1 | Le voyeur
Je m'appelle Marc, je suis prof de sport en région parisienne. J'ai 37 ans et d'après les dires de ma femme, plutôt beau mec. Physiquement, je mesure un mètre quatre-vingt cinq pour quatre-vingt-huit kilos, j'ai les cheveux châtain clair assez courts, un visage volontaire, mâchoires carrées. Mes yeux sont bleu-vert selon la lumière ambiante, légèrement en amandes. J'ai le nez mutin, les lèvres finement ciselées et un corps bien musclé par les heures passées à la salle de sport.
Chaque année nous passons nos vacances en camping sur la côte varoise. J'aimerais bien pratiquer le naturisme mais mon épouse ne veut pas en entendre parler.
Cela fera bientôt une semaine que nous sommes confortablement installés dans un bungalow flambant neuf. Rien ne manque: écran TV extra-plat, clim, lave-vaisselle, mini jacuzzi,...
Ce samedi, de nouveaux voisins viennent d'aménager. Un couple d'une quarantaine d'années avec un jeune de dix-huit ans et sa copine. Je les salue de loin. Je ne suis pas du genre à faire amis-amis dès la première prise de contact. Nous aimons notre tranquillité. Il faut dire que la vie à Paris est assez stressante sans pour en plus s'encombrer d'estivants envahissants.
Au fil des jours, je comprends qu'il s'agit du fils et de la fiancée. Ce jeune homme a un charme fou. Il est blanc de peau, les yeux noisettes, les cheveux longs, naturellement un peu ondulés qu'il laisse flotter sur ses épaules. C'est vrai qu'il n'est pas très épais, plutôt fluet mais il compense par une vélocité impressionnante. Il est plutôt petit pour son âge mais fait preuve d'une grande maturité.
Je le sens très proche de son père. Ce dernier est totalement l'inverser de son fils. Une montagne de muscles. Il a vraiment le look militaire, cheveux coupés courts et en brosse, les yeux marron et une mâchoire imposante. Ses muscles saillants laissent deviner une activité physique intense et pour un quadra, il est super bien foutu, surtout au niveau des abdos et la ligne de poils noirs qui disparaît sous le short au niveau de la braguette que l'on devine bien remplie.
Au fil des jours, je note une réelle complicité entre le père et son fils. Je les surprends souvent sur leur terrasse en train de plaisanter ou de chuchoter, collés l'un à l'autre. C'est dans ces moments là que je regrette de ne pas avoir eu de gosses. La vie en a décidé autrement...
Le séjour se déroule de façon agréable. Nos journées sont rythmées par de longues heures passées en bord de mer. J'aime m'éloigner de la plage bondée de monde et nager quelques kilomètres en direction des criques sauvages. Là, je sais qu'il n'y aura personne pour m'importuner et je peux même tomber le maillot de bain et pratiquer le bronzage intégral.
Aujourd'hui ne déroge pas à la règle. J'ai abandonné mon épouse qui refuse de s'aventurer trop loin en pleine mer et je suis cul-nu sur cette petite plage de sable fin, ignorée du grand public. Le sable est si fin que je n'ai pas besoin de serviette. Après m'être prélassé au soleil une paire d'heures, je me dirige vers les fourrés pour soulager ma vessie. Je m'enfonce dans la végétation. Quel bonheur de marcher sans tomber sur des papiers usagés, des canettes de bière ou même des seringues...
Je vais pour rebrousser chemin lorsque j'entends des voix en provenance de la plage. Mince, mon paradis blond n'est plus ma seule exclusivité. D'autres curieux ont découvert mon havre de paix. Ce sont deux hommes qui sont venus en bateau gonflable. Font chier ces deux là. Pas moyen d'être tranquille...
Depuis mon repère, je les observe. Le plus jeune n'a guère plus de vingt ans, alors que le plus âgé approche de la cinquantaine. Il sortent leur embarcation hors de l'eau et viennent s'allonger à quelques mètres de moi. Je tombe sur les genoux pour ne pas me faire repérer. L'abondante végétation me camoufle efficacement tout en me permettant de les observer sans risque.
