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Chapitre-4
Salut,
Moi, c’est Nico, je suis étudiant en littérature moderne, j’ai 22 ans, je suis blond, les yeux bleus, je suis mince, de taille moyenne et je vis à Poitiers.
Lors d’une soirée, j’ai fait la connaissance d’Abdoul, un magnifique jeune homme marocain qui m’a envoûté dès le premier regard. Il m’a invité à venir chez lui et très vite, on s’est caressé et embrassé avant de finir dans son lit. Mais après notre partie de jambe en l’air, Abdoul m’a avoué qu’il était dans une relation à distance avec un mec. Mais il s’est empressé d’ajouter qu’il aimerait le quitter pour moi. Moi, voyant que des sentiments pour lui se sont aussi développés, je me suis senti un peu chamboulé. Le lendemain, nous avons passé la journée ensemble et nous avons fait l’amour. Mais j’ai très vite compris qu’il n’a pas la force de quitter son mec...Cependant, il m’excite tellement, que je n’ai pas pu m’empêcher de lui rendre visite. Mais, il a fini par me dire qu’un de ses cousins lui avait trouvé un job dans le sud de la France et qu’il serait absent pendant 4 semaines. Moi, je me suis senti un peu trahi...
La première semaine, Abdoul m’appelle tous les soirs. Il me raconte que le boulot dans le centre de distribution est très dur. Quand il rentre chez son cousin à Perpignan, il n’a qu’une envie, c’est manger et se coucher. Parfois, il est tellement fatigué qu’il me laisse simplement parler de ma journée.
Durant les semaines de son absence, j’en profite pour réfléchir. J’essaie de faire le point sur mes sentiments envers Abdoul. Mes amis me disent de ne pas trop y penser et de savourer tout simplement les instants avec ce mec mignon le temps qu’il se trouve en France. Parfois, je sens comme des papillons dans le ventre quand je pense à lui. Et je me réjouis à l’avance de l’avoir au téléphone le soir. Mais le plus souvent, j’ai surtout le sentiment que tout va trop vite. Je n’arrive pas à savoir ce qu’il attend de moi. Est-ce qu’il cherche vraiment un petit ami, comme il ne cesse de le répéter ? Ou est-ce que je suis seulement un parmi tant d’autres avec qui il couche ?
Je dois avouer qu’il me fascine... son aura, son visage, son histoire, sa façon de m’embrasser, ses caresses... Je ne veux pas le blesser, ça c’est clair ! Je me persuade qu’il faut d’abord qu’on apprenne à se connaitre... et qu’après, on verra. Voilà ce qu’il nous faut : du temps ! C’est pour ça que je prévois de parler avec lui dès qu’il rentrera.
La veille de son retour, Abdoul m’envoie un SMS, me disant qu’il était impatient de me voir, de me prendre dans ses bras et de m’embrasser. Il me dit de venir chez lui dimanche.
Le dimanche arrivé, je me rends à la chambre d’Abdoul. Dès qu’il ouvre la porte, on se prend dans les bras et on reste ainsi pendant quelques minutes. Ses mains me caressent le dos. Puis, il se recule, il me regarde dans les yeux et il m’embrasse tendrement. Ensuite, sans que nos lèvres se séparent, il m’entraine dans sa chambre, vers son lit. On se laisse tomber dessus et on s’embrasse toujours. J’aimerais arrêter tout ça car j’ai bien la ferme intention de lui parler... mais je n’y arrive pas. On ne nous arrête plus.
