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Chapitre-3
Salut,
Moi, c’est Nico. Pour mes potes, je suis « l’ensemenceur ». Je gagne ma vie depuis plus de 20 ans comme inséminateur équin et bovin : certains de mes clients m’appellent « l’étalon » aussi quand ils me voient arriver pour aller inséminer leurs juments… et pour les ensemencer aussi… car j’adore pénétrer des mecs afin de déposer dans leur cul ou dans leur bouche ma semence. Je suis toujours chaud, j’ai toujours les couilles bien remplies… et j’adore ensemencer les mecs, célibataires ou mariés, hétéro ou homo. Dans le premier chapitre, je vous ai raconté ma première fois avec Jean-Pierre, le mec qui aidait mon père à la ferme. Dans la deuxième, on a fait la connaissance de mon oncle Daniel chez qui j’ai fait mon apprentissage. Un soir, je l’ai sucé alors qu’il dormait. Mais le lendemain, il semblait vouloir des explications...
Le lendemain, je me suis levé aux aurores, avec une belle gueule de bois ! Je suis descendu dans la cuisine et j’ai trouvé Daniel en train de lire le journal, toujours portant seulement un caleçon. Il m’a salué et j’ai pris du café. Quand je me suis assis à côté de lui, il a remis sa queue en place et il a alors dit :
- J’ai les couilles bien vides ce matin ! Et il y avait du sperme au pied du canapé. Tu ne sais pas ce qui s’est passé ?
J’ai avalé ma salive et j’ai fait mine de pas comprendre :
- Pardon ?
- Ah, Nico ! Et ça va, toi ? Pas trop mal à la tête ? Tu as bien dormi ?
- Euh oui merci, ça va.
- C’est bien. Tu sais, je suis content que tu sois là, qu’on s’entende bien. Tu feras un bon paysan, en plus !
- C’est gentil, merci.
J’avais réussi à éluder le sujet, heureusement. Je me suis même demandé si je n’avais pas rêvé cette réplique. En tout cas, il se comportait normalement. Puis, il m’a dit :
- Vers midi, Henri va passer. C’est l’inséminateur équin et bovin, il doit venir prélever du sperme sur mon taureau.
- Ah ! Ça rapporte bien ?
- Ça va, ça fait un petit complément.
J’ai été tout de suite intéressé de voir comment l’inséminateur travaillait. Nous sommes allés nous occuper des vaches et quand midi a sonné, nous sommes allés prendre un café en attendant Henri. Quelques minutes plus tard, un gros véhicule bleu est arrivé et un grand jeune homme mince en est descendu et il est venu vers nous :
- Salut, Dan ! Ça va ?
Puis, il m’a tendu la main :
- Salut, moi c’est Henri, l’inséminateur.
- Bonjour, moi, c’est Nico, je suis le neveu de Dan.
- Je sais, Dan parle beaucoup de toi ! Bon, au boulot, Dan, où sont les deux taureaux que je dois satisfaire ?
On s’est dirigés vers le véhicule pour qu’Henri prenne son matériel, puis vers les étables pendant que j’observais le nouvel arrivant. Il devait avoir la trentaine, il avait un visage amical et il portait un pull vert de sa coopérative avec écrit en gros : « inséminateur équin et bovin ». Il a enfilé alors de grosses bottes et quand il s’est baissé pour les fermer, un gros cul vraiment magnifique est apparu devant mes yeux. Et j’ai remarqué que mon oncle matait aussi...
Henri s’est mis au travail et nous l’avons regardé faire. Mon oncle et Henri n’ont pas arrêté de faire des remarques portées sur le cul et j’avais l’impression que leur entre-jambe avait pris du volume. Une remarque de mon oncle m’a particulièrement étonné :
- Super boulot, Henri, t’es un bon ensemenceur !
Henri a rigolé et il a pris son paquet entre les mains et il l’a bien serré. En effet, il avait bien pris du volume !
- C’est bien, le jeune a appris quelque chose, a continué mon oncle.
Henri s’en est allé, me laissant une impression bizarre... et curieusement, j’étais assez excité d’avoir vu ces deux mâles se chauffer.
