Premier épisode
Chapitre-2
Salut,
Moi, c’est Nico. J’ai 20 ans, je fais 1,78m pour 65 kg. Je suis mince, blond aux yeux bleus. J’ai le visage lisse. J’adore faire du sport (foot, VTT, ...) ce qui m’a donné un corps musclé sec et surtout de belles jambes musclées. Je fais un BTS de gestion.
Comme je vous l’ai raconté dans le premier chapitre, je fantasme depuis très longtemps sur le meilleur ami de mon frère, Bilal. Un jour, on s’est fait coller tous les deux. Alors que j’étais en train de faire ma punition, j’ai surpris Bilal en train de mater un porno ... ce qui m’a déjà bien chauffé. On est rentrés ensemble chez moi car il venait voir mon frère. Bilal, prétextant vouloir recharger ses écouteurs sur mon ordi, a alors trouvé des photos de mecs nus. Le rebeu a alors compris que j’étais homo. Mais il a vu des photos de lui que j’avais prises en secret. Il a alors compris que je flashais sur lui. Apprenant que j’étais encore puceau, il m’a dit qu’il pouvait m’initier à un truc. Il m’a alors fait sucer sa grosse teub. Mais après avoir joui, il s’est précipité hors de la maison au même moment où mon frère est rentré. Ce-dernier a vite compris ce qui c’était passé et il m’a consolé.
Mon frère ne semblait pas choqué par cette révélation que j’étais homo. Il m’a dit qu’il s’en doutait depuis un petit moment.
Aujourd’hui, ça fait une semaine que Bilal a quitté précipitamment notre maison. Je sors de la maison. Je n’ai pas eu de nouvelles du mec de mes rêves depuis que je l’ai sucé. Je ne lui ai ni envoyé de message, ni vu au lycée. Mais je sais qu’aujourd’hui je vais l’y voir, comme tous les vendredis, au plus tard à la cantine car nos emplois du temps sont assez identiques ce jour-là. Je ne sais pas comment je vais me comporter... le saluer ? l’ignorer ? essayer de lui parler ?
Je m’apprête à descendre du bus et comme souvent, je vois Bilal avec ses potes à l’arrêt de bus devant le lycée. Je sens immédiatement mon cœur s’emballer. Ils sont en train de fumer et de rire. Bilal leur a sûrement raconté que je suis une « pédale » et ils sont sûrement en train de se foutre de ma gueule. Rien que d’y penser, je me sens mal. Je descends du bus en titubant, je regarde dans la direction de Bilal quand une main se pose sur mon épaule. Je pousse un cri. Je me retourne : c’est Marco, un pote de ma promo. Il m’entraine vers le portail du lycée, me disant qu’il doit me raconter un truc incroyable. On passe devant le groupe de Bilal. Le regard de « mon » rebeu croise alors le mien. J’ai l’impression que mon cœur s’arrête. Est-ce qu’il est en train de me sourire ? Ou est-ce mon imagination ? J’entends alors un de ses potes :
- Putain, Bilal ! Tu m’écoutes ?
Bilal regarde alors son pote tandis que Marco m’entraine dans le bâtiment. Je jette un coup d’œil par-dessus mon épaule : je ne vois plus mon rebeu. Marco me raconte la soirée démente qu’il a vécue la veille et moi, je ne l’écoute que d’une oreille, plongé dans mes pensées. Puis, il me regarde et je réponds simplement :
- Eh ben ! Quelle soirée !
Il hoche de la tête en souriant et on entre dans notre salle de cours. Dans l’embrasure de la porte, je vois alors Bilal qui passe avec ses copains et qui me fait un grand sourire...
A midi, je ne croise pas Bilal à la cantine. Depuis une bonne semaine, je me creuse la tête : comment est-ce que le repas va se passer ? Dois-je l’aborder ? En fait, j’ai imaginé mon discours des centaines de fois : j’aimerais m’excuser auprès de lui, lui dire que c’est de ma faute, que je n’aurais pas dû exagérer comme je l’ai fait. Mais tous mes plans tombent à l’eau : pas de trace de Bilal durant le repas.
A 14h, je prends mon courage à deux mains et je finis par lui envoyer un message : je lui propose de me retrouver après les cours pour parler devant la cantine. Malheureusement, je ne reçois pas de réponse.
A 16h, je me rends devant la cantine. Personne. J’attends 15 minutes... Finalement, je me fais une raison, je me dis qu’il ne viendra pas. Je prends alors mon sac à dos et je veux partir quand une main me saisit l’épaule et m’entraine dans les escaliers. Je veux protester mais une deuxième main se pose sur ma bouche. On est dans les sous-sols. Une porte s’ouvre et je me retrouve dans une pièce à peine éclairée. C’est alors Bilal qui me murmure à l’oreille :
- J’ai reçu ton message.
Sa voix ténébreuse me donne des frissons. Il referme la porte et il me lâche. Je regarde tout autour de moi : on est dans la chaufferie. Je reprends mon souffle quand il saisit ma main et il la pose sur son entre-jambe.