Ils restent sur le dos plusieurs minutes, très proches l'un de l'autre. Je m'apprête à sortir de ma cachette afin de leur signifier ma présence lorsque le plus jeune des deux se redresse et vient littéralement se coller contre son compagnon. Et là, je le vois se pencher sur le visage du plus âgé et l'embrasser à pleine bouche. Je reste figé, sidéré par ce qui se passe. Deux hommes qui se roulent une pelle! C'est la première fois que j'assiste à un tel spectacle. Je suis sans réaction, moi l'hétéro pur jus. Je suis à la fois horrifié et incapable de détourner le regard. Surtout quand le plus jeune abandonne les lèvres charnues de son aîné pour descendre jusqu'au maillot de bain. Il est à présent à quatre pattes sur le sable et vient poser son nez sur le paquet de l'homme plus âgé.
- Lèche-le! Lui intime ce dernier.
Docilement, le plus jeune sort la langue et passe sur le devant du slip de bain. Je peux voir le tissus bien déformé par l'érection du gars. Il glisse une main sous le paquet et le soupèse.
- Humm!!! comme c'est lourd.
- Ouai. Et crois-moi, tu vas bien la sentir passer, ma salope!
Je suis consterné par le dialogue un peu crû du plus âgé. Jamais je ne me permettrais un tel langage vis à vis de ma femme. Surtout qu'il continue à l'insulter en le traitant de vide-couilles, de poubelle à sperme et autres joyeusetés du même acabit.
Mais le plus jeune ne semble pas s'en offusquer. Au contraire, il continue à lécher et palper, il sent cette queue frétiller sous le tissus. Ses coups de langue se font plus rapides, traduisant son excitation naissante.
- Baisse mon maillot, petite pute. Puisque tu rêves de bite, tu vas en avoir une vraie.
Il dévoile la queue de son partenaire sans se faire prier. J'ai comme un frémissement en découvrant l'engin. Un bon 23cm qui pointe fièrement vers le ciel. Je me sens presque complexé avec mes 19cm.
Je devrais mettre fin à cette scène obscène, bondir hors du buisson et les obliger à aller faire leurs cochonneries ailleurs. Mais je reste immobile. Quelque chose me retient. Je veux voir, je ne veux rien rater. La curiosité et le vice l'emportent sur la morale. Le plus jeune a désormais pris en bouche cet énorme membre d'homme mûr. Il lui déforme le palais et malgré toute sa bonne volonté, il n'arrive pas à l'avaler entièrement. Il a enfourné le gland et le plus de tige qu'il pouvait. Le quadra l'agrippe par les cheveux et lui bourre la bouche par de puissants coups de reins. Le plus jeune encaisse, même si je vois bien quelques haut-le-cœur, mais le type semble avoir l'habitude et dose quand même la pénétration buccale, ralentissant, avant de reculer un peu et de recommencer.
Cela dure plusieurs minutes, puis le gars plus âgé repousse doucement la tête de son suceur et, à ma grande surprise, se positionne à son tour sur les genoux pour prendre la queue de son amis en bouche. Les rôles sont inversés. J'aurais imaginé le mec mature plus dominant et nullement porté à s'occuper du plaisir de son partenaire... Mais bon, je n'y connais rien de toutes façons, vu que je suis hétéro.