Deux semaines plus tard, je suis rentré chez mes parents pour un week-end. J’ai pris le train. Mais en raison d’une grève, le train du retour a été supprimé et j’ai dû en prendre un plus tôt. J’ai ensuite pris le vélo que j’avais laissé à la gare pour rentrer à la maison de mon oncle. Quand je suis arrivé devant la ferme, j’ai été surpris de voir la voiture d’Henri. Je me suis demandé ce que l’inséminateur faisait un dimanche chez mon oncle. Je suis allé dans l’étable ... personne. Dans la stabu non plus. Lorsque j’ai pénétré dans la salle de traite, j’ai alors entendu des voix. Je me suis baissé et je me suis approché lentement. J’ai alors vu Daniel qui se tenait, cul nu, devant un lavabo. Son pantalon était baissé au niveau de ses bottes. Il était en train de se branler... tandis qu’Henri lui massait les couilles ! Puis, ce-dernier s’est baissé... et il s’est mis à lécher le gland de mon oncle qui a mis sa tête en arrière, les yeux fermés. Il a alors dit :
- Oh oui ! J’en ai bien besoin ! Vas-y, suce-moi, va bien chercher ma semence !
Henri a alors saisi la grosse queue de mon oncle. Quelle bite de compétition ! Elle me fascinait toujours autant ! Elle faisait bien 20 cm, elle était épaisse, veinée. Henri l’a alors enfoncée dans sa bouche. Il avait l’air d’avoir l’habitude de prendre ce morceau car il lui a presque fait directement une gorge profonde ! Il a commencé à sucer la queue avec envie, rapidement, avec beaucoup de salive. Daniel a dit au bout d’un moment :
- Vas-y, n’oublie pas mes couilles. Oui, c’est ça, caresse-les, tire bien dessus !
Henri suçait avidement la grosse queue pendant qu’il malaxait les grosses burnes poilues de mon oncle. J’ai bien sûr eu une érection et je me suis mis à me branler dans ma cachette.
Au bout de quelques minutes, Henri s’est exclamé :
- Donne-moi ton sperme dans la bouche. Et toi, tu vas recevoir mon jus directement dans ton cul, j’ai les couilles bien pleines ! J’ai pas baisé ma femme depuis plus d’une semaine !
- Bien sûr que tu vas avoir mon jus, je sais que tu l’adores ! Comme mon neveu, d’ailleurs ! Je t’ai pas raconté ! On a bien bu et alors que je dormais sur le canapé, il est venu dans la nuit, il a sorti ma queue de mon caleçon et il m’a super bien sucé... jusqu’à ce que je jute ! J’ai fait semblant de dormir ! Il a tout avalé, le petit cochon ! On en a pas encore parlé mais je vois bien qu’il est souvent chaud et je suis sûr que les mecs lui plaisent ! C’est dans nos gênes ! Mais allez. Continue de me sucer !
Henri a ricané et a répondu :
- J’ai tout de suite remarqué que ton neveu était un chaud lapin ! C’est bien que tu l’aies ici ! C’est bien pour vous deux !
Et il a repris sa suce. Je n’en croyais pas mes oreilles de ce que j’avais entendu ! Mon oncle était donc éveillé quand je l’ai sucé ! J’étais tellement chaud. Je n’en pouvais plus ! Qu’est-ce que j’aurais donne pour les rejoindre ! J’ai alors vu Henri sucer mon oncle qui lui caressé la tête. A un moment, Henri s’est redressé et il a roulé une grosse pelle à Daniel. Henri a alors posé ses mains sur le cul de mon oncle pour le faire se rapprocher de lui et ils se sont mis à frotter leurs queues dures l’une contre l’autre. Je n’en pouvais plus et pris par mon excitation, je me suis levé, la queue bien en évidence et j’ai dit :
- Putain ! Vous êtes vraiment trop chauds, les mecs !
Ils se sont retournés et ils m’ont alors regardé, les yeux grands ouverts. Henri était choqué, tout comme mon oncle qui s’est vite repris et m’a dit en souriant :
- Tiens, Nico. Je vois que le spectacle te plaît. Approche si t’en as envie ! Tu peux aussi sucer et branler Henri comme tu l’as fait avec moi !
L’inséminateur s’est retourné et il m’a présenté sa longe bite bien dure. Sa queue de bien 18 ou 19 cm était marron clair avec un gros gland rouge. Je me suis mis à genoux. Pendant que Daniel et Henri s’embrassaient, j’ai posé mes lèvres sur sa queue et je me suis mis à le sucer. Henri poussait des gémissements qui allaient se perdre dans la bouche de mon oncle. Après quelques instants, je suis passé à la belle queue de Dan. Ce-dernier m’a dit :
- Tu la connais, celle-là ! Vas-y, suce-moi, tu sais très bien le faire ça !
Super excité, je me suis mis à lécher sa queue. Quel magnifique morceau ! Bien dur et bien épais ! Je me suis mis à le sucer, tout en le branlant. Ma main libre a malaxé ses grosses burnes de taureau. Puis, je suis repassé à la bite d’Henri. J’ai alterné les deux teubs, ce qui a bien fait gémir les deux mâles.