- Ton message est arrivé à point nommé... J’ai besoin d’une vidange..., me susurre-t-il à l’oreille.
Sans résister, je laisse Bilal m’appuyer sur les épaules. Je me retrouve à genoux. Sa queue tendue ainsi que son gland sont visibles à travers son pantalon de jogging. Mes lèvres se posent sur le tissu et elles se mettent à lécher le gland. Bilal se met alors à gémir. Puis, il fait descendre son pantalon et je vois sa magnifique bite devant les yeux, toute dressée, bien dure. Sans hésiter, je la prends en bouche. J’arrive à en avaler directement les trois quarts... ce qui fait bien gémir Bilal.
Je commence à le sucer, lentement. Bilal me caresse mes cheveux mais au bout de quelques minutes, je sens ses doigts faire pression sur ma tête, me faisant comprendre d’aller un peu plus vite... ce que je fais !
- Oh oui, c’est bon comme ça. Tu te débrouilles encore mieux que la semaine dernière. Si tu apprends aussi vite que ça, je me ferais un plaisir d’être ton cobaye le plus souvent possible, dit-il en soupirant
Content de son compliment, je m’applique à encore mieux le sucer. Quelle magnifique queue ! Je la sors de ma bouche et je l’admire. Son morceau est bien gros. Il est circoncis, il fait 22 cm et il est très épais. Il est traversé par une veine saillante. Il est marron foncé. Le gland est rosâtre, gros, et de la mouille en coule déjà. Il a aussi deux grosses couilles, lourdes, pendantes, poilues.
Je reprends ma suce et je joue à l’aide de ma langue avec son gland. Puis, je saisis les boules de Bilal et je commence à les masser. J’adore aussi ses grosses couilles velues et bien remplies !
- C’est vraiment mieux que la première fois ! C’est vraiment trop bon !
Il enlève son survêtement de jogging et il fait remonter son t-shirt, libérant ainsi son corps magnifique sur lequel je fantasme depuis des années. Je lève les yeux et j’apprécie la vue : il a un ventre plat et de beaux pectoraux bien dessinés. Son corps est entièrement recouvert de poils épais, courts et noirs qui s’enfoncent dans son pubis qui lui est recouvert de poils épais, noirs et frisés, qui recouvrent aussi son aine et ses jambes.
Bilal me regarde dans les yeux, d’un air assez macho... qui me fait vite de l’effet. Prenant mon courage à deux mains, je pose mes doigts sur son ventre. Ils se mettent à jouer avec ses poils. Voyant que Bilal n’oppose pas de résistance, ma main remonte le long de son corps et va titiller ses tétons... ce qui le fait bien gémir.
Au bout de quelques minutes, j’essaie de prendre sa bite plus profondément dans ma bouche... et j’arrive à en avaler les derniers centimètres. Mon nez se retrouve perdu dans ses poils pubiens et ses couilles sont collées contre mon menton.
Je ressors puis je renfonce sa bite à moitié dans ma bouche. Mais Bilal appuie alors sur ma tête, m’obligeant à avaler sa teub en entier. Ne pouvant plus respirer, j’essaie de me dégager de sa main, mais le rebeu appuie bien fort sur ma tête. De la bave se met à sortir de ma bouche. Ma bite durcit, je remarque que j’adore me faire traiter de la sorte. Mes yeux rencontrent les siens... et il voit alors que des larmes mouillent mes sourcils... Il me relâche et il demande :
- Merde. Ça va ?
- Oui.
- Désolé, je me suis laissé aller.
Je reprends mon souffle mais je me rends compte que je vais bien :
- T’inquiète, c’était trop bon ! Surtout de sentir ta queue au fond de ma gorge !
Bilal me regarde en souriant. Il me donne une tape amicale sur la tête en disant :
- Incroyable ! T’avais du mal la dernière fois à prendre les trois quarts de ma queue... et là... ça !
Il regarde sa queue, pleine de bave... Elle dégouline aussi de son precum. Je lui demande :
- Et toi ? T’as vraiment aimé alors ?
- Oui ! C’était trop bon !
- Alors, tourne-toi et appuie ton contre le mur !, dis-je d’un ton impérieux.
Bilal me regarde d’un air suspicieux.
- T’inquiète ! Je vais rien t’enfoncer dans le cul ! Fais-moi confiance !
- J’espère...
Bilal baisse son pantalon qui glisse le long de ses jambes musclées de footballeur. Un duvet de poils noirs et épais les recouvre. Il se retourne en soupirant. Je découvre alors un cul bien musclé et un peu rebondi. Sa raie est remplie de poils noirs et drus. J’écarte alors délicatement ses fesses et j’ai une magnifique vue sur sa rosette. Je sens que Bilal se contracte. Il a vraiment peur, me dis-je.
Ma langue sort alors de ma bouche et elle se met à titiller sa rosette. Surpris, le rebeu laisse échapper un gémissement de plaisir. J’écarte encore plus ses fesses. La pointe de ma langue fait des cercles autour de son trou.
- Oh putain, Nico...
