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Chapitre-4
Salut,
Moi, c’est Nico. Pour mes potes, je suis « l’ensemenceur ». Je gagne ma vie depuis plus de 20 ans comme inséminateur équin et bovin : certains de mes clients m’appellent « l’étalon » aussi quand ils me voient arriver pour aller inséminer leurs juments… et pour les ensemencer aussi… car j’adore pénétrer des mecs afin de déposer dans leur cul ou dans leur bouche ma semence. Je suis toujours chaud, j’ai toujours les couilles bien remplies… et j’adore ensemencer les mecs, célibataires ou mariés, hétéro ou homo. Dans le premier chapitre, je vous ai raconté ma première fois avec Jean-Pierre, le mec qui aidait mon père à la ferme. Dans la deuxième, on a fait la connaissance de mon oncle Daniel chez qui j’ai fait mon apprentissage. Un soir, je l’ai sucé alors qu’il dormait. Quelques temps plus tard, je l’ai surpris en train de se faire sucer par Henri, l’inséminateur. Je me suis finalement joint à eux et on a eu beaucoup de plaisir !
Mes 3 années d’apprentissage, je les ai passées dans la ferme de mon oncle Daniel. On a eu beaucoup de bon temps ensemble autant qu’on le pouvait, mais aussi avec d’autres mecs, surtout des agriculteurs. Mon oncle m’a initié à de nouveaux trucs. On était tous les deux chauds sans arrêt et on se vidait les couilles ensemble plusieurs fois par jour. J’adorais surtout sucer sa grosse queue jusqu’au jus ou je me faisais défoncer après qu’il m’a bien bouffé et doigté le cul. On baisait aussi souvent avec Henri qui m’a aussi fait découvrir son métier. Et après ces 3 années d’apprentissage, je suis retourné à la ferme de mes parents où mon frère travaillait aussi... ainsi que Jean-Pierre, l’employé qui s’occupait des basses besognes comme récurer le fumier, nourrir les animaux, donner du foin, etc. J’ai toujours vu en lui l’image du vrai mâle. C’est avec lui que j’ai eu mes premières expériences homosexuelles.
Après cet apprentissage, j’ai donc décidé de devenir inséminateur, comme Henri. Je dois dire que la queue de Daniel me manquait mais j’avais peu de temps à y penser, car entre les cours et mon autre apprentissage chez Gustave, l’inséminateur de notre ferme à l’époque, j’étais très pris. Gustave s’occupait d’inséminer les chevaux ainsi que les taureaux. Lui aussi était fort comme un ours. Il avait à l’époque 50 ans. Il avait d’épais cheveux gris, de larges épaules, il était grand et son paquet dans son entre-jambe avait l’air bien rempli.
Un vendredi, je suis allé au lycée agricole jusqu’à midi, puis je suis rentré à notre ferme. J’ai pris ma voiture et je me suis garé comme à mon habitude sous le tilleul derrière le portail de la cour. J’ai vu ma mère préparer le repas par la fenêtre et je me suis rendu à l’étable. J’ai alors entendu des voix venant de la stabu. Je m’y suis rendu sur la pointe des pieds, j’ai poussé la porte et alors j’ai pu observer Gustave dans sa tenue de travail verte, ses bottes aux pieds... ainsi que son pantalon baissé ! J’ai alors vu mon frère David à genoux devant notre inséminateur, son visage devant la bite bandée de Gustave. Putain ! Il avait une grosse bite, comme je me l’étais imaginé : sa queue était claire, très épaisse avec un gland très gros. Elle devait faire 22 cm.
Gustave a saisi la tête de David et il lui a dit :
- Alors, mon petit paysan, vas-y, suce-moi, j’ai les couilles bien pleines, j’ai pas encore juté aujourd’hui !
Mon frère n’a rien dit, il a tiré sa langue et il s’est mis à lécher le gland de Gustave tout en tenant bien la grosse queue qu’il a fini par faire rentrer dans sa bouche. Il a commencé à le sucer avidement. Gustave grognait de plaisir. J’ai alors sorti ma queue et je me suis branlé devant ce spectacle. Puis, David est descendu vers ses grosses boules.
- Ah oui, lèche-moi bien les couilles ! C’est ça, prends-les comme ça, bien fermement. Bien ! Maintenant suce-moi en les tenant bien fort. Oh putain, je vais jouir... Avale-tout, petit !