Le jeune, la tête en arrière, laisse échapper de petits soupirs de plaisirs. Il a une main posée sur la tête de son partenaire pendant que l'autre pince en alternance ses tétons. Il a la bouche entre ouverte et sa langue sort de ses lèvres au grès des gémissements. Après quelques minutes, le gars cesse sa pipe et vient se coller à lui en une étreinte sensuelle. Il lui prend la bouche d'autorité et lui roule une pelle magistrale. L'espace d'un instant, je peux voir les deux langues s'enrouler avant que leurs bouches ne se rejoignent. Je suis envoûté par le spectacle. Sans même m'en rendre compte, ma main glisse vers mon entre-jambe et sort ma queue du maillot de bain. Je bande comme un âne. Je suis en train de m'exciter sur deux mecs qui se bécotent, moi le collectionneur de nanas. Mais à ce stade, j'ai cessé de résonner, seul mon plaisir compte.
Pendant ce temps, l'homme indique au plus jeune de se placer sur le dos et de relever les jambes. Il s'agenouille et vient lécher délicatement la raie déjà humide et moite de son jeune soumis. J'entends ce dernier couiner de plaisir. Ensuite, les mains de l'homme viennent caresser et presser les fines fesses blanches. Il prend tout son temps, savourant ce moment de grâce. Il les écarte enfin pour que sa langue puisse plonger vers cet anus déjà dilaté. Je n'arrive pas à très bien voir depuis ma planque, mais je devine qu'elle s'active et vrille dans cet œillet réceptif. Quand il juge qu'il l'a suffisamment préparé, le quadra se redresse et positionne sa queue à l'entrée de l'anus de son futur amant. Celui-ci a un regard à la fois inquiet mais terriblement excité. Le gars pousse sur ses jambe et sa bite entre centimètre par centimètre. Je vois le nouvel enculé serrer les dents, sûrement peu habitué à ce genre de calibre. Il le sent passer, vu la douleur qui déforme son visage. Pourtant le mec qui le pénètre est étonnamment doux et patient. Sa carrure et son allure générale auraient pu laisser penser à une brute sans prévenance mais non, il s'arrête, reprend sa pénétration,... ressort à moitié pour s'enfoncer un peu plus. Au bout d'un certain temps il finit par y arriver. Il patiente quelques secondes quand il est au fond, laissant son amant s'habituer au manche qui le perfore puis entame des mouvements de bassins d'abord timides puis de plus en plus rapides.
Le visage du jeune mâle s'éclaire quand le plaisir submerge la douleur. Il se retrouve les jambes écartées et doit s'accrocher aux hanches de son baiseur tant le rythme que son partenaire lui impose le ballotte et le secoue. Il ne retient plus ses cris de bonheur qui résonnent dans cette crique déserte.
- Oooohh, Ouiii... Je la sens bien ta queue... Ouiii, vas-y, baise-moi, papa... Te retiens pas...
Je reste figé sur place. Ais-je bien entendu?! Il l'a appelé "PAPA". Bordel, c'est un père qui est en train d'enculer son fils. Immédiatement, les images de la famille proche de notre bungalow me reviennent en mémoire. Serait-ce eux? Il est vrai qu'ils semblaient si proches. De l'endroit d'où je me trouve, je ne peux les distinguer précisément, surtout avec le soleil qui m'éblouit.
Mais bien loin de mes interrogations, les deux amants s'en donnent à cœur joie. Le père est totalement emboîté jusqu'aux couilles. Il le fouille en profondeur puis le pistonne à la hussarde. Le fils est ballotté dans tous les sens mais arrive quand même à se saisir du maillot de bain de son père qui traînait sur le sable. Il le porte à sa bouche, le lape à petits coups de langue tout en reniflant les odeurs qui s'y trouvent. Ça à l'air d'exciter encore plus le père qui se met à le traiter de tous les noms.
- Sale cochonne, t'aimes ça, hein?! T'es comme ta mère, vous êtes deux traînées à la recherche d'une grosse queue. Dis-le que t'es ma pute!
- Ooohh, ouiii, je suis ta pute, ta salope... Vas-y, papa, baise-moi dur. Ouiiii, plus fort!!!
