Premier épisode
Chapitre-2
Salut,
Moi, c’est Nico. Pour mes potes, je suis « l’ensemenceur ». Je gagne ma vie depuis plus de 20 ans comme inséminateur équin et bovin : certains de mes clients m’appellent « l’étalon » aussi quand ils me voient arriver pour aller inséminer leurs juments… et pour les ensemencer aussi… car j’adore pénétrer des mecs afin de déposer dans leur cul ou dans leur bouche ma semence. Je suis toujours chaud, j’ai toujours les couilles bien remplies… et j’adore ensemencer les mecs, célibataires ou mariés, hétéro ou homo. Dans le premier chapitre, je vous ai raconté ma première fois avec Jean-Pierre, le mec qui aidait mon père à la ferme.
Je me suis toujours beaucoup branlé. Certes, ma première partie de jambe en l’air était avec Jean-Pierre, mais je m’étais déjà masturbé avec des camarades de classe bien avant. Cependant, le sexe avec Jean-Pierre m’a bien aidé à m’accomplir en tant qu’« ensemenceur ». Jean-Pierre et moi avons baisé pendant de longs mois ensemble et j’ai découvert une passion pour les mecs plus âgés que moi.
Après le lycée agricole, j’ai fait mon apprentissage à la ferme de mon oncle Daniel, dans le nord de la France. C’était le frère de ma mère. Il avait dans les 40 ans et il était un paysan pure souche. Il ne prenait jamais de vacances, il bossait 365 sur 365 jours. Ma mère ne cessait de lui répéter : « C’est pas comme ça que tu trouveras une femme ! Il faut que tu sortes et que tu t’amuses, Dan ! »
Pourtant, Daniel était un bel homme : il était de taille moyenne, fort comme un ours. C’était un gars tranquille et on s’appréciait beaucoup. Pendant certaines vacances scolaires, j’allais l’aider quand il avait besoin de deux mains supplémentaires et qu’il ne trouvait personne. Et la vie dans sa ferme était si paisible... Il aimait bien ma présence et il savourait mes talents culinaires. J’ai toujours admiré ses grosses mains et ses énormes cuisses. Et il avait un tic, c’était toujours de remettre sa queue en place... qui avait l’air assez grosse !
Au lycée agricole, tous avaient une petite copine sauf moi... et moi, j’étais sans arrêt en rut. Je me branlais dès que j’en avais l’occasion. Et je ne me privais pas de baiser Jean-Pierre. Mais Jean-Pierre n’était pas à la ferme de Daniel, donc il fallait que j’assouvisse mes pulsions, que je fasse redescendre la pression... et que je me fasse plaisir comme je pouvais. Ça commençait dès le matin, tandis que Dan trayait les vaches et que moi, je donnais à manger aux veaux. Je regardais toujours si personne ne me voyait, je me cachais dans l’étable, je me branlais vite fait et je giclais ma première jute de la journée dans le foin.
Je me demandais souvent comment Daniel se soulageait. En tout cas, il ne ramenait pas de conquête à la ferme. Il sortait très peu au bar du village pour boire des bières. Il le faisait plutôt chez lui, en toute tranquillité. Il était certes un ours solitaire, mais il était content quand des gens venaient lui rendre visite, des potes de chasse ou d’autres paysans qui avaient besoin de son taureau pour ensemencer leurs vaches. Il leur servait des bières et de l’eau-de-vie. Et les mecs qui venaient étaient tous massifs, de vrais mâles... et je me branlais souvent en pensant à eux. Cependant, très vite, je me suis rendu compte que je trouvais Daniel aussi vraiment bandant.
On était en plein milieu de l’été où il faisait vraiment très chaud et où l’air arrivait à peine à se rafraichir durant les nuits. Heureusement que Daniel habitait dans une vieille maison en pierre avec des murs très épais qui gardaient la fraicheur, surtout au rez-de-chaussée. C’est pour cela que Daniel dormait sur le canapé plutôt que dans sa chambre qui se trouvait sous les combles, au premier étage.
Un soir, on a fêté la vente de deux bœufs avec un pote de Daniel, du nom de Sauveur. On a bu beaucoup. Sauveur est parti vers 23h au volant de sa vieille voiture. J’ai vu 3 bouteilles d’eau-de-vie ainsi que de nombreuses bouteilles de bière sur la table. On avait vraiment bien descendu tout ça ! Quand on s’est retrouvés seuls, je suis monté dans ma chambre au premier tandis que Daniel est resté en bas, sur le canapé. J’arrivais à peine à tenir sur mes jambes et je me suis endormi comme une masse.