Mon frère a continué de le sucer et quand il a senti le premier jet, il a ouvert la bouche et il a tiré la langue. J’ai alors vu la queue de Gustave mitrailler avec de longs jets puissants la bouche et le visage de mon frère. Il a juté une très grosse quantité de sperme ! J’ai éjaculé au même moment contre la porte et sur le sol. Puis, j’ai vu Gustave se plaquer contre le mur en écartant ses fesses :
- Vas-y, pénètre-moi, j’ai le cul qui gratte !
Mon frère a alors craché dans ses doigts, il a lubrifié vite fait le trou de l’inséminateur avant de s’enfoncer dans l’anus offert. Gustave a gémi fort. Mon frère a commencé à le baiser lentement. Puis, il a accéléré le rythme. J’entendais ses lourdes couilles frapper les fesses poilues du passif.
- Vas-y, mon petit, défonce-moi bien comme il faut !
David ne se l’est pas laissé dire deux fois et il a entamé un pilonnage bien en règle. Au bout de deux minutes, j’ai entendu mon frère dire :
- Ouah ! Je vais gicler !
Il a gémi fort tout en donnant de profonds coups de reins et il a éjaculé sa semence dans le cul de l’inséminateur qui ronronnait comme un chat en sentant son trou se faire remplir. Quand mon frère s’est retiré, je me suis immédiatement rendu chez mes parents après avoir remballé mon matos encore bien poisseux. Sur le chemin, j’ai pris une cigarette et je me suis mis à réfléchir à ce que je venais de voir. Ça ne m’intéressait pas que mon frère baise avec des mecs... mais c’était plutôt le fait de savoir Gustave aussi chaud... lui qui était marié ! Après le repas, j’ai dû m’enfermer dans ma chambre pour me branler de nouveau.
Je n’ai rien dit, ni à mon frère ni à Gustave, de ce que j’avais vu. Mais j’étais bien décidé à me prendre la grosse queue de l’inséminateur dans la bouche ! Et j’étais content d’être son apprenti. J’ai eu quelques temps plus tard l’occasion qui s’est présentée de façon peu originale.
Un jour, mon père est venu me chercher en me disant :
- Nico, Gustave a encore pris une cuite et il a eu un accident : il s’est planté dans le fossé en mobylette. Il a un bras cassé et quelques côtes de brisées ! Va voir si tu peux l’aider. J’ai besoin dans les 5 prochains jours d’un inséminateur !
Je suis alors allé chez Gustave. Son bull dogue, Whisky, m’a accueilli. J’ai trouvé l’inséminateur un verre à la main, en train de fumer. Il avait une attelle à son bras et une sorte de corset.
- Salut, Nico. Quelle merde ! Il va falloir que tu m’aides et que tu reprennes mon boulot. Tu t’en sens capable ?
- Pas de soucis !
- Je peux te demander un truc aussi ?
- Oui !
- J’ai vraiment du mal à me doucher, tu pourrais m’aider.
- Ah, c’est comme ça que t’as séduit aussi mon frère, ai-je dit, du tac au tac.
Gustave m’a regardé, amusé. Moi, je sentais déjà ma queue prendre du volume. Il a repris :
- Pas tout à fait. Mais comment tu sais ça, pour mon frère et moi ?
- Je vous ai pris en flag l’autre jour.
- Et ? T’es jaloux ?
- Je dois avouer... que oui ! Mais allez, montre-moi la salle de bains !
Gustave s’est levé et il m’a fait passer devant. Il m’a indiqué la direction en me poussant par les fesses. Je l’ai aidé à enlever ses chaussures, puis ses habits, en faisant très attention. Il était en slip qui laissait deviner un beau paquet.
Gustave était baraqué, il avait un ventre rond, une toison velue noire et frisée sur le torse. Même ses épaules étaient poilues. Puis, j’ai retiré son slip. Il était de dos et je voyais son dos ainsi que ses fesses musclées, larges et très poilues. Je l’ai mis sous la douche et j’ai commencé à lui savonner son dos large et velu. Puis, je me suis occupé de ses fesses. Il s’est mis à les cambrer. Moi, la queue tendue, j’ai compris le message. Je me suis relevé et j’ai fait passer ma teub dans sa raie. Il a dit :
- C’est bon ça, j’aime bien sentir ce genre de truc. Mais maintenant, tu me laves de l’autre côté.