Le père accélère, sortant à plusieurs reprises sa bite avant de la replonger sans ménagement. Il est comme un fou et, à cet instant précis, son fils n'est plus qu'un trou bon à se faire bourrer. À voir la facilité avec laquelle il le pénètre, je me dis qu'ils n'en sont pas à leur premier coup d'essai. Le fils se cabre à chaque coup de reins, ondule au rythme de l'énorme manche du paternel... Se soulevant quand il accélère, retombant sur le sable quand il calme le jeu.
Je reste comme un con, la queue prête à exploser. J'adore mater des vidéos dans lesquelles deux nanas se gouinent. Ça m'excite un max, mais bander en regardant deux mecs s'enculer, je n'aurais jamais cru que j'en serais capable. Pourtant c'est bien ce qui se passe, je m'astique furieusement le manche au rythme des saillies du père sur son rejeton. Soudain, il s'immobilise.
- Putain! Je jouiiiiiss!!!
Je devine le père décharger tout le foutre trop longtemps contenu dans ses couilles. Jamais je n'aurais envisagé voir ça, et pourtant je suis fasciné par le spectacle. J'entends les râles du père qui, le souffle court, achève de se vider.
Je me branle avec frénésie, cherchant à en finir au plus vite, quand je vois le père sortir du cul de son fils, attraper ses mollets et les rabattre au niveau de sa nuque. Son garçon se retrouve plié en deux, le dos en arrondi, les épaules enfoncées dans le sable et les fesses en l'air. Deux demi-lunes encore chaudes des assauts qu'elles ont subit mais totalement offertes au regard lubrique de son paternel. Un coup de langue dans la raie humide pour éponger les dernières traînées de sperme et le voilà qui repositionne son gourdin à l'entrée de l'œillet déjà bien dilaté.
Non, il ne va pas le baiser une deuxième fois?! Bordel, mais c'est un détraqué ce mec, il n'est jamais rassasié. Le fils, par contre, semble demander grâce...
- Non, papa,... pitié, pas dans cette position, ça fait trop mal!
- Ferme-là. Ça t'apprendra à m'allumer dans le mobile-home pendant que ta mère a le dos tourné.
Il a une demi-molle mais le morceau est tellement épais qu'après quelques poussées, il investit à nouveau la totalité du cul de son fils.
Je vois bien que la position du jeune gars est inconfortable. Sa queue bandée se retrouve à quelques centimètres de son visage et chaque pénétration rapproche un peu plus le gland de ses lèvres charnues. Il gémit et se branle à une cadence folle. Sa queue, hyper raide, tressaute dans sa main, comme agitée d'une vie propre. Dans un cri rauque, il éjacule de puissants jets qui atterrissent sur son front, ses joues, sa bouche... Il sort même la langue pour recueillir les dernière gouttes du précieux nectar.
Je n'y tiens plus. À mon tour, je m'active comme un fou. Et pendant ma branle sauvage, je vois le père se raidir et éjaculer pour la deuxième fois dans le cul de son fils. Ma bite est dure comme du bois. Je ne cherche même pas à me donner du plaisir, non, je veux faire sortir toute cette charge émotionnelle de moi, faire tomber la pression. Je jouis en me mordant les lèvres pour ne pas trahir ma présence. Mon sperme explose tel un geyser, asperge tout autour de moi, les branches, mes cuisses, le sable,... Je n'ai pas souvenir d'avoir connu un tel orgasme, même avec ma femme ou mes multiples maîtresses.
Je mets un certain temps avant de revenir à la réalité. Je m'aperçois alors qu'ils ont remis le canoë à la mer et qu'ils s'éloignent lentement. Je finis par sortir de ma cachette et entreprends à mon tour de quitter la crique.
Après avoir nagé une bonne demi-heure je retrouve ma femme sur la plage qui fait les cents pas. À ma vue, elle éclate de colère. Elle se faisait en sang d'encre et s'apprêtait à appeler les secours.
J'en suis quitte pour un bon savon, compensé par un super spectacle de baise entre un père et son fils.
Ceven X
hellocevenx@gmail.com
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