Au bout de quelques minutes, Daniel m’a fait relever et il m’a dit :
- A moi maintenant ! Je vais te sucer pendant qu’Henri me baise !
Henri était déjà affairé à doigter mon oncle. Il utilisait, comme lubrifiant, de la graisse qu’il utilise pour inséminer les vaches. Puis, il a dit à Daniel de se retourner tout en me regardant. Il s’est alors adressé à moi :
- Jeune homme, je vais défoncer ton oncle. Regarde comment de vrais mâles baisent entre eux !
Il s’est enfoncé dans le cul de mon oncle et il s’est mis à le défoncer directement, sans prendre de gants, sans aucune émotion. C’était du sexe à l’état pur.
Daniel m’a fait un signe, je me suis approché et il a enfoncé ma bite au fond de sa gorge. Il s’est mis à me sucer. Moi, je gardais les yeux bien ouverts et j’observais la longue bite de l’inséminateur qui sortait et entrait dans le trou de mon oncle, sans capote. Elle lui distendait bien son gros cul. Magnifique ! N’y tenant plus, je suis allé de l’autre côté et j’ai observé la scène de derrière. J’adorais voir la bite élargir le petit trou de mon oncle. Elle allait et venait dans son anus rapidement. Les couilles d’Henri fouettaient son périnée. Le cul poilu de mon oncle avait l’air très accueillant. Les poils de sa raie étaient mouillés et collaient à la teub de l’actif. Parfois, ce-dernier donnait des fessées à mon oncle.
- Je vais te donner une bonne dose de sperma bien frais, certifiée par ton inséminateur ! Cette dose est gratuite ! Sinon, personne le fait ici. Et le petit Nico est aussi là pour apprendre !
J’ai alors compris pourquoi l’inséminateur venait si souvent à la ferme.
- Oui, vas-y, mon taureau, ensemence ta femelle !
Henri a ensuite baisé mon oncle à une cadence régulière, il sortait presque entièrement sa bite avant de la renfoncer entièrement jusqu’à ce que ses couilles soient complètement collées contre ses fesses. Elles tapaient bruyamment contre la peau du gros cul de mon oncle. Moi, je me branlais à fond et je devais souvent marquer des pauses pour ne pas jouir. Le spectacle était tellement excitant !
A un moment, Henri a ralenti la cadence et il a dit :
- Ça y est, je vais t’ensemencer !
Il a alors donné un gros coup de reins et j’ai alors compris qu’il envoyait une grosse dose de son jus dans le cul de mon oncle. Il a donné encore quelques coups de bite, puis il est sorti. Sa teub était toute mouillée. Un torrent de sperme est alors sorti du trou de Daniel. Je me suis alors penché sous son cul, j’ai sorti ma langue, j’ai récupéré ce divin nectar et je l’ai avalé d’un trait.
- Putain ! C’est trop bon, me suis-je exclamé.
Je me suis branlé furieusement et j’ai joui de grosses giclées sur le carrelage de la salle de traite. Puis, j’ai repris mon souffle, toujours en matant le trou bien béant de mon oncle.
Après notre jouissance, je me suis agenouillé devant la queue de mon oncle, tandis que les deux se roulaient des pelles. J’ai pris sa grosse bite en bouche tout en massant ses boules. Je l’ai sucé un petit moment jusqu’à ce qu‘il me jute de grosses et épaisses giclées au fond de la gorge. Il a éjaculé vraiment une énorme quantité, cette fois encore ! J’ai tout avalé, sans en perdre une seule goutte. J’étais avide de sa semence ! Puis, j’i ressorti son gland et j’ai récupéré le sperme qui en coulait encore.
On s’est redressé et on est allés boire une bière. Henri a fini par partir en me lançant un clin d’œil et en mettant un doigt devant ses lèvres, me signifiant ainsi de garder le secret. J’ai hoché positivement de la tête et il est parti.
Ce jour-là, j’ai compris pourquoi mon oncle ne cherchait pas de femme. Et c’est aussi à ce moment que j’ai su que je voulais devenir inséminateur.
Durant mon séjour, j’ai fait la connaissance d’autres mecs qu’il se tapait. Peu de temps après, j’ai mis ma bite à disposition pour qu’il me traie... et plus tard, ça a été mon cul qu’il a utilisé pour m’inséminer à son tour. Ceci a duré pendant tout mon apprentissage... et bien après ! Mais ceci est une autre histoire.
A suivre...
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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