Bilal semble vraiment aimer ça ! Il se détend et il me laisse continuer. Ses gémissements deviennent de plus en plus fort. Encouragé, je fais passer sur son anus la pointe de ma langue... qui s’enfonce petit à petit dans son trou. En même temps, je saisis sa queue qui est toute mouillée de son precum. Je me mets à le branler. Finalement, ma langue entre dans son anus... et je sens au même moment sa bite durcir de plaisir...
- Quoi ?
Bilal essaie alors de résister. Je le comprends... Il n’est pas homo, il ne se laisse pas mettre des trucs dans le cul... même pas la pointe d’une langue. Mais finalement, il ne résiste pas tant que ça... il me laisse en fait continuer. Il semble y prendre du plaisir.
Mon visage est plongé dans sa raie ... et j’essaie de l’enfoncer toujours plus loin pour faire aller ma langue toujours plus au fond. Le corps de Bilal tremble de plaisir. Puis, je ressors ma tête pour reprendre ma respiration... et un de mes doigts se met à titiller sa rosette... avant d’appuyer sur son trou. Soudain, Bilal se retourne et il me sourit :
- Tu aurais bien aimé me l’enfoncer, hein ?
Malgré son sourire, je comprends qu’il n’est pas encore prêt pour ça. Il me fait me relever et il me dit :
- Si quelqu’un ici doit montrer son cul, c’est bien toi !
Il me serre contre son corps musclé, dans ses bras puissants. Je tourne alors ma tête et je le regarde dans les yeux... Ah… le mec de mes rêves…
- Peut-être… mais pas aujourd’hui... et pas ici !
Je ne veux certainement pas me faire dépuceler dans les caves du lycée !
- Je comprends... Mais tu pourrais peut-être...
Il regarde son entre-jambe en souriant...
- Et j’espère que tu vas jouir cette fois !
- Si tu le veux...
J’ouvre alors mon pantalon et j’en sors mes 17 cm. Je me mets à genoux et j’enfonce les 22 cm de Bilal dans ma bouche.
- Oh oui, dit Bilal de sa voix profonde.
Ses doigts me caressent les cheveux tandis que son gland va au fond de ma gorge. Je me retrouve avec ses couilles pendantes contre le menton.
- Vas-y, suce-moi.
J’obéis tandis que je me branle. Mais je remarque vite qu’il faut que je fasse doucement car je ne veux pas jouir trop vite. Je vois alors Bilal faire passer une main sous son t-shirt pour se titiller les tétons pendant que l’autre me caresse toujours la tête.
- C’est trop bon ! Vas-y, continue ! Va chercher ma semence !
Je sens alors son gland durcir. Bilal se met à faire des allers-retours, faisant balancer ses couilles qui me frappent le menton. Sa bite va bien au fond de ma gorge, mes yeux se remettent à pleurer. Mais j’encaisse bien, je suis fier de moi. Au moment où je sens sa queue durcir, Bilal dit :
- Je vais jouir !
A sa plus grande surprise, je l’enfonce au fond de ma gorge. Bilal pousse alors un cri bestial et un flot puissant et abondant de sa semence de rebeu gicle dans ma gorge. Je me branle comme un malade et je jute 4 gros jets qui atterrissent sur le sol, entre les pieds du rebeu.
On reprend alors notre souffle et Bilal dit :
- Putain ! C’était trop b...
Il ne peut pas finir sa phrase. On entend soudain le bruit de la porte qui s’ouvre. Bilal remet son pantalon en un éclair et il me saisit le bras.
- Vite, viens !, murmure-t-il.
Il me tire mais j’ai mon pantalon encore baissé. Je tombe par terre et je m’étale dans mon sperme. Bilal me regarde, interdit, paniqué. Les pas se rapprochent de nous. Le rebeu me regarde, apeuré... puis il se retourne et il court vers la sortie. J’ai à peine le temps de remettre mon pantalon que je vois Fabien, un de potes de Bilal, apparaitre. Je ne le connais pas mais je l’ai souvent vu à l’arrêt bus ou dans la cour avec « mon » rebeu, en train de déconner.
Fabien me voit, le cul à moitié à l’air ainsi que du sperme par terre et ... au coin de mes lèvres.
- Eh ben !, s’exclame Fabien ! J’étais venu pour fumer… Et je te trouve comme ça ! T’es pas bien dans ta tête, toi !
Je vois qu’il tient un joint dans sa main. Il me regarde d’un air menaçant :
- Je le savais que t’étais une petite pédale ! Fais-toi défoncer ailleurs la prochaine fois !
Il allume son joint. Moi, je ne suis comme paralysé. Ça y est, il va dire à tout le monde que je suis homo ! « Non ! », crié-je dans ma tête ! « Pas comme ça ! Non ! ». Sans prononcer un mot, je me relève et je me rhabille, les larmes aux yeux. Je me rends alors compte qu’une fois encore, Bilal s’est enfui. Je crains que le prix que je vais payer d’avoir eu quelques instants de plaisir avec le mec de mes rêves va être lourd.
A suivre...
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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