Je me suis réveillé vers minuit et demi avec une envie de pisser. Je suis descendu (en marcel et en caleçon) et j’ai vu Dan affalé dans le canapé. Putain ! Quel bel homme, me suis-je dit. Il ronflait. Il avait toujours sa chemise sur lui, son poids tirait dessus et elle mettait bien en valeur son gros ventre. J’ai soudain vu qu’il était en caleçon et que son paquet était bien gros ! J’ai immédiatement bandé et je suis allé vite aux toilettes pour pisser. J’étais vraiment excité. Je me suis dit qu’il fallait vite que je retourne dans ma chambre pour me branler un bon coup. Mais quand je suis repassé devant Daniel, j’ai vu qu’il avait bougé et que ses cuisses étaient bien écartées... ce qui avait libéré ses grosses couilles poilues qui pendaient en dehors de son caleçon.
Je me suis alors aventuré plus près. Il devait faire un rêve érotique car une érection déformait son caleçon. Et putain ! Ces couilles étaient énormes ! Des vraies couilles de taureau, bien poilues ! Sûrement à cause de l’effet de l’alcool, j’ai osé approcher ma main de ses boules et je les ai massées. J’ai alors remarqué que sa teub prenait encore plus de volume sous l’effet de mes caresses. J’ai enfoui ma main dans son caleçon et j’ai pris sa bite en main ! Elle était en demi-molle et elle avait un gros gland. J’ai fait glisser son prépuce pour libérer son gland... ce qui a fait encore plus grossir la bite. Putain ! Quelle bite de cheval ! Elle faisait bien 20 cm, elle était épaisse, veinée. Moi, je bandais aussi et je sentais mon precum couler sur le tapis.
J’avais son magnifique morceau devant les yeux... et je n’ai pas pu résister. J’ai saisi son membre et je l’ai enfoncé délicatement dans ma bouche. Ma mâchoire était ouverte au max ! Quelle teub bien épaisse ! J’essayais de l’enfoncer entièrement au fond de ma bouche mais elle a bloqué à la moitié de son morceau. Cependant, au bout d’un moment, j’ai quand même réussi à avaler tout au fond de ma gorge. Quel sentiment excitant ! Daniel s’est alors mis à gémir. Je me demandais s’il était conscient de ce qui se passait. Mais en tout cas, il semblait apprécier ! Je me suis mis à le sucer, tout en le branlant. Parfois, je passais à ses couilles que je léchais comme un malade. Je me masturbais en même temps. J’avais aussi vraiment envie de me lever et de m’empaler sur sa queue... mais je n’ai pas osé.
J’étais tellement excité que j’ai joui très vite. Ma queue a expulsé des giclées de sperme sur le tapis, devant le canapé. Daniel a poussé un léger grognement. J’ai repris ma suce tout en malaxant ses boules... ce qui l’a fait bander encore plus dur ! Il a soudain gémi et il a giclé un premier het hyper puissant au fond de ma gorge. Il soufflait tel un bœuf et tandis que ma langue s’amusait avec son gland, 5 jets puissants et abondants ont jailli hors de sa queue. Je les ai sentis frapper le fond de ma bouche pour descendre le long de ma gorge. Il a encore éjaculé deux jets, ceux-là moins puissants. Puis, la source s’est tarie. J’ai nettoyé son gland. Sa queue s’est ramollie, je l’ai saisie et j’ai appuyé dessus. Quelques gouttes blanches de son doux sperme en sont sorties et je les ai aussi avalées. J’ai ensuite replacé sa bite dans son caleçon et je me suis redressé. Daniel semblait toujours dormir. Il n’avait vraiment rien remarqué ? J’étais en tout cas en train d’imaginer sa tête quand, le lendemain, il découvrirait le sperme au pied du canapé et qu’il sentirait ses couilles bien vides. Trop bon ! Je suis retourné dans ma chambre.
Le lendemain, je me suis levé aux aurores, avec une belle gueule de bois ! Je suis descendu dans la cuisine et j’ai trouvé Daniel en train de lire le journal, torse nu, toujours en caleçon. Il m’a salué et j’ai pris du café. Quand je me suis assis à côté de lui, il a remis sa queue en place et il a alors dit :
- J’ai les couilles bien vides ce matin ! Et il y avait du sperme au pied du canapé. Tu ne sais pas ce qui s’est passé ?
Putain... Je n’aurais jamais cru qu’il aurait osé me demander ça de but en blanc. Est-ce qu’il était vraiment en train de dormir ? En tout cas... que dire maintenant... ?
A suivre...
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Meetmemz
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