Il a saisi ma main qu’il a faite passer de ses hanches pour me faire prendre son morceau tendu. Il était bien dur et bien épais. J’ai posé ma tête dans son dos tout en commençant à le branler. Puis, je l’ai fait se retourner et j’ai vu sa grosse queue directement devant mes yeux. Il s’est mis à la branler.
- Voilà, il faut bien que tu me nettoies le gland aussi !
J’ai pris du savon et j’ai commencé à nettoyer le gland puis toute sa bite.
- Putain, elle est énorme, ai-je dit. C’est la plus grosse queue que celle que j’ai vue !
Il a souri, sans rien dire et il m’a appuyé sur les épaules. Je me suis retrouvé avec sa queue devant le visage. J’ai saisi ses énormes couilles brunes et poilues … et j’ai commencé à sucer sa teub.
- Oui, c’est bien, tu fais ça bien. Caresse-moi aussi les couilles.
Il caressait ma tête pendant que je m’affairais à le sucer. Il gémissait doucement.
- Oui, c’est bien. Lèche aussi mes boules !
J’ai ressorti sa teub et j’ai lapé ses couilles.
- Trop bon ! Tu fais ça bien ! Reprends ma bite entièrement dans sa bouche !
Il n’a pas eu à me le dire deux fois et j’ai enfoncé ses 22 cm sur toute la longueur en gorge profonde. Il a gémi fort.
- Peu de mecs peuvent se vanter d’avoir réussi cet exploit !, s’est-il exclamé.
Encouragé, je me suis mis à le sucer à fond tout en malaxant ses boules. Ma langue jouait avec son gland et son prépuce. Parfois, je prenais seulement la moitié de la bite en bouche et je la suçais tout en la branlant.
- Tu peux juter comme avec David. Je veux ton jus !
- Je sais que tu nous as maté ! Je t’ai vu. Continue, je vais pas tarder. Je vais te donner ma semence !
Je me suis mis à le sucer plus rapidement. J’entendais sa respiration s’accélérer. Mes allers-retours étaient si rapides que ses couilles me frappaient le menton.
- Je vais jouir, m’a-t-il prévenu.
J’ai alors senti une rasade de jets de sperme sortir violemment de sa queue pour aller directement au fond de ma gorge. C’était si bon ! Son sperme était chaud et sucré. J’ai tout avalé. Puis, il a ressorti sa bite en me disant :
- Nico, c’était trop bon ! Maintenant, baise-moi comme ton frère !
Il s’est retourné contre la paroi de la douche, me montrant son cul. Il a écarté ses fesses. J’ai pu admirer son petit trou rosâtre. J’ai enfoncé ma langue dans son cul et je lui ai bouffé le fion tout en continuant de lui malaxer les couilles. Ensuite, j’ai fait passer un doigt dans son trou. Il s’est exclamé :
- Allez, défonce-moi !
Je lui ai tapé sur les fesses et après avoir mis du savon sur ma teub, je la lui y ai enfoncée. Il a poussé de forts gémissements. J’ai commencé immédiatement à le défoncer. Son trou était vraiment trop bon ! Pas très serré mais chaud...
- Vas-y, défonce-moi !
- T’en a besoin, pas vrai ?
- Oh oui !
Je me suis penché sur lui et je l’ai serré fort contre moi, je lui ai léché l’oreille avant de l’embrasser dans le cou... tout en donnant toujours des coups de reins puissants. Mes mains parcouraient son magnifique corps et j’admirais ma queue pilonner ses grosses fesses contre lesquelles mes cuisses cognaient, ce qui les faisaient bien vibrer et onduler. Je l’ai limé rapidement sur toute la longueur de mon morceau, faisant claquer mes couilles contre son cul. Gustave gueulait fort, ce qui me faisait le pilonner encore plus sauvagement. Au fil des minutes, mes va-et-vient étaient de plus en plus violents... ce qui le faisait couiner toujours plus bruyamment. Je l’ai ainsi déglingué pendant 10 minutes.
Je lui ai juté une dizaine de giclées au fond de ses entrailles. Mon orgasme m’a dévasté. C’était vraiment génial. Quand je suis ressorti, j’ai admiré mon jus dégouliner. Je me suis alors penché sur son cul et je me suis mis à laper ma propre semence. J’ai même aspiré mon sperme encore dans son cul. Je me suis régalé de ma semence blanche, liquide et abondante.
J’ai ensuite continué de laver Gustave qui était, à la fin, bien propre.
A suivre…
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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