la rondelle et elle me ramone le ventre. Ses couilles me fouettent les fesses, mes cuisses et même mes propres couilles, rebondissant dessus. Ses coups de queue sont si puissants qu’ils me font pousser un cri de plaisir à chaque poussée... mais ces cris sont étouffés par la bite qui me baise la bouche. Je gémis de plus en plus fort tant son membre déchire mon trou. Ça a l’air d’exciter les deux mecs, qui se regardent dans les yeux l’un de l’autre, d’occuper mes deux trous. Ils se mettent alors tous les deux à me baiser au même rythme.
Mon enculeur me fait basculer et je me retrouve sur le ventre, toujours possédé par les deux bites. Il me fait serrer les jambes, et il me baise. Je sens sa queue me chauffer le conduit encore mieux. Je suce toujours le mec qui s’est mis à genoux. Je monte et je descends sur son chibre. Soudain, je sens une main m’attraper les couilles et les malaxer. Un des mecs s’est approché et il me touche. Il caresse aussi la bite qui s’enfonce dans mes entrailles. Je lève la tête et voit au total 7 mecs qui nous entourent et se branlent.
Le rythme de mon actif rythme s’accélèrent et il se met à grogner de plaisir. Il finit par se vider dans les chaudes profondeurs de mon cul. Ces jets sont puissants et fusent contre le fond de mon cul. Je sens mes entrailles inondées. Il reste quelques secondes en moi, secoué par les soubresauts de son orgasme. Je sens sa queue se ramollir et s'éjecter de mon trou. Elle est suivie par son jus. Le mec, exténué, se pose sur la serviette à côté de moi.
Le mec que je suce se vide en quatre jets, longs et puissants, qui giclent au fond de ma gorge, me faisant tousser. Il m’appuie sur la tête, m’obligeant à avaler son jus qui coule dans mon œsophage. Je déguste le nectar et je lèche les dernières gouttes de foutre. Je sens le jus sortir de mon cul comme un ruisseau. Le torrent coule le long de mon périnée et de mes couilles pour tomber par terre. Soudain, le mec qui m’avait caressé le cul et les couilles pendant que je me faisais baiser s’enfonce dans mon trou sans demander quoi que ce soit.
Il est grand et baraqué, brun avec des cheveux rasés et une barbe épaisse. Il a des bras et des cuisses puissantes, un ventre rebondi et dur ainsi que des seins bien prononcés. Il a des tatouages sur les bras et le torse. Son ventre est rempli de poils, tout comme son pubis. Il doit avoir 17 cm entre les jambes. Il m’agrippe par les hanches et il s’enfonce dans le jus de son prédécesseur. Il me défonce. Il donne des coups de reins puissants et profonds. Mais je ne sens pas grand-chose après le passage du premier mec. Mon trou est comme explosé, béant et agrandi. Au bout de deux minutes, le mec me jute dans les entrailles. Je ne sens là rien non plus mais il a bien dû me doser une bonne quantité car du sperme dégouline comme un torrent de mon anus.
Je tombe, éreinté, sur la serviette et je me mets sur le dos pour me branler. Les autres qui m’entourent comme des vautours se branlent au-dessus de moi. Le premier qui jouit est un mec de 65 ans, mince, imberbe, aux grosses couilles rondes avec 16 cm entre les jambes. Il jute une bonne de sperme qui tombe comme une pluie épaisse sur mon visage. Je ferme les yeux et je sens ce liquide me peinturlurer la figure. Le deuxième est un black de 40 ans monté 20 cm avec une queue épaisse au niveau de la base et plus mince au niveau du gland. Il n’est pas un grand juteur. Quelques gouttes sortent de sa bite et tombent dans mon cou et sur mon torse.
Le troisième mec a aussi dans les 40 ans, il est poilu et mince, à part un ventre assez prononcé. Il a une bite de 18 cm très épaisse. Il est à mes pieds mais il vient vers moi et il se penche au-dessus de mon visage. Je ne peux m’empêcher d’ouvrir la bouche et de tirer la langue. Et là, c’est l’explosion. Quatre jets fusent hors de sa bite et viennent se loger sur ma joue, sur mes yeux, dans mes cheveux, ... et aussi sur ma langue. Le mec continue de se branler et je suce son gland qu’il retire vite, ne supportant plus de se faire lécher. Le cinquième est un jeune homme mince et imberbe avec une queue de 15 cm. Il se branle au-dessus de mon ventre et quand il pousse un cri, je vois son sperme fuser sur mon corps en gerbe, en étincelles et il éclate contre mon ventre, mon torse, ma bite. Il jouit une belle quantité. 8 jets de semence explosent en longues saccades qui viennent maculer mon corps.
Le dernier mec se penche aussi sur mon visage avec sa queue de 16 cm parsemée de veines bien saillantes. Il est musclé, imberbe, avec une bonne paire de couilles que j’aurais bien aimé lécher. Il met son gland à quelques millimètres de ma bouche et son premier jet atterrit sous mon nez. L’odeur forte du sperme envahit mes narines. Son jus est blanc et épais. Le deuxième jet atterrit sur mes lèvres et coule lentement le long de ma langue. Le troisième tombe sur ma joue et les autres gouttes qui sortent vont sur ma langue. Quand il a fini, j’avale le tout.
Je me branle et j’ai un orgasme intense. Tel un geyser, mon sperme explose en plusieurs jets sur mon ventre avec force et par saccades. Au total, 9 doses arrosent mon ventre et mon torse.
Je me lève et je me dirige vers la mer pour me nettoyer tout ça. En marchant, je sens le jus s’échapper de mon anus et couler le long des mes jambes...
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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