Je déshabille Abdoul et lui me déshabille. Il est vraiment magnifique : il est un peu plus grand que moi. Il a des cheveux sombres et épais, une barbe de 3 trois jours, un piercing à l’arcade sourcilière droite... et de magnifiques yeux verts. Il a un magnifique visage et de belles lèvres épaisses. Sa peau est assez foncée. Il a un corps svelte, mince, sans être vraiment musclé. On devine des pecs qui restent assez plats... mais des abdos sont légèrement visibles. Son corps est assez poilu. Le milieu de son torse est recouvert d’une toison noire et frisée, assez dense qui recouvre ses pecs de facon plus éparse. Son ventre est aussi un peu poilu, avec des poils courts et frisés. Ses jambes et ses avant-bras sont aussi poilus. Il a un pubis velu, recouvert de poils noirs, frisés. Il a une bite de 19 cm, circoncise, marron foncée, assez épaisse, avec des couilles un peu poilues, presque noires qui pendent bien. Elles ressemblent à de gros œufs.
Il me prend dans ses bras et on se retrouve sur le lit. Il m’embrasse tendrement en me caressant le dos et le torse. Il pose sa main sur ma teub qui est bien dure. Moi, je fais pareil et je sens sa queue pulser dans la paume de ma main. Puis, ma langue descend le long de son corps, titille ses tétons, dépose des baisers sur ses deux pecs. Il gémit doucement. Puis, je descends vers son ventre et je me retrouve avec sa bite devant les yeux. Je commence doucement à la lécher. Je descends vers ses couilles que je léchouille. Elles ont l’air bien pleines ! Puis, je remonte et j’enfonce sa queue dans ma bouche. Je le suce lentement, doucement. Je veux lui montrer que j’aime sa teub et que je veux plus que tirer mon coup.
Il me fait ensuite mettre en 69 et je suce sa queue pendant qu’il suce la mienne. Ses doigts jouent aussi avec mon trou qui mouille beaucoup. Puis, sa langue passe le long de mes couilles pour se retrouver dans mon anus sur lequel il donne un coup de langue. Je gémis avec sa bite toujours dans ma bouche. Sa langue tourne autour de mon trou, puis il l’y fait rentrer lentement et il se met à faire des allers-retours. On reste ainsi pendant 5 minutes et je prends un pied d’enfer.
Il me fait mettre à quatre pattes et il plonge sa queue directement dans mon anus qui est bien ouvert. Il l’a tellement bien préparé qu’elle s’enfonce toute seule. Il commence à me faire l’amour doucement en m’embrassant dans le cou. Mais très vite, il se met à me pilonner en faisant des mouvements amples et rapides. Je veux bien croire qu’il n’a pas baisé depuis une semaine, car il semble vraiment excité. Je sens mon cul se faire ravager. Ses couilles me fouettent le périnée.
Ensuite, Abdoul quitte mon trou et il m’attire vers lui. Il me fait lécher son torse et il m’embrasse sauvagement. Il me fait mettre sur le dos, le cul au bord du lit. Il enfonce la moitié de sa queue en moi et il se met à donner de petits coups de reins. Je gueule de plaisir. Sa queue m’écarte bien ! Au fur et à mesure des mouvements de reins, la queue du rebeu s’enfonce plus profondément en moi. Il se met à faire de petits allers-retours dans mon cul. Je me branle à fond. Puis, il entame une série de va-et-vient rythmés dans mon anus. Je vois sa bite sortir pour se renfoncer et disparaitre complètement dans mon anus, mon cul se retrouvant collé contre les poils de son pubis velu. Je sens ses couilles se balancer et me frapper le cul.
Abdoul s’éclate ainsi pendant une dizaine de minutes dans mon anus. Il me défonce à fond. Très vite, il pousse un cri et je sens un liquide chaud envahir mes entrailles. Ce sont bien une quinzaine de jets qui, les uns après les autres, me mitraillent le fond de mon cul. Il tasse un peu son jus, puis il reste en moi. Quand il ressort, un filet de sperme tombe bruyamment sur le sol. Il saisit ma queue et je jouis en moins de 2 minutes 5 giclées puissantes sur mon ventre. Abdoul se penche au-dessus et il boit mon nectar. Il semble bien aimer. Puis, il vient se blottir contre moi.
On est étendu sur le lit, dans les bras l’un de l’autre. Abdoul me caresse le dos. Je romps au bout d’un moment le silence :
- Il faut qu’on parle.
Silence lourd.
- Durant ton absence, j’ai eu le temps de réfléchir.
Silence.
- Je t’aime beaucoup, commencé-je. Mais tout va trop vite entre nous.
Abdoul se met à sourire, ce qui m’irrite un peu. Je continue :
- Je t’ai déjà expliqué que j’ai besoin de temps pour apprendre à te connaitre. C’est pour ça que j’aimerais passer plus de temps avec toi.
Abdoul n’arrête pas de sourire... ce qui m’énerve un peu...
- Pourquoi tu souris comme ça ?
- Ah rien.
Je commence vraiment à m’énerver.
- Abdoul, j’ai vraiment l’impression d’être une de tes conquêtes parmi tant d’autres ! Combien de mecs tu as eu ? Dis !
- Je sais pas... une centaine ?
- Une centaine... putain... Et tu les as tous baisés comme ça, sans capote ?
- Oui...
- Tu me dégoûtes !
- Pourquoi ? Tu aimes aussi que je te remplisse ?
- C’est différent... Et si tu m’as refilé un truc ?
Il baisse la tête, le regard dans le vide. Apparemment, je l’ai blessé.
- Tu sais, au Maroc, j’ai travaillé à côté de mes études dans un hôpital où je me faisais tester régulièrement. Depuis, que je suis en France, je fais aussi tous les mois ces tests anonymes et gratuits de dépistage dans les hôpitaux.
- Ah ok, dis-je, penaud. Tu sais... Abdoul... En fait, j’aimerais sortir avec toi... mais je crois que ce n’est pas possible.
Abdoul me regarde cette fois sans sourire, désemparé, en silence. Je me dégage de ses bras. Je lis de la déception dans ses yeux. Il rompt le silence :
- Tu veux pas qu’on sorte un peu prendre l’air ?
Je fais oui de la tête. On se lave et on s’habille puis on sort. On se promène un moment puis Abdoul prend la parole :
- Tu sais pourquoi je souriais tout à l’heure ?
- Non.
- Juste que je voulais sortir et me promener.
Je suis vraiment en colère. J’ai vraiment l’impression qu’il se fout de ma gueule... qu’il n’a pas pris pas au sérieux ce que je voulais lui dire...
- Est-ce que tu aimerais regarder un film... dans mes bras ?
- Oui, dis-je.
On rentre dans sa chambre et il met son film préféré en route : « V pour Vendetta ». Malgré la situation un peu tendue, je m’endors dans ses bras. Je me réveille le lendemain et je remarque qu’Abdoul est déjà réveillé. Il essaie tout le temps de me serrer dans ses bras alors que j’essaie de maintenir une distance. Il passe sa main dans mon caleçon et après plusieurs tentatives infructueuses, il laisse tomber, voyant que je ne bande pas et que je ne réagis pas à ses caresses. Il se lève et il va fumer une cigarette. Moi, je l’observe du coin de l’œil.
Puis, je décide de rentrer chez moi. Sur le chemin du retour, je me sens vidé et déprimé. Ma peur a vaincu mon envie d’être avec Abdoul... qui m’a laissé quitter son appartement, l’âme en peine. Par peur d’être blessé, je me suis blessé moi-même, ainsi qu’Abdoul.
Quelques jours plus tard, je reçois le dernier SMS d’Abdoul : « Salut Nico. J’aimerais te dire que tu as raison. Après que tu es parti, j’ai beaucoup réfléchi. Je t’aime bien mais je ne peux pas être celui que tu aimerais que je sois. Ça serait difficile de construire une relation si je dois bientôt rentrer au Maroc. Je pense que j’ai cru à un conte de fée... mais c’est fini. J’espère qu’on pourra rester amis. Prends soin de toi et merci pour tout. Abdoul. PS : Ce furent des moments courts mais magnifiques avec toi. »
FIN
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Meetmemz
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